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Qualité service public « Lean Secteur Public

Qualité service public « Lean Secteur Public
La France est une « Grande famille » qui prône les concepts du bien être et de l’égalité pour tous. A l’issue de la Seconde Guerre Mondiale, l’État Français, sous l’impulsion d’un gouvernement d’union nationale, a eu la volonté de garantir les besoins essentiels pour l’ensemble de ses citoyens comme la santé, l’éducation, la justice ou encore la sécurité. Déjà, en 1945, le Conseil National de la Résistance avait pour but de refonder l’État. Cette dynamique s’est poursuivie en 1958. Dans le même esprit, en 1968, suite à l’apparition du chômage, le gouvernement procéda à la création de l’ANPE. « En France le service public ce n’est pas seulement une profession, ce n’est pas seulement un métier, c’est une vocation ». Depuis, la société Française a évolué et s’est transformée. Le manque de ressources oblige l’État à redéfinir son service public. Dans le même objectif, en 2007, l’État Français a lancé une réforme sans précédent : la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP).

Six Sigma Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode Six Sigma se base sur une démarche fondée à la fois sur la voix du client (enquêtes, etc.) et sur des données mesurables (par indicateurs) et fiables. Cette méthode est utilisée dans des démarches de réduction de la variabilité dans les processus de production (ou autre) et au niveau des produits et vise ainsi à améliorer la qualité globale du produit et des services. Le symbole de six sigma. Histoire[modifier | modifier le code] L’histoire de Six Sigma débute en 1986 chez Motorola, mais la méthode devient célèbre dans les années 1990 lorsque General Electric décide de l’appliquer et de l’améliorer. Origine de l'appellation[modifier | modifier le code] En statistiques, la lettre grecque sigma σ désigne l'écart type ; « Six Sigma » signifie donc « six fois l'écart type ». Concept[modifier | modifier le code] Exemple[modifier | modifier le code] Prenons le cas d'une pièce mécanique dont la longueur nominale est L. Principe DMAIC

La RGPP : un défi pour les collectivités territoriales et les territoires (rapport) Partie 1 Chapitre 1 Le cadre général de la RGPP Proposition n° 1 Etablir dans la suite de la RGPP une définition claire des missions de l'Etat, veiller à l'adéquation des moyens à ces missions et régler, le cas échéant, les doublons et compétences partagées. Proposition n° 2 Permettre dans certaines régions déterminées par leurs spécificités géographiques (superficie, relief, nombre des départements la composant) un assouplissement de l'organigramme des services déconcentrés pour mieux assurer la proximité des services de l'Etat. Proposition n° 3 Favoriser l'accomplissement d'une mobilité pour les fonctionnaires d'Etat, territoriaux et hospitaliers relevant des corps et cadres d'emplois de catégorie A sur un poste d'une autre fonction publique que sa fonction publique d'origine. Propositions n° 4 et 5 - Recenser les opérations de mutualisation et chiffrer leurs résultats dans les rapports d'étape du CMPP. Propositions n° 6 et 7 Proposition n° 8 Proposition n° 9 Proposition n° 10 Proposition n° 11

Après 4 années de RGPP, l'heure du 1er bilan Le rapport, remis fin juin 2011, par la mission d’information sur les conséquences de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) pour les collectivités locales, peut faire office de premier bilan, après 4 années de mise en oeuvre. Sans condamner une politique qu’elle estime nécessaire pour poursuivre la réforme de l’Etat, la mission appelle, dans son rapport, à en « corriger les effets indésirables » en prenant mieux en compte « le besoin de proximité ». Quant à la question de savoir si la RGPP génère bien les économies annoncées, le chiffrage reste encore sujet à caution. Le gouvernement avait en effet annoncé 10 milliards d’euros d’économies budgétaires pour 2013, après 7 milliards réalisés entre 2009 et 2011. Enfin, au terme de 4 années de mise en pratique, on est aussi en droit de s’interroger sur les effets concrets de cette politique sur les collectivités. Détracteurs - Sur les bancs des détracteurs, Jean-Paul Delevoye.

Comment se débarrasser de l'ex-nouveau management public ? Billet publié par Stéphane Vincent dans la catégorie Tags: administration , Innovation Marjorie Jouen est conseillère à Notre Europe, un think thank dédié à l’unité européenne. Pour elle, qui observe de près l’évolution des politiques publiques européennes, la France est en retard d’une révolution. Quel bilan peut-on tirer du new public management ? Marjorie Jouen - Le new public management consiste à appliquer des techniques de l’entreprise dans le secteur public, en utilisant de nouvelles modalités de production, comme la fixation d’objectifs, l’évaluation… Il a abouti à une dégradation de la qualité des services publics, ainsi qu’à un accroissement de l’inégalité d’accès à ces services. Si plaquer les méthodes du privé ne fonctionne pas, que faut-il faire ? MJ - Nous devons remettre en cause notre conception de l’intérêt général, ce qui implique de revisiter les processus que nous avons mis en place pour le réaliser. Est-ce un changement de valeurs ?

