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GESTE

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Numerama Ce n'est pas une surprise, puisqu'il avait été dès 2009 le premier à avancer l'idée de faire payer Google lorsqu'il présente une sélection d'articles issus de son service d'indexation des sites de presse. Jeudi, le Groupement des éditeurs de services et de contenus en ligne (GESTE) a publié un communiqué dans lequel il dit souhaiter " ", c'est-à-dire le faire payer lorsqu'il indexe des contenus et propose des liens hypertextes qui permettent de les consulter. " ", rappelle l'organisation. " ". Parmi les membres du GESTE figurent Allociné, Atos, Deezer, Bouygues Télécom, TF1, France Télévision, l'INA, Lagardère Interactive, CBS Interactive (ZDNet, GameKult, Cnet...), M6 Web (Clubic, JeuxVideo.fr, Pure Médias...), Orange, PayPal, SFR, l'UFC-Que Choisir, Yahoo... ou encore Google France. Il juge que " ", mais prévient qu'il " ".

SEPM Cette page provient du site La presse magazine. Elle a été imprimée le à . L'original est disponible en ligne à l'adresse suivante : La commission Marketing et Publicité du SEPM M&P structure le marketing collectif du média magazine, vis à vis des agences et des annonceurs. La commission a pour mission la promotion collective du média magazine.Son but est d’illustrer la spécificité et la compétitivité des marques de presse vis-à-vis des autres médias, (TV, radio, Internet, …) comme média publicitaire. Valoriser le média magazineMesurer son efficacitéFluidifier les relations entre régies/ agences et annonceurs. Un véritable plan marketing et communication a été mis en place pour démontrer l’efficacité et la modernité du média magazine : Effipresse pour mesurer l’efficacité des campagnes mono ou bi média, EffiCross pour mesurer la contribution de la presse dans un plan pluri-média, Chronopresse pour décrire la pression des campagnes dans le temps.

Philippe Jannet Faire payer Google. Ce serpent de mer du quinquennat de Nicolas Sarkozy – avec la très controversée "taxe Google", va-t-il refaire surface sous l’ère François Hollande ? A l’époque, il s’agissait de faire participer les géants du web au "financement de la création, ainsi qu’à celui des investissements dans les réseaux", comme l’avait déclaré l’ancien chef de l’Etat au magazine Le Point. Aujourd’hui, la donne est différente. "Participation juste" En Allemagne, le gouvernement veut pousser les moteurs de recherche à rémunérer les contenus qu’ils indexent, comme sur le portail Google Actualités, en versant une contribution aux sites d’information. Le texte, qui doit encore être présenté devant le Parlement allemand, entend garantir une "participation juste" des moteurs de recherche et des agrégateurs à la production journalistique. Google sur la défensive Contacté par ZDNet.fr, Google n’a pas souhaité réagir sur la polémique, qui s’est propagée en France. Sus à Google Actualités

SFIB Ajouté le 7 septembre 2012 Le SFIB a découvert par voie de presse que le Syndicat de la Presse Quotidienne Nationale (SPQN) et l’association de la presse IPG (d’information politique et générale), devraient adresser ces jours-ci plusieurs propositions aux pouvoirs publics car ils réclament une rémunération pour leurs contenus repris par les portails d’information sur Internet. Un projet de loi en cours d’adoption en Allemagne prévoit d’obliger les portails à verser des commissions aux journaux dont ils reprennent les informations, ce qui encourage le monde de la presse en France. La presse demande en effet que soit appliqué à la presse en ligne le taux de TVA réduit de 2,1 % réservé à la presse écrite, ils proposent ensuite la création d’un « droit voisin », qui serait un droit d’utilisation de leurs contenus par les portails Internet ou les moteurs de recherche : ces derniers devraient les rémunérer pour exploiter ces contenus. lire le communiqué de presse La presse en parle

Spiil Le Spiil détient un siége de suppléant à la Commission paritatire des publications et agences de presse (CPPAPT), qui délivre les reconnnaissances pour la presse numérique comme pour la presse papier. Le Spiil y défend en particulier une conception large du principe de presse d'information Politique et Générale. Transparence des aides Le Spiil considère qu'une aide de l'Etat à un secteur indispensable à une démocratie fonctionnelle peut se justifier, sous réserve d'un contrôle démocratique de l'octroi de ces aides, et donc d'une trés grande transparence. Le Spiil défend cette position au Comité d'Orientation du fonds SPEL, où il détient un siège. Annonces légales Depuis un décret de 1955, les annonces légales sont réservés aux titres papier payants.

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