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Twitter sur les bancs d'école

Twitter sur les bancs d'école
Des élèves de cinquième secondaire de Québec pourraient être les premiers à rédiger leurs devoirs de français... en 140 caractères. L'enseignante Annie Côté a décidé d'utiliser le site Internet Twitter pour les encourager à écrire en plongeant dans l'univers de la twittérature. Depuis lundi, 55 élèves de l'école secondaire Saint-Pierre et des Sentiers à Charlesbourg doivent publier un devoir de français sous forme de tweet. Cette semaine, ils devaient rendre hommage à quelqu'un ou à quelque chose en 140 caractères, espaces et ponctuation inclus (voir plus bas). Chaque semaine, un thème différent leur sera imposé. Lundi prochain, les élèves devront publier une phrase rédigée «à la manière d'un horoscope». «Dans mes cours, les élèves sont souvent tentés d'envoyer des textos avec leur téléphone cellulaire. Annie Côté précise toutefois qu'il n'est pas question de laisser tomber la rédaction de plus longs textes, pouvant aller jusqu'à 600 mots. Twittérature M. Pour M.

Enseigner la littérature : Un défi culturel et politique dans le monde "C'est l'enseignement le plus politique qui puisse exister". Emmanuel Fraisse, professeur à Paris III, démontre cette affirmation dans le numéro 61 de la Revue internationale d'éducation de Sèvres consacré à "Enseignement et littérature dans le monde". S'appuyant sur des analyses de cet enseignement aux Etats-Unis, en Russie, en Chine, au Danemark, à Haïti, au Sénégal, au Québec et en France, E. Fraisse montre que partout l'enseignement de la littérature est un défi, une lutte entre culture nationale et ouverture, entre tradition intellectuelle et utilité, entre crainte et renouveau. Spécialiste des questions comparatistes en éducation, la Revue internationale d'éducation de Sèvres s'attaque à un objet totalement nouveau avec ce numéro 61 : il s'agit de comparer un enseignement avec ses contenus et ses exercices dans des pays extrêmement différents, au-delà de la sphère classique de l'OCDE. De ce voyage, Emmanuel Fraisse ramène quelques certitudes.

Service local du Récit des Samares EPUB (format) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir EPUB. EPUB (acronyme de « electronic publication » ou « publication électronique », parfois noté ePub, EPub ou epub) est un format ouvert standardisé pour les livres numériques. Proposé par l’IDPF, ces fichiers ont l’extension .epub. EPUB est conçu pour faciliter la mise en page du contenu, le texte affiché étant ajusté pour le type d'appareil de lecture. La dernière version standardisée, EPUB3[2], repose sur l'HTML5, ce qui ouvre la voie à de nombreuses extensions. Les livres au format EPUB3 peuvent connaître les fonctionnalités du lecteur à l'aide de la classe JavaScript epubReadingSystem spécialisée, cela leur permet d'adapter le contenu au produit[4]. Diverses applications permettent de créer un fichier EPUB directement ou à partir de fichiers dans d'autres formats[5]. Excepté l'Amazon Kindle[6], toutes les liseuses sont compatibles avec le format EPUB. Liseuses compatibles avec le format EPUB:

L'espace à Zecool Travail enseignant : Le Snuipp met la question du métier en débat "C’est d’une véritable discussion sur le métier d’enseignant prenant en compte le travail en équipe et les relations aux familles et aux partenaires dont l’école a besoin aujourd’hui", annonce le Snuipp. Le syndicat publie les résultats d'une enquête qui montre l'importance du travail personnel des enseignants. 43 heures hebdo Selon cette enquête qui a porté sur 30 258 enseignants du premier degré dont 6984 directeurs, les enseignants du premier degré travaillent 42h53 par semaine. Aux 27 heures de cours s'ajoutent 11h30 de préparation de la classe, 1h14 de réunion d'équipe, 1h45 de temps entre enseignants et 1h23 de rencontre avec les parents. Ces chiffres ne sont pas une surprise. Une question piège ? "Cette enquête montre qu’il est temps de mieux prendre en compte les nombreuses missions réalisées par les enseignants au service des apprentissages des élèves", conclue le Snuipp. En ouvrant ainsi le débat sur la question du métier, le Snuipp ouvre également un piège. François Jarraud

L'Ecole et la culture du mépris Le drame survenu à Béthune pose une nouvelle fois la question de la souffrance au travail des enseignants. Une question ancienne traitée par la refondation par la pensée magique... Ce n'est pas faute de rapports et d'études. Le mal être enseignant a fait l'objet de nombreux travaux et est parfaitement documenté. Récemment il y a eu le rapport du Carrefour social sur le burnout des enseignants et la tension au travail. Pour elle, ce qui fatigue les enseignants c'est la hiérarchie Education nationale. Cette amertume envers l'institution nous la croisons au quotidien au Café pédagogique. Il est urgent d'envoyer des signaux de changement. François Jarraud

Devenez riche en vendant votre matériel de cours! Nathalie Côté, publié le 18 octobre 2012 Une enseignante américaine est devenue millionnaire grâce à la vente de son matériel de cours sur Internet. Un site Web anglophone se spécialise d’ailleurs dans ce type de commerce. Au Québec, il pourrait éventuellement devenir possible de tirer quelques sous de ses créations pédagogiques… Devenir millionnaire en vendant son matériel de cours sur Internet? L’enseignante Deanna Jump l’a fait en offrant ses activités destinées principalement aux enfants du début du primaire sur le site américain Teachers Pay Teachers. L’outil semble bien populaire. Au Québec, Didacti aimerait également, à plus long terme, permettre aux enseignants de vendre leur matériel tout en gardant une place importante pour la gratuité, indique son fondateur, David Chartrand. Mais les enseignants devront y penser à deux fois avant de laisser tomber leur emploi. « Le marché québécois est environ 50 fois moins gros que le marché américain, remarque M. Par ailleurs, M.

Les profs plus branchés que les étudiants | Maryse Tessier | CV En 2011, la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) a mené une étude portant sur l'utilisation des TIC dans l'enseignement universitaire. Près de 18 000 personnes, professeurs et étudiants du 1er cycle, provenant de 12 des 18 universités québécoises, ont participé à cette étude. «Il s'agit de la première étude de cette envergure ayant comme échantillon ces deux populations. C'est à ma connaissance la première fois que 12 universités se réunissent pour mieux comprendre le point de vue des étudiants et des enseignants sur les technologies», indique la chercheuse Magda Fusaro, de l'Université du Québec à Montréal. L'étude est divisée en trois parties: les modalités d'études des étudiants; l'utilisation des TIC par les enseignants et les étudiants; les liens d'apprentissage utilisant les TIC et les méthodes d'enseignement à l'université. Ce qui est étonnant, c'est que les enseignants aiment utiliser les TIC dans leurs cours. Déconnectés, les profs?

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