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Les métamorphoses du livre... numérique — éduscol, le site des professionnels de l'éducation

Les métamorphoses du livre... numérique — éduscol, le site des professionnels de l'éducation
Cette prochaine édition aura lieu les 17, 18 et 19 novembre 2014, à la BnF, pour les deux premières journées et au Lycée Jean Zay, Paris 16e, pour le troisième jour. Après avoir centré les précédentes éditions du Rendez-vous des Lettres sur les transformations du livre, de la lecture, de l’écriture et de l’image à l’heure du numérique, il a semblé intéressant d’aborder cette année ces transformations du point de vue de la parole et des pratiques de l’oral en classe. C’est en effet à la parole comme expression orale, verbale, de la pensée qu’est consacré ce séminaire, et aux voies nouvelles que lui ouvre le numérique par les transformations de la relation entre l’écrit et l’oral qu’il favorise. La révolution numérique a notamment pour conséquence d’effacer peut-être, ou de redistribuer du moins, les grandes oppositions entre l’écrit et l’oral, la parole et la musique, l’intime et le public. Related:  Capes doc 2019

Christian Vandendorpe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Christian Vandendorpe Christian Vandendorpe, né en 1943 à Blandain (Tournai), est professeur émérite de l'Université d'Ottawa. Intéressé par la sémiotique (sémiotique cognitive) et la rhétorique, il s'est spécialisé dans les théories de la lecture. Il a également travaillé sur la didactique de l’écrit, les liens entre le numérique et le savoir (production, diffusion, réception, apprentissage; texte et hypertexte) et le récit de rêve. Biographie[modifier | modifier le code] Christian Vandendorpe obtient son doctorat en didactique de l'Université Laval en 1988. En 1987-1988, il devient professeur remplaçant au Département des lettres françaises de l'Université d'Ottawa, puis professeur adjoint de 1988 à 1992, professeur agrégé de 1992 à 1998 et professeur titulaire de 1998 à 2007. De 1993 à 2007, il a été directeur du Centre d’écriture de la Faculté des arts de l'Université d'Ottawa. Bibliographie thématique[modifier | modifier le code]

Canopé direction territoriale, académies de Besançon et de Dijon: Livre numérique Ces dossiers thématiques sont archivés, nous attirons votre attention sur leur date de mise à jour. La numérisation du livre interroge nos pratiques... Comment lisons-nous ? Comment lirons-nous ? Sur des liseuses, sur des tablettes numériques ? Pour le loisir ? Contenu ou contenant ? Une liseuse est un objet nomade dont l'écran permet de restituer un texte sous un format électronique. Les liseuses sont à la littérature ce que les baladeurs numériques sont à la musique. Numérique ou numérisé ? Un livre électronique, dit aussi livrel ou e-book (en anglais), est un fichier électronique contenant un texte sous forme numérique. Bien qu'ils soient souvent employés l'un pour l'autre, ces termes semblent désigner deux types de livres, avec deux statuts différents : le livre numérisé correspond à un fichier à lire, identique à la version papier.le livre numérique intègre des outils de navigation et du multimédia supposant une lecture interactive. Quelques exemples de liseuses Parlons formats...

Panique numérique dans le livre Les éditeurs ne savent pas où ils vont mais ils y vont. Ils auront rarement été aussi conscients d'être à la veille d'une véritable révolution dans leur métier, et d'être aussi démunis, désorientés, inquiets, incertains et mobilisés quant à l'avenir du livre. D'où une certaine panique qui ne dit pas son nom. Tel est le parfum qui flotte autour du "Rapport sur le livre numérique" que Bruno Patino vient de remettre, au nom de la commission qu'il a dirigée, à la ministre de la Culture. Celle-ci doit le rendre public ce lundi en fin de matinée ; mais en recoupant différentes sources, on peut d'ores et déjà en révéler la teneur dans les grandes lignes La Commission a auditionné des personnalités tant du milieu littéraire et éditorial que du côté de l'internet, industriels et créateurs mêlés. 1. 2. 3. 4. Eu égard à l'urgence de la situation, ce rapport-là ne paraît pas avoir été commandé pour finir dans un tiroir, mais bien pour servir. 1. 2. 3. 4. 5. Le livre ne recule pas, il avance.

Alain Giffard lecture numérique et culture écrite Ce texte est une reprise largement remaniée de ma communication au séminaire général de l'ITEM, " De l'archive manuscrite au scriptorium électronique ", à l'invitation d'Aurèle Crasson, en 2005. Je remercie mes amis de l'ITEM de m'avoir incité à ce retour sur une expérience qu'ils avaient si bien accompagnée. précédents Le projet de " Poste de Lecture Assistée par l'Ordinateur " de la Bibliothèque de France - souvent désigné à l'époque par l'acronyme " P.L.A.O " - n'était pas sans précédents. Le plus célèbre était le dispositif imaginé par Vannevar Bush au tournant de la seconde Guerre Mondiale et intitulé " Memex ". En réalité, le projet de Bush lui même avait été précédé d'une station de lecture de microfiches, conçue par Golberg, avec le parrainage de Paul Otlet, une des grandes figures du monde des bibliothèques. Evidemment la liste organisée de la collection est une des pièces maîtresses de son système. prospective bibliothèque numérique épisodes pratiques fonctionnalités lecture numérique

La numérisation du patrimoine littéraire En janvier 2010 un Rapport sur la numérisation du patrimoine écrit [1] est rendu au Ministre de la culture et de la communication. Une quarantaine de pages qui dressent un état des lieux des « avancées hétérogènes » du numérique dans le monde des bibliothèques et du livre, qui rappelle la genèse du concept de « bibliothèque numérique ». L'idée d'une numérisation des ouvrages du patrimoine littéraire est née au début des années 70 avec le projet Gutenberg dont l'objectif est de diffuser au plus grand nombre des textes de diverses natures (littérature, textes scientifiques..) relevant du domaine public. D'autres projets suivront portés par différentes institutions avec notamment en France le projet Gallica de la BNF ou par des moteurs de recherche comme Google Print devenu plus récemment Google Books.

