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Moving towards solidarity - Features

Moving towards solidarity - Features
Transphobic feminism makes no sense, argues Laurie Penny Laurie Penny, 6 December 2009 For decades, the feminist movement has been split over the status of trans people, and of trans women in particular. High-profile feminists such as Germaine Greer, Jan Raymond and Julie Bindel have spoken out against what Greer terms "people who think they are women, have women's names, and feminine clothes and lots of eyeshadow, who seem to us to be some kind of ghastly parody". Some prominent radical feminists have publicly declared that trans women are misogynist, "mutilated men"; trans people have responded to this harassment by vigorously defending themselves, demanding that anti-trans feminists are denied platforms to speak on other issues and, in some cases, by renouncing feminism altogether. Many otherwise decent and sensible cis feminists have fallen prey to lazy transphobic thinking. Femininity is a social construct and Bindel is right to identify it as such.

Pourquoi y a-t-il si peu de femmes en prison ? Ogresses, sorcières, lécheuses de guillotine, viragos, Amazones, harpies, émeutières, pétroleuses… Au cinéma, dans la littérature et dans les médias, lorsque les femmes sont mises en scène comme des êtres violents, c'est pour les taxer d'«hystériques», autrement dit pour les mettre à l'asile. On ne met pas les aliénées en prison. Dans l'imaginaire collectif, la violence masculine est rationnelle, parce qu'elle s'inscrit dans une logique de défense du territoire: le mâle tue pour protéger sa femelle ou son pays. La femelle, en revanche, semble ne tuer que sous l'effet d'une folie utérine, emportée par ses hormones et ses instincts déséquilibrés… La frustration probablement. On imagine, en général, qu'une tueuse est une "mal-baisée", pire une "frigide desaxée", histoire à la fois de l'excuser (la pauvre) et de la classer au rayon des "irresponsables". Dans leur livre, l'existence du tabou, clairement dénoncée, fait l'objet de plusieurs analyses critiques.

Adopteunmec : l'inversion des rôles ? Mon oeil Pour « fêter » ses 4 ans, adopteunmec, ce site de rencontres qui se définit comme le « supermarché de la rencontre où les femmes font des bonnes affaires », a lancé une campagne de publicité. Comme Gleeden, le site des rencontres extraconjugales « conçu par des femmes et pour des femmes », adopteunmec, qui surfe sur la vague consumériste de la rencontre, prétend inverser les rôles femmes-hommes dans la séduction. Site de rencontres féministe ou inversion des rôles bidon ? Dans un style ostensiblement provocateur et une apparence très "rock", ce site prétend casser les codes de la séduction en mettant les femmes dans une position d'initiatrices de la rencontre, en leur "rendant le pouvoir" de choisir un partenaire, plutôt que d'attendre d'être choisies par des hommes, code habituel des contes de fées dont les femmes sont abreuvées. Le site s'adresse plutôt à des femmes jeunes, modernes et indépendantes, lassées des sites de rencontres classiques.

Cher Monsieur Gilles Simon : Le(f)t-it-blend Publié le 26 juin 2012 Classé dans Sport | 1 commentaire Cher Monsieur Gilles Simon, l’exemplarité des sportifs professionnels français ne me semble pas telle, en ce moment, qu’ils puissent se permettre de quelconques revendications salariales supplémentaires. Particulièrement en ces temps de crise, où la représentation du nombre de zéros qui s’alignent allègrement derrière le premier chiffre de vos gains dépasse la capacité d’imagination de la plupart d’entre nous. Et alors même que vous jouissez du privilège rarissime dans notre société de vivre de votre passion. La prestation offerte par l’Equipe de France de football au cours de l’Euro 2012 n’a visiblement pas été de nature à contenter les valeureux supporters qui, par le temps de cerveau disponible qu’ils leur consacrent, contribuent amplement à verser des primes auxquels les joueurs, eux, n’ont pas renoncé . Certes, vous n’êtes en rien responsable des agissements de Samir Nasri et de quelques autres de ses collègues. Commentaires

Des tartuffes féministes En préambule voici déjà tous les articles que j'ai écrits sur la prostitution :Prostitution et non abolitionnismeCache toi, bordel19eme et prostitutionAssises de la prostitutionCaubere Philippe, fatDe la prostitution encore Ce qui me frappe depuis plus de dix ans dans ces éternels débat féministes sur la prostitution, c'est l'immense agressivité qui sévit de chaque côté. J'ai été très longtemps abolitionniste, je ne le suis plus. Au cours de ces années, j'ai vu les deux camps s'opposer à coups d'invectives et en se donnant mutuellement des brevets de féminisme. Je suis tout à fait certaine, pour ma part, que la position féministe abolitionniste - qui passe donc entre autres par une punition du client mais pas que - est une position féministe. En revanche je me refuse à ne pas comparer le sexe avec d'autres activités. Pour autant, faut-il punir le client ?

