Un mystérieux rayonnement cosmique gravé dans les cernes d'arbres Publiant leurs travaux le 3 juin dans Nature, des chercheurs nippons ont découvert, dans les anneaux de croissance d’arbres centenaires, un taux de carbone 14 qui ne peut qu’avoir été consécutif à un rayonnement cosmique intense survenu en 774 ou en 775 après J.-C., et dont l’origine et la nature restent inconnues. L’équipe de Fusa Miyake, de l'Université de Nagoya, au Japon, a analysé la composition isotopique de deux cèdres du Japon centenaires et trouvé, dans les anneaux de croissance correspondant aux années 774 et 775, un taux de carbone 14 supérieur d’environ 1,2 % à la normale, qui ne peut s’expliquer, selon eux, que par un mystérieux événement cosmique, ayant eu sur ces arbres un effet 20 fois supérieur à celui des pics normaux de l’activité solaire. Ces données confirment celles recueillies antérieurement sur des arbres d’Europe et d’Amérique du Nord, qui montraient une hausse du taux de carbone 14 d'environ 7,2 % entre l’an 775 et l’an 785 de notre ère.
Photos - D'étonnantes nébuleuses planétaires révélées par les rayons X Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Une étude de surveillance, menée par la NASA à l'aide de deux télescopes, sur 21 nébuleuses planétaires voisines de la Terre vient de dévoiler ses premiers résultats en images. Situées autours de 5.000 années-lumière de la Terre, 21 nébuleuses planétaires, font actuellement l’objet d’un programme de surveillance mis en place par la NASA. Récemment, l’agence spatiale américaine a ainsi dévoilé au public les images de quatre nébuleuses planétaires : NGC 6543 dite la nébuleuse de l’œil de chat, NGC 7662, NGC 7009 et NGC 6826. Or, une étoile se meurt après avoir consumé l’intégralité de l’hydrogène qui forme son noyau. En orbite autour de la Terre depuis 1999, Chandra (ou Advanced X-ray Astrophysics Facility : AXAF) enregistre les rayons X provenant de l’espace à l’aide de ses 4 miroirs composés de surfaces paraboliques et hyperboliques, recouvertes d'iridium.
Découvrez la fantastique nébuleuse du Casque de Thor La beauté de notre galaxie ne cessera jamais de nous impressionner. Aujourd’hui DGS vous propose de découvrir une image inédite de la nébuleuse du Casque de Thor publiée par l’Observatoire Européen Austral. Pour leur 50ème anniversaire, l’Observatoire Européen Austral a publié une superbe image inédite de la nébuleuse du Casque de Thor. Ce nuage moléculaire est appellé ainsi car, ses parties les plus lumineuses ont une forme qui ressemble à un casque qui détient deux cornes. Impressionnés par la nébuleuse du Casque de Thor ? Video - La nébuleuse de la Pipe photographiée comme jamais - Maxisciences La nébuleuse de la Pipe située au centre de la Voie Lactée vient d'être photographiée par la caméra WFI du télescope MPG de l'Observatoire européen austral (ESO). L'image du bout de cette nébuleuse sombre nommé Barnard 59 est particulièrement nette et détaillée. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter La caméra WFI (Wide Field Imager) vient de fournir une image très détaillée de la nébuleuse de la Pipe, située vers le centre de notre Voie Lactée, sur la constellation du Serpentaire (ou Ophiuchus). Comme l'expliquent les spécialistes, la nébuleuse de la Pipe constitue un bel exemple de nébuleuse sombre. Le bout de la nébuleuse de la Pipe photographié par la caméra WFI a été baptisé Barnard 59, en hommage à l'astronome américain Edward Emerson Barnard qui fut le premier à répertorier les nébuleuses sombres à l'aide de clichés et à identifier leur nature poussiéreuse. Une nébuleuse éloignée de 600 à 700 année-lumière de la Terre
Science Space Photo of the Day | Wired Science When the lamp is shattered, The light in the dust lies dead. When the cloud is scattered, The rainbow's glory is shed. These words, which open Shelley’s poem "When the Lamp is Shattered," employ visions of nature to symbolize life in decay and rebirth. It's as if he had somehow foreseen the creation of this new Gemini Legacy image, and penned a caption for it. Polar-ring galaxies are peculiar objects. Models of how polar-ring galaxies form offer two general formation scenarios: 1) a piercing merger between two galaxies aligned roughly at right angles, or 2) when the host galaxy tidally strips material from a passing gas-rich spiral and strews it into a ring. Born of Violence Brian Svoboda of the University of Arizona, who recently studied the chemical and temperature environment of NGC 660, believes that unique morphology arises from a previous interaction with a gas-rich galaxy. Weighing the Evidence Life from Death? Probing Dark Matter Image: Gemini Observatory/AURA [high-resolution]
Les pulsars Les pulsars sont en fait des étoiles à neutrons, des noyaux d'étoiles ayant explosé en supernova, et s'étant effondré sur eux-même jusqu'à devenir une soupe ultra dense de neutrons ... Ces étoiles à neutrons émettent des impulsions radios par leurs pôles magnétiques. Lorsque ces impulsions s'alignent sur notre planète, nous en apercevons le signal. Parcourez notre gamme de posters sur les étoiles à neutrons et les pulsars : Pulsar = étoile à neutrons Le « pulsar », contraction des mots « pulsating » et « star », n’est ni plus ni moins qu’une l’étoile à neutrons dont la rotation et le champ magnétique lui permettent de produire un faisceau lumineux. Découverte du premier pulsar Dans un premier temps, probablement sous l’effet de l’excitation suscitée par la découverte d’une telle bizarrerie céleste, les deux astrophysiciens ont pensé avoir capté un signal émanant d’une civilisation extraterrestre. La formation d'un pulsar Effondrement et rotation Comment se forme le pulsar ? Le pulsar X