Le numérique est-il le Golem de l’écriture classique ? Rares sont les commentaires originaux et les réflexions stimulantes sur la révolution numérique dans l’univers du livre. Il faut dire que les vrais penseurs n’y sont pas légion. Non que les intellectuels aient déserté ce champ mais ils semblent si effrayés par ce bouleversement qui leur échappe qu’ils produisent le plus souvent un discours relevant du poncif, de la crispation sur des modèles figés et de la gargarisation sur la relance du « pouvoir auctorial » ( !). L’historien Milad Doueihi, titulaire de la chaire de recherche sur les cultures numériques à l’Université Laval de Québec, est de ceux qui font vraiment avancer la réflexion sur le sujet, par des essais stimulants appelant notamment à un « humanisme numérique ». d’écrivains, de dramaturges, de compositeurs, de cinéastes, de poètes, sans compter, derniers en date mais pas les moins prolifiques, les concepteurs de séries télévisées et de jeux vidéos. (Images extraites du Golem de Paul Wegener et de celui de Julien Duvivier)

Alain Giffard Critique de la lecture numérique Paru en 2009 dans la revue Atlantic Monthly, l’article de Nicholas Carr, « Is Google making us stupid ? 1 », connut un vif succès, significatif du nouvel esprit de dissensus qui caractérise les affaires numériques. C’est probablement dans les pays de langue allemande que le débat est le plus vif, notamment autour de l’ouvrage de Susanne Gaschke sur « l’abrutissement numérique 2 ». Bien au-delà des critiques habituels du numérique, le débat a vu s’engager les activistes les plus connus de l’internet, comme Geert Lovink, avec le colloque « Society of query 3 », ou Ippolita 4. Au sein de la communauté scientifique, le symposium 2010 de la fondation Nobel, « Going Digital 5 », a été largement centré sur ce débat. Un an plus tard, Nicholas Carr publiait, sous le titre The Shallows : What the Internet is Doing to Our Brains 6, l’enquête et la démonstration qui sous-tendent l’article d’Atlantic Monthly. La question de la lecture La surcharge cognitive Une vision déterministe de la technique

Aldus - le blog du livre numérique, depuis 2006 Rentrée littéraire : pourquoi l'ebook s'embourbe en France Cet automne, la plupart des nouveautés paraissent en version ­e-book. Jamais rentrée littéraire n'aura été si numérique. Cet automne, la quasi-totalité des 555 œuvres lancées en librairie devrait aussi sortir en version e-book. Faute de numérisation rapide des fonds, le catalogue payant de livres numériques en français reste peu fourni: 100.000 sur Amazon contre 800.000 titres sur papier. Le prix est aussi un frein. «Raisonnable ou pas, ce n'est pas juste aux yeux du lecteur», rétorque Claire Deslandes, directrice éditoriale des Éditions Bragelonne. À l'heure d'envisager des modèles similaires, la crainte de déstabiliser le marché traditionnel en retient beaucoup. Mais sur les moyens d'aider le livre numérique à décoller en France, la plupart des éditeurs bottent en touche. «Mais si on ne cherche pas à développer, on freine, de fait», analyse Françoise Benhamou, professeur à Paris-XIII et spécialiste de l'économie de la culture et du numérique.

Les enjeux de la veille pour le professeur documentaliste — Documentation (CDI) Intervenants: Jean-Louis Durpaire (IGEN et président du jury du CAPES de documentation), Silvère Mercier (bibliothécaire, chargé de médiation numérique à la BPI), Dominique Varlet (documentaliste, chargé d'ingénierie documentaire au CRDP de Paris, formateur Paris 4IUFM/CELSA). L'animation était assurée par Marie-Christine Ferrandon, directrice du CRDP de l'académie de Paris, Tous veilleurs. La veille ne porte plus sur ce qui est rare mais sur l'infobésité. Silvère Mercier qui mène actuellement une réflexion sur la question de la veille, la replace dans un contexte citoyen plus large que l'Éducation nationale. Tout en notant que les personnes présentes à cette table ronde étaient de fait déjà en situation de veille, Jean-Louis Durpaire a défini la veille comme une posture intellectuelle et personnelle qui consiste à se former et ceci à trois niveaux. Salon de l'édu

E-book : c'est pas gagné. - Idées Quelques conseils de lecture sur le Net, pour votre frileux week-end. Si l’on en croit Nicholas Carr, l’auteur à succès du livre The Shallows. What the Internet is doing to our brains (Internet rend-il bête ?), le livre-papier n’est peut-être pas condamné, contrairement à ce qu’on pensait encore l’année dernière. Pour Nicholas Carr, ce phénomène est lié à la montée des tablettes tactiles : au contraire des liseuses, elles sont destinées à des activités ludiques, comme les jeux-vidéos, beaucoup plus qu’à la lecture. Les deux formats, numérique et papier, sont donc destinés à coexister. Pourquoi les Etats-Unis ne sont-ils pas parvenus à imposer aux banques américaines une stricte séparation entre activités de dépôt et d’investissement ? Dans un article en ligne sur le site Project Syndicate, le meilleur du débat sur les questions économiques, Barry Eichengreen tente d’apporter une réponse. Bonne fin de semaine sur FC et au plaisir de vous retrouver lundi matin.

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