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Pourquoi Facebook et Google devraient avoir complètement disparu d’ici 5 ans

Pourquoi Facebook et Google devraient avoir complètement disparu d’ici 5 ans
La lecture de la semaine est un post de blog hébergé sur le site de Forbes, blog tenu par un certain Eric Jackson (@ericjackson), fondateur de la société de capital-risque IronFire. Le post est intitulé “Voici pourquoi Facebook et Google devraient avoir complètement disparu d’ici 5 ans”. Ce qui est intéressant, c’est que ce post a été écrit fin avril, bien avant donc les déboires qui accompagnent l’introduction de Facebook au Nasdaq en début de semaine. Mais il donne des pistes pour comprendre à quel point Facebook a été survalorisé. Image : Dead end photographié par ashley adcox. Eric Jackson commence par expliquer que deux théories s’affrontent pour expliquer les cycles de vie des grandes entreprises. Voici l’analyse d’Eric Jackson, dont je rappelle qu’elle précède les événements des derniers jours. Cette fragmentation se fera sans doute au détriment de l’essence de Facebook. Voilà pour ce post lu sur Forbes. Xavier de la Porte

ANALYSE • Facebook est-il un média ? L'entreprise Facebook entre en bourse le 18 mai. L'occasion pour un chroniqueur du Guardian de mettre en avant un paradoxe : aujourd'hui, les médias traditionnels rêvent de la puissance financière des réseaux sociaux, quand ces derniers jalousent le contenu des médias classiques. Qu'est-ce qu'un média social, enfin, je veux dire, par rapport à nos bons vieux médias ? C'est une question que tout le monde ignore, mais qui va devenir de plus en plus pressante, et de plus en plus floue, avec l'entrée au Nasdaq de Facebook. Car dans les médias traditionnels, de plus en plus de gens se disent qu'ils devraient faire du média social. Et ils sont aussi de plus en plus nombreux, chez ces derniers, à se dire qu'avec une centaine de milliards de dollars de nouvelles liquidités sur le marché, ils représentent l'avenir des médias. Facebook, l'attrape-pub Il n'empêche que pour la publicité, souplesse et prix sont les maîtres mots. Quel modèle pour demain ? Et c'est le modèle actuel de Facebook.

Should We Fear Children Accessing Facebook? In recent months, there has been an intense media and policy vortex surrounding the questions of when and how children – especially those under 13 – should gain access to popular online sites like Facebook. The outcome of these cultural and political conversations will have a profound effect on key components of connected learning from values such as full participation and social connection to activities that are peer-supported, interest-powered, and openly networked. The focus on age as a metric for assessing the appropriateness of children’s online interactions primarily comes from several historical sources, including alcohol and drinking laws, movie and videogame rating systems, and most specifically the 1998 Children’s Online Privacy Protection Act (COPPA). COPPA requires all commercial website operators in the United States to obtain verifiable parental consent before collecting personal information from children under 13.

Les liens faibles, moteurs de notre diversité informationnelle Les chercheurs de Facebook, menés par Eytan Bakshy, ont publié une nouvelle étude s’intéressant à comment les gens recevaient et réagissaient à l’information dans le cadre du réseau social. Une étude qui nous invite à « Repenser la diversité de l’information dans les réseaux (voir le papier de recherche, intitulé, lui, plus modestement, « Le rôle des réseaux sociaux dans la diffusion de l’information »). Pourquoi « repenser la diversité de l’information dans les réseaux sociaux » ? Parce qu’habituellement, les chercheurs s’accordent à penser que ceux-ci favorisent l’homophilie, c’est-à-dire des liens avec des gens qui nous ressemblent favorisant le « rétrécissement » de la taille du web que nous fréquentons. Les liens faibles sont les gens les plus influents de nos réseaux sociaux L’expérience de Bakshy était relativement assez simple. Image : Illustration des liens forts et des liens faibles issue de l’étude d’Eytan Bakshy. C’est exactement ce qu’a trouvé Bakshy. Hubert Guillaud

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