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Le Blues du Community Manager

Le Blues du Community Manager
65inShareinShare65 Job à la mode depuis quelques années, le Community Management souffre de clichés et d’un positionnement que les agences et annonceurs peinent à définir, ou à assumer. Retour sur une expérience vécue par de nombreux jeunes communicants. J’ai eu l’occasion de pratiquer le métier de Community Manager durant deux années, la première en agence pour une belle marque, la seconde chez un bel annonceur. On est alors en droit de se poser la question : le jeu en vaut il la chandelle ? De ces quelques constats découlent une situation : le Community Management n’est pas le graal de l’entreprise. - Il y a trop de fantasmes autour de ce métier. - Les entreprises font passer le métier en bout de chaîne. - Une agence spécialisée CM est soumise aux bons vouloir de Facebook. - On parle d’engagement à tout va, mais personne n’a encore trouvé comment calculer le taux d’engagement (sic). - Le poste en lui même doit être légitimé. - Il n’y a pas de hiérarchie du Community Manager.

Quels KPIs pour l’Analytics Social Media ? [Infographie] Réussir sur les médias sociaux c’est d’abord créer une stratégie social media qui définit des objectifs quantifiables à court, moyen et long terme ainsi que des tactiques pour les atteindre. En parallèle, il est également important de mettre en place une méthodologie pour mesurer les résultats obtenus et identifier ce qui marche et ce qui ne marche pas afin d’adapter sa stratégie social media. Si vous êtes nouveau dans l’analytics social media, l’infographie présentée ci-dessous devrait vous intéresser. Que pensez-vous des indicateurs suggérés par l’infographie d ’ »Awareness » ? Source : socialmediatoday.com Pour plus de nouveautés sur les médias sociaux, merci de vous abonner à la newsletter du blog ou à son flux RSS. Tags: analytics, awareness, infographie, kpi, socialmediatoday Catégorie: Social Media

Community management : de l’exploration à l’exécution Il y a quelques semaines je vous annonçais la sortie du nouveau rapport du community roundtable. Je n’avais pas vraiment eu le temps de rentrer dans les détails, m’engageant à y revenir un peu plus tard. C’est donc l’objet de ce billet. Comme vous pouvez le voir sur la matrice qu’ils ont créé, je vais revenir sur les différents items : stratégie, leadership, culture, management, contenu, gouvernance, outils et mesures. Pour en savoir un peu plus sur ce travail et eux en général je vous renvoi à l’interview de leur Principal Rachel Happe. Le rapport comporte un sondage, en voici les principaux points : Mais revenons à nos items. Stratégie : De plus en plus d’entreprises se tournent vers le collaboratif avec les premiers retours d’expériences positifs, conduisant à une prise de risque moindre et des gains mieux identifiés. Quelques rappels pour se lancer : Leadership La technologie est la partie la plus simple à mettre en place, l’animation la plus dure à faire prendre. Culture

Community Manager : Mon job ? Les réseaux sociaux ! Gérer la conversation des marques ou des entreprises sur les réseaux sociaux est un métier tout aussi stratégique que celui de relations publiques. Et puisque tout se passe en ligne, il nécessite une connaissance du web et des outils de monitoring. Pour en savoir plus, Cominmag a donné la parole aux principaux intéressés : les Community Managers. Etrange profession que celle-ci. Alors que tout le monde convient de l’utilité des web-designers ou des web-developpeurs, le Community Manager reste un métier mal défini. Est-ce parce que certains pensent que passer du temps sur Facebook, Twitter ou Linkedin tient plus du registre ludique que du professionnel ? Interviewés : Anna Jobin, David Labouré, Yan Luong, Elise Nardin, Quentin Turf, Danielle Emery-Mayor - Le Community Management c’est ? David Labouré : La gestion de l’animation de communauté(s) en ligne. Danielle Emery-Mayor : C’est l’animation d’une place du village virtuelle! - Quel poste occupez-vous actuellement ?

Community management : 6 pilliers d'une politique indispensable | Wesaw.it | Guide du web Community management… un terme à la mode, le nouveau must have du moment de toute entreprise présente sur le web. Mais au-delà de l’effet de mode, la notion d’animation de communauté a toujours existé, par des media plus classiques et à différentes échelles. Je vous propose, dans un modèle hiérarchisé, 6 piliers du community management sur lequel s’appuyer pour apporter à la marque une visibilité de bonne qualité. Note : Dans cet article, j’utilise préférentiellement le terme « marque », très lié à la notion d’identité et au sentiment d’appartenance, mais on peut très bien le remplacer par « entreprise », ou « service ». 1. Cette veille passe par la mise en place d’alertes (Google Alerts), l’utilisation de sites de monitoring (Youseemii, Wdyl ou Howsociable). 2. La première urgence pour une marque, est d’organiser une présence. Le blog. Plus on décide tôt d’une présence sur une plateforme, plus on a de chance d’avoir un pseudonyme ou une adresse au nom de la marque. 3. 4. 5. 6.

Interview de Community Manager : Lionel Fumado d’Orange Dans notre série d’interviews de Community Managers, nous avons le plaisir de recevoir Lionel Fumado, Community Manager chez Orange. 1 – Est-ce que tu peux te présenter et nous parler de ton parcours professionnel, et ce qui t’a attiré dans le Community Management ? Quand j’ai commencé à travailler dans l’univers des jeux en ligne en 2005 chez GOA, je pratiquais, tel un « Monsieur Jourdain » du numérique, le « community management » sans le savoir. A l’époque, l’animation d’une communauté, le support clients et la création de contenus étaient fusionnés sous l’étiquette « Game Master ». Quelques années plus tard, avec l’explosion de la popularité des jeux en ligne et l’exigence d’une relation 24/7 avec les clients, ce métier s’est spécialisé dans des rôles bien précis, comme celui de community manager. Aujourd’hui je suis social Media Manager, c’est-à-dire que je travaille en coordination avec l’ensemble du Groupe Orange pour orchestrer la présence de la marque sur le web social.

