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Open Data (2/4) : Animer, animer et encore animer

Open Data (2/4) : Animer, animer et encore animer
Suite de notre retour sur la semaine européenne de la réutilisation des données publiques qui se tenait à Nantes du 21 au 26 mai 2012. Open Data : un moyen pour animer le territoire Laurent-Pierre Gilliard (@lpg), directeur général d’Aquitaine Europe Communication, est revenu dans sa présentation sur l’historique de l’Open Data en Aquitaine. C’est en décembre 2010 aux assises Aquitaine de l’Open Data que le sujet a été lancé par les élus de l’agglomération de Bordeaux, du département et de la Région accompagnés par AEC et la Fing. Animer, c’est faire se croiser les acteurs, comme dans le cadre d’un travail sur l’eau intitulé Bord’eau réalisé en partenariat avec la Lyonnaise des Eaux, l’IUT de Bordeaux et le laboratoire de recherche de la Lyonnaise des Eaux. Image : De gauche à droite : Stéphane Martayan, Charles Nepote, Laurent-Pierre Gilliard et Romain Lacombe sur la scène de l’Open Data Week, photographiés par Mathieu Drouet pour la Fing. Animer, animer et encore animer Hubert Guillaud

Open Data : 4 projets qui vont hacker la vie rennaise Envie de savoir quels sont les « dossiers chauds » de la Mairie ? D’écouter une musique créée à partir des statistiques de fréquentation des Champs-Libres ? Autant de projets présentés lundi à la réunion du collectif Open Data. Le projet présenté par Rennes 1720 : une version locale du site NosDéputés.fr pour tout savoir des élus rennais. Une vingtaine de bidouilleurs informatiques étaient réunis lundi à la Cantine numérique. Un détecteur des associations les plus subventionnéesUne visualisation des jours où il ne faut SURTOUT pas venir à la bibliothèqueQui sont-ils ? 1 Le conseil municipal, ce bel inconnu Le conseil municipal vous donne des boutons ? Julien et Sullivan, de Rennes 1720 (edit : et membres du collectif Open Data), proposent une radiographie des élus de la Ville de Rennes. Nos Elus propose : Les citoyens peuvent commenter chacun des sujets votés par les élus. Envie de rejoindre ce projet ? 2 Subventions aux associations rennaises Envie de rejoindre ce projet ? Lire aussi

Open Data (1/4) : Où en est-on Claire Gallon de LiberTIC, l’association nantaise de promotion de l’ouverture des données publiques (@LiberTIC), et Charles Nepote du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération (Fing) (@CharlesNepote, @la_fing), principaux coorganisateurs de la Semaine européenne de l’Open Data qui avait lieu à Nantes du 21 au 26 mai 2012, ont commencé par poser un état des lieux assez complet du mouvement de réutilisation des données publiques. Ce que l’Open Data a réalisé Le mouvement pour la réutilisation des données publiques est un mouvement mondial né début 2009 et qui a connu une forte accélération en 2010-2011, estime Charles Nepote. Image : la carte de France de l’Open Data maintenue par LiberTIC, version 4, mise à jour janvier 2012. Pourtant “si le mouvement commence à se structurer, force est de reconnaître que nous en sommes encore au temps des pionniers”, souligne Charles Nepote. Les défis à venir de l’Open Data En effet. Hubert Guillaud

L’open data en bibliothèque départementale | À la Toison d'or La bibliothèque départementale de Saône-et-Loire est le premier réseau rural à participer au mouvement de l’open data, dont nous avons déjà souligné le caractère fondamental pour rendre nos missions de service public et concourir à la diffusion de la connaissance. Après avoir abordé l’open data dans une très grande structure avec Frédéric Blin de la BNU de Strasbourg, nous nous entretenons donc avec Jérôme Triaud, conservateur des bibliothèques, directeur de la lecture publique de Saône-et-Loire. Jérome Triaud RM : La direction de la lecture publique de la Saône-et-Loire met ses données à disposition de tous dans le cadre de l’open data : pouvez-vous nous expliquer comment la décision à été prise ? Jérôme Triaud : Comme vous le savez, le département de Saône-et-Loire a été le premier département français à s’inscrire dans ce vaste mouvement de libération de données. RM : En quoi consistent ces données et à quoi peuvent-elles servir ? J'aime : J'aime chargement…

Open Data (4/4) : Le monde de l’entreprise face au défi de l’ouverture… Par Hubert Guillaud le 07/06/12 | 4 commentaires | 3,246 lectures | Impression Le mouvement de l’Open Data a été initié dans le secteur public. Sa volonté, dès l’origine, était claire : ouvrir à la réutilisation des données publiques qui ne soient pas personnelles pour en faire un levier d’innovation public à la fois pour l’administration et les usagers. Aujourd’hui, c’est au monde de l’entreprise de s’intéresser à ce mouvement. Le monde des affaires commence à s’interroger pour savoir s’il pourrait tirer partie de l’ouverture des données. Si ces deux questions sont d’importance, une autre l’est encore plus : de quelles données parle-t-on ? Quelles sont les motivations des entreprises à libérer des données ? Quelles données ? Les données publiques ne représentent qu’une partie du vaste puzzle de données qui compose l’écosystème des échanges de données, rappelle Ton Zilstra (blog, @ton_zylstra), responsable du réseau européen ePSI Plateform (présentation). Renforcer la transparence

Memoire Universitaire. Open Data : Comment impliquer... Vers un Nouveau Monde de données A l’occasion de la Semaine européenne des l’Open Data qui se déroulait à Nantes du 21 au 26 mai 2012, j’étais invité à faire une présentation sur le web des données, pour dépasser et élargir la problématique particulière de la réutilisation des données publiques. En voici la transcription. Nous sommes passés d’un web de l’information et de la connaissance à un web de données. « Les données sont le nouveau pétrole de l’économie », expliquait le consultant Clive Humby dès 2006. Tim O’Reilly et John Battelle ne disaient pas autre chose quand ils imaginaient le concept de Web² devenu depuis (et il serait intéressant de regarder comment) celui des Big Data. Nous n’échapperons pas à l’exploitation maximale de la puissance des données par l’analyse, la combinaison, la représentation, la recherche, le traitement… Le web est un écosystème de bases de données interconnectées. Tout est information. Le web est devenu « la base de données de nos intentions », affirmait John Battelle en 2003.

Bibliothèques, archives et musées à l'heure de l'Open data. Bonnes pratiques, normes et retours  d'expériences Le succès des journées AFNOR / BnF ne se dément pas. L’édition 2016, tenue le 24 juin, a ainsi attiré plus de 300 participants, issus des bibliothèques mais aussi, plus largement, des archives, des musées, du monde de l’édition ou de la documentation. Ces journées ont de fait une vocation interprofessionnelle. La Commission Nationale 46 (ou CN46) de l’AFNOR, coorganisatrice de l’événement, s’intéresse à toutes les questions qui touchent, au sens large, à l’information et à la documentation. La normalisation, un facteur d’innovation Les trois allocutions d’ouverture ont permis de rappeler le rôle que les organes de normalisation jouent en faveur de la diffusion d’information, mais aussi de rappeler que l’implication des institutions culturelles et scientifiques est indispensable. En ouvrant la journée, Arnaud Beaufort, directeur des Services et des réseaux à la BnF, a justement souligné les efforts de la Bibliothèque nationale de France dans ces domaines.

Les enjeux de l’extension de l’Open Data au monde de l’entreprise « Ainsi donc, nous souhaitons étendre le nombre et la diversité des données réutilisables. Mais pourquoi, en fait ? Pourquoi, en particulier, les entreprises contribueraient-elles à l’Open Data ? » C’est avec cette question que Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération, entamait son intervention de synthèse de la session sur l’Open Data appliquée au monde de l’entreprise pendant la semaine européenne de la réutilisation des données publiques qui se tenait à Nantes du 21 au 26 mai 2012. « Certes, beaucoup d’entreprises veulent agir en bons citoyens, mais cette motivation ne peut pas leur suffire… » Nous n’avons jamais pris les données au sérieux « Nous n’avons jamais pris les données au sérieux et aujourd’hui, elles se vengent », estime Daniel Kaplan. Les données sont pour la plupart des constructions ad hoc visant à remplir les variables des programmes, explique-t-il. L’ouverture banalisée Les enjeux des données d’entreprise ouvertes Hubert Guillaud

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