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Storify : une (r)évolution en marche?

Storify : une (r)évolution en marche?
"Content curator" le terme est barbare mais préparez vous à le lire de plus en plus souvent sur le Net. Cité par le site Owni.fr, Rohit Bhargava, blogueur spécialisé dans les nouveaux médias, définit ainsi cette nouveauté : "Un “Content Curator” est quelqu’un qui continuellement trouve, regroupe, organise et partage le contenu en ligne le plus clair et le plus pertinent sur un sujet spécifique." C’est en substance ce que Storify vous propose de faire. Héritier des services de veille d’information comme les alertes Google ou Tweet Deck, le site créé par deux web-entrepreneurs, Burt Herman et Xavier Damman, permet de trier, sélectionner, organiser et enfin d’insérer dans des articles, des informations collectées sur les réseaux sociaux. Dans les faits, Storify associe un moteur de recherche (sur Twitter, Google, Flick et autres) à une interface de mise en page qui permet d’intégrer dans le corps de l’article des tweets, des liens, des images ou des vidéos, d’un simple clic. Martin Bodrero

Visualisation de données : rencontre avec David McCandless » Article » OWNI, Digital Journalism Le journaliste du Guardian tient le site "Information is beautiful", sur lequel il met en scène toutes sortes de données. Entretien autour des problématiques que pose la visualisation de données. Boire un thé avec David McCandless d’Information is beautiful quand on s’intéresse à la visualisation de données revient un peu à partager un pétard avec ses rockers préférés quand on est une groupie. Je souris béatement tandis qu’il peste contre sa nouvelle maison qu’il juge bien trop grande et trop froide. David met de l’eau à bouillir et je remarque que même sa théière est recouverte d’une petite laine. Quelques instants plus tard, je le suis, sans sucre et sans lait, dans les escaliers qui mènent à son bureau. Work In progress Là, il me montre une infographie sur les exoplanètes qu’il termine actuellement pour The Guardian. La notion d’échelle est fondamentale pour moi ; je crois que c’est véritablement la clé de la visualisation de données car elle donne à la fois le contexte et le sens.

Le journaliste du futur sera «augmenté» et «multitâches» Livre Responsable de la stratégie numérique à France Télévisions, Eric Scherer analyse l’avenir d’un métier malmené. «A-t-on encore besoin des journalistes?», s’interroge Eric Scherer dans un ouvrage paru ce mois-ci aux Presses Universitaires de France. Malmenés par les nouveaux médias électroniques, les journalistes ont encore leur mot à dire. Le journaliste du futur sera «multitâches et multimédia», écrivez-vous. L’ère est effectivement au journalisme «enrichi», où tout le monde fait tout: les journaux mettent en ligne des vidéos, les télévisions des articles, les radios des images… La convergence existe aussi du côté du spectateur/lecteur/auditeur, qui peut désormais accéder à l’information indifféremment sur un smartphone, une tablette, un ordinateur ou une télévision. La télévision, justement, est selon vous la prochaine cible de la révolution internet. Les premiers postes de télévision connectables à l’internet sont déjà sur le marché. A-t-on encore besoin des journalistes?

Storify, vers une nouvelle forme de journalisme MarketingAjouté le 11/04/14 Brève Quelle est la longueur idéale d’un tweet, d’un titre, d’un post ? ‘’Faites court’’, c’est l’injonction dominante pour les réseaux sociaux. Pour découvrir tous les chiffres et les analyses, le post est là : The Ideal Lenght of Everything Online Le Printemps des Études fait la part belle au digital Créer un espace participatif et générer un climat de confiance sont les deux pré-requis à toute conversation digitale. Mais comment s’y prendre pour écouter, analyser et réagir aux conversations des internautes ? Conçu à partir des attentes de ses acteurs, cet évènement offre toute une série de conférences et rendez-vous, parmi lesquels : Comment exploiter les big, small ou open data dans les études stratégiques (jeudi 10 à 15h); Comment mesurer les nouveaux usages sur les nouveaux devices et comprendre le consommateur (vendredi 11 à 15h); ou encore des études de cas sur l’apport des communautés clients aux études (vendredi 11 à 16h30). MarketingAjouté le 09/04/14

Le futur des manuels scolaires Inventer le manuel scolaire du futur ne consiste pas seulement à insérer des vidéos et des liens Internet dans un livre de cours traditionnel. Il me semble qu’avec les nouvelles possibilités des publications digitales nous avons pour la première fois l’occasion de redonner au manuel scolaire un rôle central dans le cœur même de l’activité pédagogique en classe et hors de la classe. L’art d’enseigner est un art de l’orchestration (voir les articles de Pierre Dillenbourg sur ce sujet). L’enseignant compose une partition où alternent les présentations en classe, les travaux individuels et activités en petits groupes. Cette partition constitue ce que l’on appelle un script pédagogique. En attendant que l’école du futur advienne, les manuels scolaires pourraient jouer déjà dépasser leur fonction en grande partie obsolète de support de connaissance pour devenir de véritables outils d’orchestration.