L’animateur de communauté doit d’abord être un passionné « E-Gouv Québec À quelle heure et quel jour de la semaine dois-je publier mes statuts Facebook ou mes "tweets"? Les abonnés Facebook préfèrent-ils les vidéos aux photos? Comment augmenter le taux d’engagement sur mes comptes « sociaux »? C’est sans doute dans l’espoir de mettre la main sur les 10 astuces du parfait animateur de communauté que les participants au Printemps des réseaux sociaux de Québec (#PRSQC, 3 et 4 avril 2012) se sont dirigés vers la conférence de Kim Auclair, présidente et animatrice de communauté Web chez niviti. Surprise : pour Auclair, le secret d’un animateur de communauté efficace repose non pas sur la technique, mais plutôt dans la passion qu’éprouve ce communicateur envers le contenu qu’il doit créer et partager. « Il est plus facile d’apprendre la gestion de communauté à un individu que de le rendre passionné d’un sujet », constate avec justesse cette animatrice d’expérience. 3 conseils clés pour les animateurs de communauté Développer une tolérance à l’erreur Sur Facebook :

Le blog du Modérateur - Voilà LE sujet qui fait parler les community managers sur le web. Mais combien gagne un community manager ? Combien facture-t-il quand il est freelance ? Avant d’aborder la question du salaire, il est important de bien comprendre quelque chose : il existe de grandes disparités entre les profils mais surtout entre les missions des community managers. Il semble que plusieurs éléments, en dehors du contenu même des missions, affectent grandement le salaire. L’expérience joue un rôle important également. Autrement dit, si vous souhaitez gagner votre vie en tant que community manager, mieux vaut être un Bac+5 avec 5 ans d’expérience et travailler dans un grand groupe. Un petit mot sur les freelances, qui ne semblent pas être très gâtés. 44% qui facturent à moins de 200 euros par jour, c’est beaucoup. Pas de doute, il y a encore du travail pour mieux encadrer le périmètre du métier de community manager, mieux former les nouveaux arrivants et définir le profil idéal pour les recruteurs.

Evitez les dangers des réseaux sociaux, gagnez du temps Combien de temps passez-vous sur les réseaux sociaux pour promouvoir votre activité? 3h par semaine? 1 h par jour? Des matinées voir des journées entières? Et pour quel résultat? Car oui, si vous ne vous méfiez pas, les réseaux sociaux peuvent rapidement vous aspirer beaucoup, beaucoup d’heures de travaille. Alors, comment gagner du temps? 1er danger des réseaux sociaux: pas d’objectif clairement défini Rien ne vous empêche de passer vos journées à poster sur Facebook, seulement si vous n’avez pas d’objectif clairement défini, vous perdrez votre temps. Pour commencer munissez-vous d ‘un papier et d’un crayon et notez quels sont vos objectifs sur les réseaux sociaux. Pas de “je veux gagner en visibilité au plus vite” mais plutôt “j’ai besoin d’échanger avec 2 contacts qualifiés par mois d’ici août grâce à Twitter” . Vous verrez comme par enchantement vous irez droit au but lorsque vous vous connecterez sur vos réseaux sociaux. 2nd danger des réseaux sociaux: se disperser A quoi il sert?

La quête de sens des community managers, ou l’effet moutons de Panurge Les billets sur l’avenir du community manager fleurissent un peu partout sur les blogs en ce moment. Ce serait à lui de se réinventer, de faire sa place dans les entreprises pour que le poste trouve son utilité. Beaucoup parlent d’une bulle, d’une remise en question profonde du métier, d’une nécessité de multiplier les tâches. Une quête de sens ROI, engagement, nombre de retweets, likes… Les community managers ont inventé leurs propres metrics, aidés par des réseaux sociaux bien heureux d’ajouter des « achievements » à leurs utilisateurs et d’alimenter le mythe de la présence indispensable des entreprises sur leurs sites. Et si le problème était là, justement ? Résultat ? Éviter le cercle vicieux et ne pas croire les opportunistes Le problème dans ce genre de cas, c’est le cercle vicieux qui est engendré. Plutôt que d’expérimenter, beaucoup se contentent d’utiliser les recettes réchauffées trouvées ici et là, ne prenant pas le temps de vérifier leur intérêt. Le pire dans tout ça ?

"Notre community manager doit se mettre dans la peau de Mr. Propre" Le chargé des relations extérieures de Procter & Gamble décrypte l'arrivée sur les réseaux sociaux d'un quadragénaire bien connu du grand public : Mr. Propre. Pourquoi avoir décidé d'investir les réseaux sociaux ? Julien Wintenberger (Mr. En outre, si historiquement, nous avons été très présents sur les formats télés, il était naturel de basculer une partie du budget vers l'Internet, avec l'émergence des nouveaux usages digitaux. Pouvez-vous nous parler de cette application proposant aux internautes de faire leur "ménage digital" ? Nous voulions évènementialiser le lancement de notre page Facebook, prévu pour le 26 mars, en imaginant un concept fort qui puisse aider la communauté de fans de Mr.Propre. C'est pourquoi, avec l'agence Passage Piéton, nous avons pensé à lancer une application permettant de faire comprendre les nouvelles fonctionnalités du format aux utilisateurs. Avez-vous utilisé des leviers spécifiques pour promouvoir votre page Facebook ?

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