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Utopie : Définition

Utopie : Définition

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L’amour est une arme – les dystopies young adult et l’amour romantique Ma réflexion sur les dystopies[1] young adult[2] a commencé en lisant la saga Delirium, qui met en scène une société où l’amour romantique est considéré comme une maladie et interdit. Ca m’a fait tiquer, parce que ce n’est pas la seule dystopie parue récemment à mettre en scène ce motif particulier (l’interdiction du sentiment amoureux[3] ou des émotions et/ou des sentiments, ou encore de certaines émotions). En plus du passeur, dont la publication est plus ancienne, il y a Promise, Glitch et the program. Thomas More Thomas More Saint catholique Œuvres principales Thomas More, latinisé en Thomas Morus (7 février 1478, Londres – 6 juillet 1535, Londres), est un chanoine, juriste, historien, philosophe, humaniste, théologien et homme politique anglais.

La dystopie jeunesse aujourd’hui (2/3). Qu’est-ce que c’est, et pourquoi ça marche ? Vous vous trouvez actuellement dans une saga en 3 volumes sur la dystopie. Veuillez consulter le plan : La dystopie : Les origines (C’est le passage pas forcément intéressant mais nécessaire aux développements suivants, un peu comme la présentation des personnages dans un roman, v’voyez)La dystopie jeunesse aujourd’hui 1. Un phénomène culturel (Je t’assure, c’est la folie, ils ne parlent que de ça à Charleville !)La dystopie jeunesse aujourd’huiI 2. Utopie L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, du grec οὐ-τόπος « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale sans défaut contrairement à la réalité. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les Hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel.

WebLettres : Dossiers et synthèses Pour un groupement de texte sur « Bonheur et Utopies » ► CAMPANELLA T., La cité du soleil. ► DIDEROT D., Le Neveu de Rameau.Un dialogue entre le philosophe et le neveu sur les rapports entre bonheur et vertu, pp.50-51 en livre de poche. ► GIDE A., Les Nourritures terrestres. ► GOURMONT R. de, « Le bonheur » (Mercure de France, 1907). ► JULIET C., L’Année de l’éveil. Un enseignant explique à un élève la réalité de la guerre. Puis il lui rapporte la réflexion d’un prisonnier de guerre : « Si on sait s’y prendre, on peut être heureux même en enfer. » p 115, éditions J’ai Lu. ► MERCIER S., L’An 2440. ► NOTHOMB, Péplum. ► PEREC G., Penser, ClasserDe la difficulté qu’il y a à imaginer une Cité idéale. ► RABELAIS, MORE, VOLTAIRE (l’Eldorado et le poème « Le Mondain »), E.

Dystopie Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie ; l'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) contemporaine[1]. De fait, la différence entre dystopie et utopie tient davantage à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu : en effet, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes[2],[3],[4]. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie est, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales.

La novlangue, de George Orwell à Donald Trump Le 22 janvier dernier, le directeur de la communication de la Maison-Blanche, Sean Spicer, a clamé haut et fort que la foule présente le jour de l'investiture de Donald Trump a été "la plus importante à avoir jamais assisté à une investiture dans le monde. Point barre". Le mensonge est un peu gros et copieusement moqué, et c'est au tour de la conseillère de Donald Trump d'intervenir : pour justifier la sortie de son collègue, Kellyanne Conway a assuré que ce dernier avait donné des "faits alternatifs" afin de contrecarrer les "choses fausses" avancées par les médias. Plus récemment, en décembre 2017, l'administration de Donald Trump a décidé d'interdire l'usage de certains mots, tels "fœtus", "transgenre", "diversité" ou encore "fondé sur la science" dans les documents officiels des agences fédérales de santé. Appauvrir la langue pour mieux contrôler