Qui veut des enfants ? Arrière-plan des théories des agents médicaux et sociaux Warren Hern critique la façon dont la plupart des médecins acceptent « la définition téléologique largement répandue de la femme, comme essentiellement machine à reproduire » (Hern 1971 : 5). Pour le médecin, implicitement, non seulement la grossesse est normale mais elle est aussi : « …particulièrement désirable du point de vue du fonctionnement physiologique, psychologique et social de la femme, et l’impossibilité (ou pire, le refus) de devenir ou de rester enceinte est donc pathologique. Autrement dit, on établit d’abord que la grossesse est normale et désirable et on pose ensuite que toutes les femmes la définiront ainsi. Ainsi, le désir de ne pas avoir d’enfant doit être expliqué. Cette politique conduisait à prolonger les délais entre la demande et l’opération, d’où un état de grossesse avancé au moment de l’avortement et donc d’anxiété pour les femmes. Ils ajoutent : La majorité des infirmiers sont des infirmières. 1. 2. 3.

Discussion sur le sexisme, l'homophobie et autres rapports de dominations et comment y faire face (en mixité) Ce texte et cette invitation sont le fruit de deux discussions lors de réunions non-mixtes "hommes", c’est à dire personnes se reconnaissant dans cette catégorie ou bien ayant reçu une éducation masculine. Une ambiance sexiste, machiste, homophobe, viriliste s’est cristallisée dans des espaces et moments collectifs sur la Zad. Des meufs se font prendre les outils des mains sur les chantiers de construction , se sont vues signifier implicitement ou explicitement que leur place n’était pas là. En parallèlle, ce sont des meufs en grande majorité qui font la cuisine et prennent en charge les tâches de ménage sur les espaces collectifs tandis qu’une majorité de mecs tiennent les barricades. Un couple homo se fait suivre, insulté puis menacé avec un couteau et sur le moment personne n’a réagit... Diverses autres agressions sexistes ou homophobes ont été rendues publiques. Pourquoi nous sommes nous réuni en non-mixité ?

Qu’est-ce que l’Asexualité? | Sexpress « Vacances pluvieuses, amours torrides » – flickr/Easy très rider Dimanche 18 novembre 2012 à 17h à La Mutinerie, Baptiste expliquera ce qu’est cette non-attirance sexuelle. Il propose pour Sexpress la définition ci-après. La plupart d’entre vous en ont déjà entendu parler. C’est resté quelque part dans votre tête entre l’heure qu’il faisait hier à la même heure et le prix des petits pains au chocolat. Attention définition : une personne asexuelle est une personne qui ne ressent pas d’attirance sexuelle. Probablement pas. Chacun devrait pouvoir avoir tout le sexe qu’il veut, du moment que c’est consensuel. Puisqu’il ne faut pas hésiter à dire les choses même les plus évidentes, je n’hésite pas : les personnes qui s’identifient comme asexuelles ont des sentiments. En fait, il y a tellement de diversité chez les personnes asexuelles que si je vous expliquais tout d’un coup, ça vous ferait sans doute exploser le cerveau. - Aller écouter Baptiste à la mutinerie - lire Sexe Libris

Chère Carla Bruni Dans un entretien au magazine Vogue de décembre, Carla Bruni-Sarkozy se dit «pas du tout militante féministe». «On n’a pas besoin d’être féministe dans ma génération. Il y a des pionnières qui ont ouvert la brèche. Je ne suis pas du tout militante féministe. Une déclaration qui fait réagir Claire Serre-Combe et Magali De Haas, de l'association Osez le féminisme ! «On n’a pas besoin d’être féministe dans ma génération. Le féminisme consiste à se battre pour les droits des femmes, pour que ces dernières soient enfin les égales des hommes, notamment dans la sphère publique. Le féminisme consiste à faire en sorte que les femmes soient maîtresses de leur vie, libres et autonomes. Le féminisme consiste aussi à permettre aux femmes de disposer librement de leur corps, et d’avoir le choix de mener ou non une grossesse à terme, et d’accoucher dans de bonnes conditions, dans un service public hospitalier de qualité. Pourquoi les femmes gagnent en moyenne 27% de moins que les hommes ?

Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et l’espace. Partie 1 : l’occupation de l’espace Partie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversation Partie 3 : l’expression de la colère Dans cette nouvelle série d’articles, nous nous intéresserons à différents comportements qui sont typiques des dominants (occuper beaucoup d’espace, avoir beaucoup de temps de parole et parler fort, exprimer certaines émotions comme la colère…). Brigitte Laloupe aborde ce thème dans son livre « Pourquoi les femmes gagnent-elles moins que les hommes ». Occuper beaucoup d’espace : un attribut du dominant Les dominants ont droit à plus d’espace1. Plus précisément, l’espace personnel des dominants est plus grand2. En corrélation avec un plus grand espace personnel, les dominants ont tendance à occuper plus d’espace avec leur corps. L’utilisation de l’espace est donc un très bon indicateur de statut social. Les espaces privés des hommes La plus faible utilisation de l’espace par les femmes est visible dans bien d’autres domaines. public. En conclusion 1. 2.

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