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Cinq pourquoi

Cinq pourquoi
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les cinq pourquoi est la base d'une méthode de résolution de problèmes proposée dans un grand nombre de systèmes de qualité. Il s'agit de poser la question pertinente commençant par un pourquoi afin de trouver la source, la cause principale de la défaillance. Cette méthode de travail est surtout faite pour trouver la cause principale du problème rencontré. Avec cinq questions commençant par « pourquoi », on essaie de trouver les raisons les plus importantes ayant provoqué la défaillance pour aboutir à la cause principale. Premier exemple[modifier | modifier le code] Ma voiture ne démarre pas (le problème) Pourquoi ? Deuxième exemple[modifier | modifier le code] Mes dépenses sont plus élevées que prévues (le problème) Pourquoi ? Pourquoi ce problème est-il apparu ? Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Gestion de la qualité Liens externes[modifier | modifier le code]

QQOQCCP (5W/2H) Cinq W QQOQCCP (pour « Qui ? Quoi ? Ce concept est notamment utilisé en journalisme. Les cinq W sont particulièrement utilisés en agence de presse[3], qui exige que les réponses aux cinq questions soient données dès le début de la dépêche, ce qui permet un découpage de l'information par priorité. Cette méthode est également utilisée de façon courante dans l'éducation pour l'étude de documents, ainsi qu'en gestion de la qualité, comme première étape d'une analyse de cause racine de problèmes. Origine et histoire[modifier | modifier le code] Chez Aristote et les scolastiques[modifier | modifier le code] Le sigle a pour origine un moyen mnémotechnique latin (« Quis, Quid, Ubi, Quibus auxiliis, Cur, Quomodo, Quando ») utilisé par les savants scolastiques pour la mémorisation des particularités d'un acte telles que définies par Aristote[4],[5]. Plusieurs autres utilisations ont ensuite assuré la persistance de l'expression jusqu'à aujourd'hui : Sous forme de tableau[modifier | modifier le code]

revue - articles 2.1_w Introduction Des actions ministérielles, les dotations en équipements et en infrastructures, des stages de formation ont pour objectif d'inciter les enseignants à intégrer les TIC dans leur classe. Sachant que les TIC ne suivent pas exactement le chemin que les promoteurs avaient imaginé[1], qu'en est-il de l'organisation des enseignants dans ce domaine ? Seules des réunions annuelles de coordinateurs disciplinaires d'établissement, des enquêtes ou des remontées des corps d'inspection permettent d'obtenir une première image des pratiques enseignantes. L'objectif de cet article est de présenter les outils et méthodes d'extraction, de représentation et d'analyse des échanges en ligne mis en œuvre pour cette recherche. Les activités des membres, Les types de relations entretenues, Les thèmes des échanges. 1. 1.1 Les activités en ligne des enseignants La première étape consiste à répertorier les activités en ligne des enseignants. Quart de cercle I : Produire Type 1 : Planification. 2. 3.

Tableau Kanban Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un kanban (カンバン ou 看板, terme japonais signifiant « enseigne, panneau »[1]?) est une simple fiche cartonnée que l'on fixe sur les bacs ou les conteneurs de pièces dans une ligne d'assemblage ou une zone de stockage. Principe[modifier | modifier le code] Le Kanban est un mécanisme permettant d'asservir la production ou l'approvisionnement d'un composant à la consommation qui en est faite. Le nombre de kanban en circulation doit être limité pour éviter la constitution d'en-cours trop importants. Le système Kanban fonctionne entre les postes de production aval et amont : L'opérateur aval entame un conteneur. L'ingénieur japonais Taiichi Ōno est généralement considéré comme l'inventeur de la méthode kanban[3]. Règles d'implantation du système Kanban[modifier | modifier le code] Règle 1 : Pour une référence d'article donnée, un poste de fabrication produit des pièces par lots de taille réduite, et dont la quantité est toujours fixe.

Méthode d'apprentissage cognitif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode générale d'apprentissage cognitif s'est peu à peu dégagée des travaux de pédagogues[1] qui remettaient en cause les méthodes d'enseignement traditionnelles, prônaient la participation active et l'implication des participants, ainsi que des approches pédagogiques de psycho-sociologues comme Abraham Maslow, Carl Rogers ou Harold J. Leavitt. La perspective cognitiviste, qui renvoie au terme cognition, c'est-à-dire connaissance dans le sens de processus et de produit, privilégie une approche fonctionnelle d'utilisation des facultés mentales et des connaissance déjà acquises, liées aux stratégies d'assimilation de ces savoirs, au sens large du terme (du savoir pur au savoir-être). Les bases théoriques[modifier | modifier le code] La Pédagogie[modifier | modifier le code] La psychosociologie[modifier | modifier le code] Pédagogie active et apprentissage cognitif[modifier | modifier le code] La Psychopédagogie[modifier | modifier le code]

Méthode PDCA - Roue de Deming La roue de Deming (de l'anglais Deming wheel) est une transposition graphique de la méthode de gestion de la qualité dite PDCA (plan-do-check-act). Si la paternité de cette méthode revient à Walter A. Shewhart, c'est le statisticien William Edwards Deming qui l'a fait connaître aux industriels japonais dans les années 1950 en la présentant sous l'appellation de cycle de Shewhart (the Shewhart cycle), lors d'une conférence[1] devant 45 membres du Nippon Keidanren, l'organisation patronale japonaise. Au cours des années 1980, Deming a modifié partiellement ce titre qui est devenu PDSA (plan-do-study-adjust)[2]. Technique de mémorisation[modifier | modifier le code] La roue de Deming est un moyen mnémotechnique qui permet de repérer avec simplicité les étapes à suivre pour améliorer la qualité dans une organisation[3]. À quoi sert le cycle PDCA ? « Le cycle PDCA sert à transformer une idée en action et l'action en connaissance. Démarche d'utilisation[modifier | modifier le code] Walter A.

Du rapport au savoir de Bernard Charlot "La notion de rapport au savoir commence à se répandre dans le champ des sciences humaines." B.Charlot ( professeur de sciences de l'éducation à l'Université Paris 8 Saint-Denis) est l'un des "pères" de la notion. Prenant appui sur une réflexion anthropologique, il explore dans cet ouvrage diverses "figures de l'apprendre" et propose plusieurs définitions du rapport au savoir. "L'origine sociale n'est pas la cause de l'échec scolaire" Selon B.C il y a une interprétation abusive par l'opinion publique et les enseignants des thèses de Bourdieu relatives à la "reproduction" : si certains enfants échouent à l'école, ce serait "à cause" de leur origine familiale et aujourd'hui, de leur origine "culturelle" c'est à dire "ethnique". "Les élèves en échec ne sont pas des handicapés socioculturels" Selon B.C, il existe une seconde interprétation abusive des sociologies de la reproduction : les différences de position entre individus est pensée comme handicap socioculturel. Mais un manque de quoi ?

Diagramme de Pareto (80/20) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pareto. Diagramme de Pareto sur les causes des retards au travail (les données sont hypothétiques) Le diagramme de Pareto est un graphique représentant l'importance de différentes causes sur un phénomène. Ce diagramme permet de mettre en évidence les causes les plus importantes sur le nombre total d'effet et ainsi de prendre des mesures ciblées pour améliorer une situation. Diagramme[modifier | modifier le code] Ce diagramme se présente sous la forme d'une série de colonnes triées par ordre décroissant. Ce diagramme est construit en plusieurs étapes[1] : collecte des donnéesclassement des données au sein de catégoriescalcul du pourcentage de chaque catégorie par rapport au totaltri des catégories par ordre d'importance Histoire[modifier | modifier le code] L'inventeur de ce diagramme est Joseph Juran, l'un des fondateurs de la démarche qualité. Notes et références[modifier | modifier le code]

le rapport au savoir Le rapport au savoir La formation des enseignants évolue, mais elle se caractérise encore par une estime et une place démesurées accordées aux savoirs savants à " transmettre " et un égal déni des savoirs didactiques et surtout pédagogiques. Le problème est double : - d’une part, les enseignants ont une assez courte formation en sciences humaines et sociales ; ils n’accordent pas à la recherche en éducation plus de poids qu’à leur propre opinion ; - d’autre part, et c’est encore plus troublant, ils ne donnent pas aux savoirs d’expérience des autres praticiens davantage de valeur qu’aux savoirs " savants " des chercheurs. C’est donc assez souvent, à la fois, " chacun pour soi " et " chacun sa vérité ". Dans l’enseignement, chacun ne croit vraiment qu’à ce qu’il a lui-même compris ou découvert, qu’il se sente terriblement original ou lamentablement banal. extrait de " L’innovation toujours recommencée… ou peut-on apprendre de l’expérience des autres ?

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