Nouvelle gestion publique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nouvelle gestion publique (également appelée nouveau management public, de l'anglais new public management) est un concept né dans les années 1970. Elle nie - ou en tous cas minimise - toute différence de nature entre gestion publique et gestion privée. le niveau du pilotage (le pouvoir politique qui prend les décisions stratégiques et fixe les objectifs),le niveau d'exécution (le pouvoir de l'administration ou du gestionnaire qui prend les décisions opérationnelles). Ceci afin d'améliorer le rapport coût/efficacité du service grâce à une modernisation accrue et un plus grand pragmatisme de gestion au sein des administrations publiques. Questionnement de la gestion publique traditionnelle[modifier | modifier le code] L'idée de base de la nouvelle gestion publique est que les formes classiques d'organisation de l'État doivent être profondément repensées pour plusieurs raisons : Les principes de base[modifier | modifier le code]

Quels buts à la révision générale des politiques publiques ? Lancée voilà plus de 2 ans, la révision générale des politiques publiques (RGPP) nous est officiellement présentée comme la bonne façon de répondre aux besoins des usagers, d’améliorer le fonctionnement des services, et surtout de participer un effort important de redressement des finances publiques (1). Derrière ces objectifs auxquelles tout citoyen normalement constitué ne peut qu’adhérer, la multiplication des dysfonctionnements administratifs qui semble en résulter, fait que nous devons nous poser la question du véritable but poursuivi par cette politique. Le cas typique de la direction générale des finances publiques Une des motivations la mise en place de la RGPP a été, dans bon nombre de secteurs, de permettre à nos concitoyens d’accéder aux informations et aux services de la fonction publique au travers d’un guichet unique. Dysfonctionnements à tous les étages On pourrait également questionner la logique d’appliquer la RGPP à l’hôpital public. Références

Révision générale des politiques publiques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La révision générale des politiques publiques (RGPP) consiste en une analyse des missions et actions de l'État et des collectivités, suivie de la mise en œuvre de scénarios de réformes structurelles, avec comme buts la réforme de l'État, la baisse des dépenses publiques et l'amélioration des politiques publiques. De telles politiques ont été menées dans de nombreux pays, notamment au Canada de 1994 à 1998 sous le nom de revue des programmes. En France, la RGPP, ou révision générale des politiques publiques, a commencé en 2007, puis est remplacée en 2012 par la MAP (modernisation de l'action publique). Objectifs[modifier | modifier le code] Cette remise à plat des politiques publiques sert trois objectifs majeurs : Mieux adapter les administrations aux besoins des usagers ;Valoriser le travail des fonctionnaires ;Réduire les dépenses publiques pour revenir à l’équilibre budgétaire et gagner des marges de manœuvre. Que faisons-nous ?

Moyens des services publics et responsabilité des professionnels Par Michel Huyette Il y a quelques jours, un groupe de travailleurs sociaux des services de l'enfance de l'ouest de la France publiait un communiqué intitulé "Faut-il un mort ?" (lire ici). Plus récemment encore, des professionnels de la justice (magistrats et avocats), de la protection judiciaire de la jeunesse, de l'administration pénitentaire, également de l'ouest de la France, ont pubié un communiqué commun (lire ici) pour faire savoir à quel point il leur est de plus en plus difficile d'assurer leurs missions à cause de la réduction de leurs moyens. Il y est écrit, notamment, qu'au tribunal pour enfants de Nantes entre 2007 et 2010 les procédures de protection de l'enfance ont augmenté de 14,5 %, les procédures pénales de 23 % et les mesures d'exécution des peines de 182 %, qu'au cours de la même époque le nombre de juges des enfants est passé de 6,5 à 5,6 avec en même temps la suppression d'un poste de greffier (1). La problématique de ces trois situations est la même. --- 1.

Revue Revue française d'administration publique 2010/4, La révision générale des politiques publiques Introduction Page 751 à 754 La révision générale des politiques publiques Méthode, inspirations, comparaisons Page 755 à 774 La révision générale des politiques publiques : objet, méthodes et redevabilité Page 775 à 802 Morphologie de la RGPP Une mise en perspective historique et comparative Page 803 à 820 La « réingénierie de l'Etat », réforme québécoise inspirée du managérialisme Page 821 à 835 Moderniser l'Etat : les aspects financiers des programme reviews au Royaume-Uni Page 837 à 855 Les programme reviews au Royaume-Uni et la question de la mesure de la performance Aspects transversaux Page 857 à 864 La révision générale des politiques publiques, une conception néolibérale du rôle de l'Etat ? Page 865 à 879 Les élites de la réforme Page 881 à 893 La RGPP et la LOLF : consonances et dissonances Page 895 à 905 Management public : les enseignements d'une enquête sur la perception de la RGPP Contenus Page 907 à 918 Révision générale des politiques publiques et gestion des ressources humaines Page 919 à 942

Rapport parlementaire sur la réforme de l’Etat (RGPP) : « on atteint des limites »… Par Marcel Brun Peut-on évaluer la fameuse "Révision générale des politiques publiques (RGPP)" ? Les représentants de la Nation le doivent. Le rapport des députés F. Cornut-Gentille (UMP, Marne) et Christian Eckert (PS, Meurthe-et-Moselle), réalisé pour les Comités d’Evaluation et de Contrôle des politiques publiques de l'Assemblée, est une véritable bombe à fragmentation. Un bilan sans concession, véritable exercice démocratique Quel est l’objet de leur enquête ? « Le lancement de la RGPP a été marqué par une commande hiérarchique ignorant agents publics et usagers du service public » (…) « La communication officielle sur la RGPP est caractérisée par une forme d’hagiographie peu crédible, une simplisme de la présentation et une ergonomie de lecture déficiente ». L’exemple de l’Education Nationale : Un projet piloté par le haut, sans mobilisation des agents Les préconisations des cabinets d’audit partiellement suivies ? Des changements dans le travail Des gains financiers à pondérer ?

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