background preloader

Gnose

Gnose
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De façon très générale, la Gnose (du grec γνῶσις, gnôsis : connaissance) est un concept philosophico-religieux selon lequel le salut de l'âme (ou sa libération du monde matériel) passe par une connaissance (expérience ou révélation) directe de la divinité, et donc par une connaissance de soi[1]. Le mot Gnose a notamment été utilisé dans les premiers siècles de notre ère, de façon polémique, par des théologiens chrétiens (en particulier Irénée de Lyon dans sa Dénonciation et réfutation de la gnose au nom menteur (vers 180)) pour désigner certains mouvements du christianisme ancien dénoncés comme hérétiques. La découverte en 1945 des manuscrits de la Bibliothèque de Nag Hammadi a fourni des témoignages directs de ces mouvements, dont la vision et l'intérêt ont été renouvelés, et qu'on désigne aujourd'hui par « gnosticisme historique », ou simplement gnosticisme. Distinction Gnose-Gnosticisme[modifier | modifier le code]

DE ALAGADLU Saint Simon Stock D’origine anglaise, il fut général de l’Ordre au moment de son implantation en Europe. Il a laissé le souvenir d’un religieux profondément attaché à la Vierge Marie. On lui attribue une vision de la Vierge au cours de laquelle celle-ci lui serait apparue avec le scapulaire en lui disant : « Voici le privilège que je te donne, à toi et à tous les enfants du Carmel. Quiconque meurt revêtu de cet habit sera sauvé. » Il adressait souvent à la Vierge Marie cette prière qui est devenue la prière mariale par excellence de l’Ordre : Flos carmeli Vitis florigera Splendor caeli Virgo puerpera Singularis Mater mitis Sed viri nescia Carmelitis Esto propitia Stella Maris Fleur du CarmelVigne fleurieSplendeur du CielVierge fécondeUnique Douce MèreQui ne connus pas d’homme,Aux enfants du CarmelSois propiceÉtoile de la mer

Loge maçonnique Fidélité et Prudence à l'Orient de Genève Mysticisme Il n'existe pas plus de définition uniforme du mysticisme que d'unanimité sur sa délimitation d'avec la philosophie, la théologie ou la spiritualité. Le terme est tiré de l'adjectif gréco-latin mysticus (caché, mystérieux), utilisé par les auteurs chrétiens du Moyen Age en relation avec l'ecclésiologie et la doctrine des sacrements (le "corps mystique" du Seigneur), l'exégèse biblique (le "sens mystique" ou anagogique de l'Ecriture) et la "théologie mystique" de Denys l'Aréopagite (vers 500). A l'époque moderne, il a pris un sens plus large, étendu aux doctrines d'autres religions et milieux culturels et recouvrant, dans un contexte chrétien, tout ce qui tend à l'abolition de la distance entre l'homme et Dieu, l'importance accordée au moment subjectif de l'expérience personnelle de la divinité étant très variable (Christianisme). Auteur(e): Martina Wehrli-Johns / LA 1 - Le mysticisme médiéval apr. 1326). 2 - La mystique à l'époque moderne Références bibliographiques Bibliographie– C.

La Parole Circule... Mystique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mystique ou le mysticisme est ce qui a trait aux mystères, aux choses cachées ou secrètes[1]. Le terme relève principalement du domaine religieux, et sert à qualifier ou à désigner des expériences spirituelles de l'ordre du contact ou de la communication avec une réalité transcendante non discernable par le sens commun. « Mystique » vient de l'adjectif grec μυστικός, (mustikos). La notion de mystique a été développée dans le christianisme en rapport avec une conception biblique et plus particulièrement paulinienne du mystère selon laquelle ce dernier s'identifie avec la révélation de Dieu en Jésus-Christ. La mystique a commencé à être objet de défiance et de rejet dans le christianisme dès qu'elle y a été identifiée comme une forme particulière de l'expérience religieuse. À partir des années 1920 a commencé à se poser la question de savoir si la mystique pouvait être athée[4]. Histoire sémantique[modifier | modifier le code]

Grand orient de Belgique : Accueil La franc-maçonnerie - son existence et l’influence qu’elle exerce ou non sur la société civile - constitue, depuis peu, un enjeu sociétal que chacun - maçon ou non - parait vouloir instrumentaliser. Ecole de sagesse, d’amour et de progrès, trop peu soucieuse de résultats pour les uns, secte protégée et lobby pour les autres : les critiques, selon qu’elles proviennent de sympathisants ou d’adversaires, sont diamétralement opposées. Cela fait plusieurs années qu’après les traumatismes de l’après guerre, le Grand Orient de Belgique signifie ostensiblement son existence, aux côtés d’autres obédiences, à travers le Musée belge de la franc-maçonnerie, l’organisation de journées portes ouvertes, l’édition de plaquettes à l’intention des non-maçons. Il permet l’accès de son centre d’archives et de documentation aux chercheurs, organise, à l’occasion, des colloques publics, participe aux rentrées académiques de nos universités bruxelloises. Bon voyage sur notre site web…

Thérèse d'Avila Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sainte Thérèse d'Ávila (en religion : Teresa de Jesús, baptisée : Teresa Sánchez de Cepeda Dávila y Ahumada[2]), née le 28 mars 1515 à Gotarrendura (Vieille-Castille) et décédée la nuit du 4 au 15 octobre 1582[3] à Alba de Tormes (Espagne), est une religieuse carmélite espagnole et réformatrice de l'Ordre du Carmel au XVIe siècle. Profondément mystique elle laissa des écrits sur son expérience spirituelle qui la font considérer comme une figure majeure de la spiritualité chrétienne. Canonisée en 1622, elle fut la première femme reconnue, au xxe siècle, comme docteur de l'Église catholique. Liturgiquement sainte Thérèse d'Avila est commémorée le 15 octobre. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] L'idéal pieux et l'exemple édifiant de la vie des saints et martyrs lui furent instillés dès son enfance par ses parents, le chevalier Alonso Sánchez de Cepeda et Beatriz d'Ávila y Ahumada. Statue de Thérèse à Ávila

Related: