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Patrick Viveret

Patrick Viveret
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Parallèlement à ces activités, il est chargé par Guy Hascoët (secrétaire d'État à l'Économie solidaire du gouvernement Jospin), de diriger la mission Nouveaux facteurs de richesse (2001-2004), qui accouchera d'un rapport. Un livre destiné à un plus grand public en est extrait : Reconsidérer la richesse[2], inspiré notamment du livre de Dominique Méda : Qu'est-ce que la richesse ?. Dans le livre Pourquoi ça ne va pas plus mal ? Il est aussi à l'origine de la Monnaie complémentaire Sol, dont trois expérimentations (au Nord-Pas-de-Calais, en Île-de-France et en Bretagne) ont été mises à jour en mars 2006. Ses domaines d'intérêt sont la philosophie politique, l'économie, la comptabilité, les mouvements associatifs et des alternatives au développement non durable, telles qu'une « sobriété heureuse » démocratiquement débattue et choisie ou des « politiques publiques de mieux-être ». Créatifs culturels

François Couplan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. François Couplan (né en 1950 à Paris) est un ethnobotaniste et écrivain français, spécialiste des utilisations traditionnelles des plantes sauvages et cultivées, qu'il a étudiées sur les cinq continents. Biographie[modifier | modifier le code] Doctor of Science en Grande-Bretagne, diplômé de l'École pratique des hautes études de Paris, il anime des stages d'étude des plantes comestibles depuis 1975 aux États-Unis et depuis 1980 en Europe. Il possède une expérience approfondie de la vie au sein de la nature et de l'utilisation des plantes sauvages, tant en Europe qu'en Amérique du Nord, en Amérique centrale, dans les îles de l'océan Pacifique et au Moyen-Orient, où il a recueilli la tradition orale des divers peuples rencontrés. François Couplan est spécialiste des utilisations traditionnelles des plantes sauvages et cultivées, qu'il a étudiées sur les cinq continents. Gastronomie à base de plantes comestibles[modifier | modifier le code]

Bioecon To the extent that we are all capable of producing and consuming, it can be done WITHOUT MONEY. Bioecon provides the tools for the exchange between individuals, stores and industries, at local, regional and global scales, behaving as producers and consumers at the same time. Consumers in Bioecon are actively engaged in the production of the goods, services and knowledge offered. In Bioecon you can decide which way to go according to your philosophy and the ways in which you prefer to relate with others: - freely giving and freely receiving through shared consumption functionalities (no exchange involved) - direct reciprocity - peer to peer trade using Bioecon points as a tool for multirreciprocal exchanges or a combination of the 3. Through facilitating alternative distribution channels, Bioecon also aims to diminish the amount of waste produced. The system finds matching needs for your offerings and matching offerings for your needs. The technology is available to do all kinds of things.

Philippe Derudder Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Philippe Derudder, auteur engagé à chercher des solutions alternatives afin de mettre l'économie au service de l'homme et de la planète. Parcours[modifier | modifier le code] Né en 1948, Philippe Derudder est pendant 10 ans formé au monde de l'entreprise. En 1980, il reprend l'entreprise familiale qui en 5 ans prend une dimension internationale (douze agences en Europe du Nord et en Asie). En 1992, il décide de démissionner pour ne plus cautionner un système auquel il ne croit plus. L'intention déclarée est de lutter contre l'ignorance sur la véritable nature de la monnaie et de mettre en évidence les motifs qui, selon eux, justifient une réforme fondamentale du système monétaire actuel: Ph. Ph. Œuvres[modifier | modifier le code] Voir également[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de l’altermondialisme

Charles Fourier - Culture & Révolution Charles Fourier, fils de commerçant, est né Besançon en 1772. Son premier ouvrage important est publié en 1808 : Théorie des quatre mouvements et des destinées générales. En 1812 un héritage lui permet d'écrire à temps plein. Sommaire : Rompre avec la pensée bourgeoise des XVIIe et XVIIIe siècles... - ... et avec la Révolution française - Une vision très large de l'humanité... mais fausse - La place centrale des sentiments - Un jargon extraordinaire - Le rejet de la société capitaliste, porteuse de violence - Le système des phalanstères - L'influence du mutualisme - Victor Considerant - Godin - Cabet - D'autres utopistes - La fin des utopistes - Fourier : inspiration pour des romanciers du XIXe siècle - Deux articles de Charles Rappoport (1920-21) Rompre avec la pensée bourgeoise des XVIIe et XVIIIe siècles... Fourier ne partage pas les idées du libéralisme bourgeois, cette idéologie du progrès qui puise sa théorie dans les découvertes en mathématiques et en physique au XVIIe siècle.

