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Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud

Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir BRIC. BRICS est un acronyme anglais pour désigner un groupe de cinq pays qui se réunissent en sommet annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud. Avant l'ajout de ce dernier pays en 2011, le groupe était appelé BRIC. Rarement utilisé, l'équivalent français de cet acronyme est l’ABRIC (Afrique du Sud, Brésil, Russie, Inde et Chine[1]), BRASIC ou encore BRICA[2]. Les cinq pays composant le BRICS sont pour la plupart considérés comme des grandes puissances émergentes, ils sont respectivement les sixième, neuvième, dixième, deuxième et vingt-neuvième puissances économiques mondiales (au sens du PIB nominal) [3] et septième, sixième, troisième, deuxième et vingt-cinquième en parité de pouvoir d'achat. Histoire[modifier | modifier le code] Origine du terme[modifier | modifier le code] « Les BRIC sont des pays à forte croissance, dont, au début du XXIe siècle, le poids dans l’économie mondiale augmente.

China official manufacturing PMI points to contraction in August China’s official manufacturing PMI points to further weakening of China’s manufacturing sector. China’s official manufacturing PMI fell below 50 for August to 49.2, a nine-month low, and below market estimate of 50. PMI below 50 would normally indicates contraction in manufacturing activities. New orders fell slightly from 49 to 48.7, while new export orders remained unchanged at 46.6. Due to seasonality of the official PMI, we have to point out that August is historically a strong month. And as a reminder, HSBC/Markit flash PMI hits a nine-month low of 47.8, although it has been below 50 for 10 consecutive months. Source: NBS, CFLP The chart below illustrates the seasonality of official PMI numbers by show headline PMI numbers for each year on separate lines. The chart below shows the difference of Official and HSBC/Markit PMIs. Source: NBS, CFLP, HSBC/Markit, Bloomberg The chart below compares the New orders minus inventory measures of official PMI and HSBC/Markit PMI.

Le sentiment de l’inéluctable : la crise rupturielle s’avance Le sentiment de l’inéluctable : la crise rupturielle s’avance Les dernières statistiques du département du travail, aux USA, sont catastrophiques pour ce qui concerne la création d’emploi. Les chiffres ont été donnés vendredi, clairement inférieurs à ceux qu’attendaient les économistes habituellement en embuscade avec leurs prévisions. On attend une nouvelle phase de planche à billets (Quantitative Easing 3, ou QE3), comme piètre mesure d’urgence de Bernanke, le président de la Federal Reserve. Russia Today rapporte la chose, le 7 septembre 2012, observant que le pourcentage de la population impliqué dans l’économie active aux USA est tombé à son plus bas niveau depuis septembre 1981, avec 63,5%. »The percentage of able-bodied Americans searching for jobs has hit a 30-year-low, and Wall Street now expects the US Federal Reserve to announce a new round of quantitative easing as early as next week. Les Russes se doutent-ils de quelque chose ?

Poutine veut un BRICS stratégique, vite… Poutine veut un BRICS stratégique, vite… Le président russe Poutine annonce qu’il proposera à la prochaine réunion du BRICS, les 26-27 mars à Durban, en Afrique du Sud, une extension décisive du rôle de ce regroupement jusqu’ici essentiellement économique de cinq puissances de ce qu’on a coutume de nommer un peu vite “le monde émergent”. Poutine prend garde d’identifier le BRICS comme “un élément-clef du monde multipolaire émergent”, ce qui a une toute autre signification, quasiment opposée, à l’expression “monde émergent”. L’expression “monde émergent”, avec sa connotation dégradante ou implicitement méprisante rappelant l’expression “Tiers-Monde”, implique évidemment le suprématisme anglo-saxon étendu au bloc BAO, conduisant à considérer le modèle BAO comme la Lumière du monde en tous points mais essentiellement économique et moral pour satisfaire les convictions de la modernité, le “monde émergent” évoluant avec comme destin fatal de s’intégrer au bloc BAO.

Banque des Brics : le nouvel ordre économique mondial attendra Manmohan Singh, Xi Jimping, Jacob Zuma, Dilma Rousseff et Vladimir Poutine à Durban, le 27 mars 2013 (SMNGOMA/SIPA) Réunis en sommet en Afrique du Sud, les grands pays émergents ont finalement annoncé qu’il faudrait attendre 2014 pour voir la création de leur banque d’investissement commune, prenant à contre-pied les observateurs qui s’attendaient à une mise en place rapide de cette institution financière multilatérale. Nés de la vision d’un analyste financier de la banque Goldman Sachs en 2001, les Brics (pour Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) n’auront donc finalement pas réussi à dépasser leurs divergences sur ce sujet, malgré l’ampleur des enjeux. Il reste encore quelques caps à franchir En effet, bien que cet instrument soit d’abord destiné à financer leurs ambitions économiques, cette "Banque Brics" constituait pour beaucoup l'affirmation d’une puissance politique arrivée enfin à maturité. Cinq pays si différents La "revanche des humiliés" ?

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