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La fin de la vie privée sur facebook

La fin de la vie privée sur facebook
Enfin ! la vie privée devient sujets d’actualité et d’inquiétudes, dans un monde où chacun est suivi continuellement par des entreprises et par l’État. Avec une interconnexion croissante et l’échange d’information par les réseaux qui s’étend, nous pouvons potentiellement partager avec le monde entier, en toute transparence et instantanément, nos moindres faits et gestes. Internet étire désormais sa toile jusque dans nos téléphones portables. Alors, forcément, ça crée des ruptures. Les conséquences se font sentir au-delà de la technologie, ce sont nos comportements qui changent. Est-ce vraiment le cas ? Peut être pas, car en dépit de ces nouvelles pratiques sociales sur le Web, la vie privée reste au centre des préoccupations. Ainsi, beaucoup s’insurgent contre la nouvelle politique de Facebook concernant la confidentialité. The Age of Privacy is OverReadWriteWeb Alors, sur Facebook, point de vie privée. Remettons-nous donc un peu dans le contexte. Alors comment en est-on arrivé là ?

Pourquoi je n’utiliserai plus Facebook Jusqu’à présent, Facebook était un « réseau social » qui permettait à ses utilisateurs de se relier entre eux en « devenant amis » pour ainsi partager et publier des informations, des liens et des contenus. Certes, si on publiait sa vie privée sur facebook, on pouvait ensuite s’en mordre les doigts et commencer à se poser des questions : « ma vie privée est-elle menacée par facebook ? », « faut-il instaurer un droit à l’oubli pour protéger les jeunes de leur utilisation de facebook ? J’ai déjà décrit ce que j’en pensais. J’ai trouvé jusque là qu’il n’y avait pas grand mal à être inscrit sur facebook. En somme, le calcul des avantages moins les inconvénients était positif, surtout si, comme moi, on est soucieux de garder le contrôle de ses publications et que donc on n’a ni souscrit à n’importe quoi, ni publié quoique ce soit qui n’ait été un minimum réfléchi. Mais voilà, cette semaine, facebook a annoncé ses plans et les changements qu’ils venaient de mettre en place. Que faire ?

Facebook instaure de nouveaux paramètres de confidentialité - Le Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laurent Checola Sur le site de socialisation Facebook, un message, apparu mercredi 9 décembre, invite les internautes à mettre à jour les options de confidentialité de leur profil. Censé simplifier la gestion de la vie privée des 350 millions d'usagers en ligne dans le monde, le système permet de paramétrer, pour chaque nouvel élément publié, qui en sera le destinataire : les amis, la famille, ou bien tout le monde. Plusieurs associations de protection de la vie privée américaines ont toutefois souligné les limites de ces changements, déjà annoncés au mois de juillet. "Cet outil est clairement conçu pour que l'information soit partagée par tous ; une évolution qui va avoir des effets sur le degré de vie privée des utilisateurs, que ce soit intentionnellement, ou inconsciemment", souligne l'Electronic Frontier Foundation. L'American Civil Liberties Union (ACLU) insiste pour sa part sur la problématique des applications tierces.

Facebook : la mémoire cachée L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne. Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !» «Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !» Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. Dégainant sa directive 95/46/CE qui garantit un tel droit à tout citoyen européen, Max Schrems écrit à Facebook pour réclamer l'accès à l'ensemble des données le concernant, via un formulaire très bien caché sur le site du réseau. - Facebook connaît bien sûr la liste d'amis liée à un profil, mais conserve également le nom de tous les prétendants refusés. «Shadow profiles»

An inch closer to the end of privacy (thanks Facebook!) — Scoble If the end of privacy is so evil, so awful, so unthinkable, then why am I liking the new Pandora so much? See, in the past three days since Facebook announced major new changes to its social contract with all of us, I’ve been able to study my friends’ personal musical tastes in a way I couldn’t just four days ago. Here, come on over to the new Pandora on my screen. I see that Aaron Roe Fulkerson, MindTouch’s Inc founder and CEO, listened to Toad the Wet Sprocket. I see that Adrian Otto, chief of research at the Rackspace Cloud (where I work at), listens to Kenny G. I see that Alan Cooper, father of Visual Basic, and head of a famous software design studio that bears his name, listens to the Barenaked Ladies. Should I keep going? To me this is freaking awesome. Oh, yeah, and you can see my own account and see how my musical tastes are changing thanks to this new feature. But, on the other hand, this new feature has heralded a new age where we move closer to the end of privacy. So, now what?

Pour la 12e fois de l'année, Facebook vient de tuer Twitter Facebook s'inspire à nouveau de Twitter. Sous peu, il sera possible de "taguer" ses amis dans les statuts. Traduction pour les non-initiés : en écrivant le nom d'un de ses contacts dans ses messages, ces derniers sauront que vous les avez cités, comme c'est déjà le cas pour les "tags" de photos. Comme c'est aussi le cas sur Twitter. Immédiatement, Mashable a publié un billet listant tout ce que cela change : les conversations seront plus nombreuses, puisque vous saurez quand votre nom apparaîtra. Bref, ce coup semble bien dirigé contre Twitter, dont Facebook va jusqu'à reprendre la syntaxe @pseudo pour formuler les citations. Voici la liste de tous les changements observés ces derniers mois : Facebook Lite. Rien ne permet cependant de dire, dans le même temps, que cette "twitterification" a tué ou est en passe de tuer Twitter.

Facebook sait quand vous écrivez mais ne postez pas Il y a quelques mois, un de mes amis a demandé sur Facebook: «Vous croyez que Facebook traque les choses que les gens tapent puis effacent avant d'appuyer sur "entrée" ou sur le bouton "poster ce statut"?» publicité Bonne question. On passe beaucoup de temps à penser à ce que l'on poste sur Facebook. Est-ce que mes amis veulent vraiment voir une autre photo de mon chat ou de mon bébé? Malheureusement, le code qui alimente Facebook sait quand même ce que vous avez tapé –même si vous décidez de ne pas le publier. Facebook considère ces pensées non-postées comme de «l'autocensure», et on trouve des révélations sur la façon dont l'entreprise collecte ces non-statuts dans une récente étude écrite par deux Facebookers. Elle révèle beaucoup de la façon dont Facebook surveille nos pensées non-partagées, et ce que l'entreprise en pense. L'étude a examiné les non-statuts, les non-posts sur les fils d'actualités d'autrui et les commentaires sur les statuts d'autres personnes. Jennifer Golbeck

10 Reasons To Delete Your Facebook Account Réaction à Facebook sur Envoyé spécial

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