Dystopie "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de dystopie Etymologie : de l'anglais dystopia, composé du préfixe grec dys, mauvais, difficile, erroné et de topos, lieu. theconversation Tous les épisodes mettent en scène une forme de dystopie – le contraire de l’utopie – et la série a pour intention évidente de lancer un avertissement moral, différent à chaque épisode. Un savoir-faire typiquement britannique en matière de fiction angoissante fait de la plupart de ces épisodes de vraies « expériences de pensée morale ». Mais cette expérience de pensée est ambiguë. Avertissements moraux

DreamStation Abonnez-vous au podcast Pour écouter tous les épisodes de cette saga audio, abonnez-vous sur ITunes, ou via le fil RSS (Android et autres systèmes). Une nouvelle histoire à écouter sans titre Dans Pourquoi notre futur dépend des bibliothèques, de la lecture et de l’imagination (Au diable Vauvert, 2014), l’auteur de fantasy Neil Gaiman demande : « Regardez autour de vous. Je suis sérieux : arrêtez-vous un instant et regardez autour de vous l’endroit où vous vous trouvez. Je vais vous signaler un détail tellement évident qu’on tend à l’oublier. Le voici : c’est que tout ce que vous pouvez voir, murs compris, a, à un moment donné, été imaginé. » Et c’est ainsi que le groupe Zanzibar est né : « Malgré les outils de prospective et les cabinets de futurologie des grandes entreprises, malgré l’omniprésence du discours voulant que demain soit pareil à aujourd’hui, à hier, ou ne soit tout simplement pas, nous restons convaincus que nos avenirs — communs et individuels — nous appartiennent, et que nous avons le pouvoir de les imaginer, de jouer avec, de les expérimenter et les construire à notre guise. Nous sommes un collectif d’auteur-es de science-fiction.

Cours 2° : Utopie, dystopie, uchronie Romancier, essayiste, traducteur, Alberto Manguel est l’auteur d’Une histoire de la lecture (Actes Sud, 1998; J’ai lu, 2001), prix Médicis essai 1998; d’un Dictionnaire des lieux imaginaires, en collaboration avec Gianni Guadalupi (Actes Sud, 1998 ; Le Livre de poche, 2002) ; Stevenson sous les palmiers (Actes Sud, 2001) et Chez Borges (Actes Sud, 2003). La lecture : Servir à la connaissance de nous-même et du monde La première étape, donc, pour devenir un citoyen, consiste à apprendre à lire. Mais qu’est-ce que cela signifie, « apprendre à lire » ?

LES UTOPIES, DES MONDES MEILLEURS ? 1/3 : L'île idéale - Lettres d'Arts, littérature et histoire des arts L'utopie de Thomas MORE L'île est un des meilleurs moyens de représenter ce lieu particulier, méconnu, hors des sentiers habituels. C'est ce qu'a compris Thomas MORE (1478-1535) en écrivant en latin le texte Utopie (De optimo rei publicae statu deque nova insula Utopia, 1516). Il est l'inventeur du terme et désigne, d'après le grec ancien, un lieu qui n'existe pas. Le narrateur nous rapporte le récit de voyage fait par un marin expérimenté et sage : Raphaël Hythloday dont les opinions politiques sont en avance sur son temps :

Laurent Bazin, La dystopie 1Signifiant étymologiquement « lieu mauvais », la dystopie, qui apparaît en ce sens comme l’antithèse de l’utopie, est aujourd’hui très en vogue, au point qu’elle semble une forme culturelle assez omniprésente dans la littérature mais aussi au cinéma, à la télévision, dans les jeux vidéo, ou encore dans les mangas et bandes dessinées. Ce petit livre de Laurent Bazin, maître de conférences en littérature française, a l’ambition d’interroger ce succès contemporain du genre dystopique. Faut-il voir dans un tel engouement le reflet d’un monde désenchanté ? Pour répondre à cette question, l’ouvrage, organisé en quatre parties, mobilise une approche pluridisciplinaire croisant notamment études littéraires, histoire des idées et philosophie, en partant du postulat que la dystopie « n’est pas seulement une forme narrative ou une catégorie esthétique mais bien une vision du monde qui est aussi un mode de pensée » (p. 7).

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