75% des étoiles auraient une compagne Une étude vient de prouver que les trois quarts des étoiles de grandes masses auraient une étoile plus petite à proximité et interagiraient avec elle de manière violente. Cela aurait des conséquences sur notre vision de l'espace et notamment sur la formation des galaxies. Parue ce 27 juillet 2012 dans la revue Science, une étude vient de montrer que la plupart des étoiles de grandes masses très brillantes ne vivent pas seules. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter La majorité de ces binômes connaîtraient alors des interactions les perturbant, notamment des transferts de masse d'une étoile à l'autre. Le principal auteur de l'étude, Hugues Sana de la University of Amsterdam, explique : "Ces étoiles sont de véritables monstres. "La vie d'une étoile est fortement affectée s'il y a une autre étoile dans son voisinage" Notre perception de l'univers modifiée Elle ne pourra pas devenir une supergéante rouge lumineuse, mais sera perçue avec une couleur bleue.
À propos des applets Partagez : Liste de tous les applets Flash figurant dans ce site Qu'est-ce qu'un applet? Les applets figurant sur le présent site ont été conçus comme des outils d'enseignement et d'apprentissage, destinés autant aux enseignants qu'aux élèves, afin de rehausser le contenu du cours. Module 1 : Introduction au ciel diurne et au ciel nocturne Module 2 : Le Soleil et les étoiles Module 3 : La Terre et la Lune Module 4 : Les planètes Module 5 : Les comètes, les météores et les astéroïdes Module 6 : La Voie lactée et au-delà Notre place dans la Voie lactée | Version Flash de notre place dans la Voie lactée Date de modification :
Ison, une comète plus brillante que Vénus à observer en 2013 ? Si elle ne se désintègre pas en vol, la comète Ison, qui passera à moins de 2 millions de kilomètres du Soleil fin novembre 2013, pourrait être visible en plein jour dans l'hémisphère Nord. C'est depuis Kislovodsk en Russie que la comète Ison a été repérée il y a tout juste une semaine. Selon Artyom Novichonok et Vitali Nevski, les astronomes russes et biélorusses à l’origine de sa découverte, elle se dirige presque tout droit vers le Soleil et est actuellement située à proximité de l'orbite de Jupiter. Au vu de sa vitesse et de sa trajectoire, les spécialistes ont ainsi déterminé qu'elle devrait en principe frôler le Soleil de moins de 2 millions de kilomètres (soit un centième environ de la distance Terre-Soleil) en novembre 2013. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Elle serait alors plus éclatante que la pleine lune elle-même. La comète pourrait exploser des semaines avant de frôler le Soleil
Théorie de Ramsey Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mathématiques, et plus particulièrement en combinatoire, la théorie de Ramsey, nommée d'après Frank Ramsey, tente typiquement de répondre à des questions de la forme : « combien d'éléments d'une certaine structure doivent être considérés pour qu'une propriété particulière se vérifie ? » Un adage souvent cité sur le sujet et attribué à Theodore Motzkin est : « le désordre complet est impossible »[1]. Quelques exemples[modifier | modifier le code] Le premier exemple de résultat de cette forme est le principe des tiroirs, énoncé par Dirichlet en 1834. Supposons, par exemple, que n chaussettes soient rangées dans m tiroirs. Un résultat typique dans la théorie de Ramsey commence par considérer une certaine structure mathématique, qui est alors découpée en morceaux. Par exemple, considérons un graphe complet d'ordre n, c'est-à-dire ayant n sommets reliés à chaque autre sommet par une arête (un graphe complet d'ordre 3 s'appelle un triangle).
Science & Technology: The microwave sky as seen by Planck Date: 05 July 2010 Satellite: Planck Depicts: First year all-sky survey map Copyright: ESA, HFI and LFI consortia This multi-colour all-sky image of the microwave sky has been synthesized using data spanning the full frequency range of Planck, which covers the electromagnetic spectrum from 30 to 857 GHz. The grainy structure of the CMB, with its tiny temperature fluctuations reflecting the primordial density variations from which the cosmic web originated, is clearly visible in the high-latitude regions of the map, where the foreground contribution is not predominant. A vast portion of the sky, extending well above and below the galactic plane, is dominated by the diffuse emission from gas and dust in the Milky Way, which shines brightly at Planck's frequencies. While the galactic foreground hides the CMB signal from our view, it also highlights the extent of our Galaxy's large-scale structure and its emission properties.
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