Wikileaks, héros ou escrocs ? J'ai résisté pendant plusieurs semaines aux sirènes du buzz "Wikileaks" ; mais mes fils RSS se sont inexorablement remplis à 80% d'articles directement ou indirectement liés à ce sujet. J'ai donc décidé de boire la tasse jusqu'au bout, et de m'offrir une cure intensive de Wikileaks avant de passer à autre chose. Le lecteur légitimement agacé de la récurrence de ce sujet pourra arrêter ici la lecture de ce billet. Commençons par un focus sur la naissance mouvementée de Wikileaks, qui en dit déjà long sur les orientations du projet. 4 octobre 2006 : Wikileaks.org est enregistré par John Young, co-fondateur de Wikileaks et fondateur de Cryptome.org, autre site bien connu pour dévoiler des documents confidentiels. Après la fondation de Wikileaks s'ensuivent plusieurs années plus ou moins intéressantes, où Wikileaks va dévoiler des documents confidentiels de diverses sources. Toute cette agitation, rappelons-le, a pour origine la publication :

Les journalistes spécialisés ont toujours la cote (Agence Science-Presse) Le journalisme scientifique est promis à un bel avenir si l’on en croit les invités à la table ronde «Le journalisme tel que pratiqué aujourd’hui», organisée récemment par la Chaire de journalisme scientifique Bell Globemedia de l’Université Laval. Cliquer sur la photo pour agrandir Le journalisme spécialisé a sa place dans l’univers médiatique québécois. Parce que le public est bombardé d’informations, il y a davantage besoin d’articles de fond sur des sujets précis pour comprendre les véritables enjeux, pour départir le vrai du faux, selon Pierre Sormany, éditeur et directeur général de Vélo Québec Éditions et de Québec Science. Le public est curieux et ne demande qu’à savoir. Avec l’avènement du web 2.0, le public est appelé à intervenir de plus en plus dans l’actualité. La rapidité avec laquelle circule l’information oblige aussi les journalistes à être présents sur plusieurs plateformes.

10 ways journalists can use Storify When Storify appeared on the collective journalism screen a few weeks back at TechCrunch Disrupt, it inspired a lot of oohs, ahhs and speculation as to how it would work for journalists. There are similar curation tools out there, like KeepStream and Curated.by, though they focus primarily on collecting tweets (Correction: KeepStream also allows for Facebook integration). Storify, on the other hand, allows a user to organize various media (text, documents, video, images) and social media (Twitter, Facebook, etc.) into an orderly, linear presentation. The story pieces retain all of their original links and functionality – and the full presentations are embeddable on any site. It has a couple of downfalls, the biggest of which, to me, is the lack of hard timestamps on content from Twitter (though that’s largely Twitter’s fault). 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. These are likely just the beginning of what’s been done or could be done using Storify. 8. 9. 10.

RT @Elearningactu: Qu'est ce que le blended learning ? #formationadistance Définition du Blended-Learning Le Blended-learning (également appelé formation mixte) est un dispositif de formation alliant différents modes de formation, afin d’offrir à l’apprenant le moyen de formation le plus complet du marché. Le mot « Blended learning » vient de l’ anglais: « blend » qui signifie mélange, et « learning » signifie apprentissage. Domaines de formation en Blended-learning Le Blended-Learning est largement utilisé et recommandé dans le cadre de formation linguistique puisqu’il permet d’allier théorie et pratique. Selon Telelangue, l’un des leader de la formation en langue à distance, le blended learning linguistique permettrait un gain d’efficacité de 30 à 50% supérieur aux cours traditionnels pour un coût bien inférieur. Ci-dessous le graphique montrant les différents domaines de formation en Blended learning. D’après l’étude de DEMOS sur l’année 2009: Source: Etude de DEMOS, Blended-learning et tutorat 2008-2009 Efficacité pédagogique : Rapidité : Double Flexibilité :

#Cablegate : les documents diffusés par Wikileaks sont ils illégaux ? Wikileaks Wikileaks est toujours et plus que jamais en ligne, il continue d’être la cible d’attaques massives par déni de service, il est aussi aujourd’hui fort probablement le site le plus mirroré du monde. Un article assez intéressant paru sur la Tribune nous explique la faible marge de manœuvre d’Éric Besson suite à sa saisie du CGIET visant à faire interdire l’hébergement de Wikileaks en France. Le rapport du Conseil général de l’industrie, de l’énergie et des technologies commandité par Éric Besson sera normalement remis cette semaine. De son côté, pour OVH qui avait lancé une procédure en référé, le Tribunal de Grande Instance de Lille ne semble toujours pas avoir accusé réception de demande de l’hébergeur en sa qualité de prestataire technique d’un contenu dont on ne saurait dire s’il est légal ou pas. Le premier problème, c’est la reconnaissance de la classification secret américaine en France : les documents classifiés aux USA ne sont pas classifiés en France.