The MintChip Challenge Canoë - Techno-Sciences - Un aspirateur en carton présenté au salon IFA Un aspirateur fabriqué essentiellement en carton, une «première mondiale» d'après le fabricant, sera présenté au salon IFA qui ouvrira bientôt ses portes à Berlin. L'aspirateur, baptisé Vax ev, est l'oeuvre de l'étudiant Jake Tyler, de l'université de Loughborough au Royaume-Uni et du fabricant d'aspirateurs Vax. Le Vax ev est principalement constitué de plaques de carton ondulé recouvertes d'un enduit ininflammable. Un plastique nylon recyclable a été utilisé lorsqu'il était impossible de recourir au carton. Le Vax ev multiplie les efforts envers l'environnement. Les plaques de carton ondulé recyclables qui le composent sont également employées pour former la boîte dans laquelle l'aspirateur est vendu et les parties en plastique ont été conçues pour être fabriquée aisément de façon locale, afin de réduire les émissions de CO2 dues au transport. L'aspirateur n'est pas encore commercialisé mais un communiqué de presse révèle que Vax envisage de le produire en édition limitée.

Charles Fourier Signature sur un exemplaire de ses ouvrages. Vue de la sépulture. Il était considéré par Karl Marx et Friedrich Engels comme une figure du « socialisme critico-utopique », dont un autre représentant fut Robert Owen. Biographie[modifier | modifier le code] En 1808, il pose, dans son ouvrage Théorie des quatre mouvements et des destinées générales, qu’il poursuivit sous forme d’un grand traité dit de l’Association domestique et agricole[2]:73, les bases d’une réflexion sur une société communautaire. En janvier 1826, employé comme commis chargé de la correspondance ou de la comptabilité, dans une maison de commerce américaine, temporairement établie en France, il prend la résolution d’habiter désormais la capitale, de préférence à toute autre ville, parce qu’il espère y rencontrer plus aisément des personnes en position d’essayer sa Théorie[2]:91. Dans les dernières années de sa vie, Fourier connaît un début de notoriété, mais il reste un homme solitaire. Pensée[modifier | modifier le code]

Game over, Bitcoin ! À quand des monnaies virtuelles valorisant l'humain ? La monnaie virtuelle Bitcoin est la preuve que les monnaies cryptées distribuées ont de l’avenir, mais ses défauts soulèvent des critiques justifiées. Il est temps de passer à l’étape suivante de la révolution monétaire pour créer un système au service de l’humain. Quand Bitcoin a démarré en 2009, il ne s’agissait que d’un obscur projet crypto-anarchiste. De quoi s’agit-il ? Si certaines rêvent que le bitcoin s’impose comme véritable alternative aux euros ou au dollar, aujourd’hui, le système demeure essentiellement utilisé pour effectuer des dons en ligne, acheter des services d’hébergement, jouer à des jeux d’argent en ligne, ou encore l’achat de stupéfiants. Les usages demeurent donc limités, mais tout le monde s’accorde néanmoins à dire que Bitcoin est une formidable preuve de la validité du concept de monnaie P2P, du moins du point de vue technique. “Un système conçu pour créer des milliardaires en bitcoins” Bitcoin fait l’objet de deux sortes de critiques. Credit picture zcopley

A partir du 27 septembre, la Terre nous fera crédit Il n’y a pas que la Grèce qui vit au dessus de ses moyens. En fait, c’est toute l’humanité. Sauf qu’ici, il n’est pas question d’argent, mais des ressources de notre bonne vieille Terre. En 10 mois, l’humanité a épuisé un an de ressources naturelles. Une date symbolique, le 27 septembre, a été fixée par l’organisation américaine Global Footprint Network pour marquer comme tous les ans ce passage. Au-delà, nous serons donc en « déficit » écologique, et nous devrons puiser dans des stocks déjà bien affaiblis. L’humanité a entamé son crédit dans les années 1970, selon l’organisation spécialiste de l’empreinte écologique de l’humanité. Le hic c’est que nous n’avons qu’une Terre sous nos pieds. Cette surconsommation de la nature, « c’est comme si l’on dépensait son salaire annuel trois mois avant la fin de l’année, et qu’on grignotait ses économies année après année », estime le président de Global Footprint Network, Mathis Wackernagel, dans un communiqué.

La Pensée sauvage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Pensée sauvage est un essai de Claude Lévi-Strauss publié pour la première fois en 1962 chez Plon. Thématique[modifier | modifier le code] En utilisant le thème de l'ethnologie traditionnelle l'auteur cherche à décrire les mécanismes de la pensée en tant qu'attribut universel de l'esprit humain. Pour lui, la pensée sauvage est présente en tout homme tant qu'elle n'a pas été cultivée et domestiquée à « fins de rendement ». Partant de ce principe, l'évocation de thèmes tels que la science, la culture, les totems et castes, ou encore les « Catégories, Éléments, Espèces et Nombres », appuyés par de nombreuses références ethnologiques issues de l'étude de peuples primitifs variés, sont autant de moyens d'illustrer le fonctionnement de la pensée chez l'homme primitif. Il s'achève par un chapitre consacré à une discussion d'un livre de Jean-Paul Sartre dont il conteste le regard sur certains fondements philosophiques de l'anthropologie.

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