Le journalisme d'enquête, un service essentiel | Nathalie Collard | Médias Le journalisme d'enquête ne date pas d'hier. Aux États-Unis, il est en quelque sorte né sous la plume de Upton Sinclair, auteur du roman The Jungle, publié la première fois sous forme de feuilleton en 1905 dans le journal Appeal to Reason. Dans ses textes, Sinclair y décrivait les conditions déplorables de l'abattage des animaux à Chicago. Ses révélations ont mené à l'adoption de la Loi sur l'inspection des viandes. Le travail de Sinclair s'inscrit dans la tradition du «muckraking». Au Québec, une des premières enquêtes menées par un journaliste, et une des plus retentissantes aussi, demeure celle de l'ancien ministre libéral Pierre Laporte. Quand il y a un grand manque de transparence dans nos institutions, le travail du journaliste d'enquête permet de faire jaillir la vérité, observe Guy Amyot, secrétaire général du Conseil de presse du Québec. Le journalisme d'enquête est donc un contre-pouvoir important.

Storify optimise « l’information » venue des réseaux sociaux Storify, c’est l’histoire d’un jeune entrepreneur du web belge qui décide durant l’été 2009 de tenter sa chance à San Francisco, haut-lieu de l’innovation technologique. Dans les valises de cet ingénieur, un projet : « Publitweet » - futur « Storify »-, un outil de sélection du meilleur des publications sur la Toile. L’idée est née d’un simple constat : « La majorité du grand public n’a pas le temps de voir ce qui se passe sur Twitter ou sur les autres réseaux sociaux, explique le co-fondateur de la start-up, Xavier Damman. Il lui faut donc un outil qui fasse le tri à sa place ». Le jeune entrepreneur n’en est pas à son coup d’essai – quelques années plus tôt, il a créé avec succès Tweetag, un moteur de recherche par mots-clés sur Twitter. « L’agence de presse du XXIe siècle » Nouveau nom, nouveau site : il y a quelques mois, Xavier Damman et Burt Herman lancent une version, pour l’instant en betâ privée, de Storify. Zeliha Chaffin

Cartographier les délires du copyright, ça vous dit ? #pearltrees « :: S.I.Lex :: J’avais déjà eu l’occasion d’écrire un billet sur Pearltrees, un service original de bookmarks, qui permet de « cartographier » ses parcours sur la Toile et de les organiser sous la forme d’arbres de perles. La dimension juridique de Pearltrees n’est pas très développée, mais j’avais tout de même repéré quelques belles réalisations dans ce billet et j’essaie de développer des arbres juridiques sur mon compte. Il y a peu, une nouvelle fonctionnalité est apparue sur Pearltrees, qui apporte une dimension collaborative supplémentaire. Il est possible d’inviter d’autres utilisateurs à venir « faire équipe » pour développer un de ses propres arbres de perles. Patrice Lamothe, le fondateur du service Pearltrees m’a ainsi invité à collaborer à son arbre Free Web (pas encore eu le temps de m’y plonger, mais je ne manquerai pas de le faire). Excellente idée, surtout que son arbre s’avérait prometteur ! WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème Saviez-vous qu'il existe des perles de S.I.Lex ?

Not such wicked leaks | Presseurop – English For the celebrated novelist and intellectual Umberto Eco, the Wikileaks affair or "Cablegate" not only shows up the hypocrisy that governs relations between states, citizens and the press, but also presages a return to more archaic forms of communication. The WikiLeaks affair has twofold value. On the one hand, it turns out to be a bogus scandal, a scandal that only appears to be a scandal against the backdrop of the hypocrisy governing relations between the state, the citizenry and the press. On the other hand, it heralds a sea change in international communication – and prefigures a regressive future of “crabwise” progress. But let’s take it one step at a time. First off, the WikiLeaks confirm the fact that every file put together by a secret service (of any nation you like) is exclusively made up of press clippings. Embassies have morphed into espionage centres The same goes for secret files. So why so much ado about these leaks? A real secret is an empty secret

Le journalisme d’investigation remis au goût du jour Les nouvelles pratiques journalistiques, c’est aussi l’actualisation de techniques traditionnelles. A Londres, le journalisme d’investigation est redécouvert depuis avril 2010 grâce au « Bureau of Investigative Journalism ». Dans les esprits, le maître mot du journalisme d’investigation c’est l’enquête. Rien de neuf de ce côté là. L’innovation du « Bureau of Investigative Journalism » consiste à utiliser des outils nouveaux en plus des techniques d’investigation traditionnelles. Pour enquêter, le Bureau s’emploie au data journalism en récoltant diverses données sur la toile. Désintéressée de l’investigation, les médias traditionnels ne financent plus cette branche du journalisme, car l’investigation prend du temps, donc de l’argent. Au delà du web, le Bureau touche aussi à d’autres supports en réalisant des documentaires pour la télévision et la radio, collabore avec des médias étrangers et reste très présent sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter). Source: LeTemps.ch Like this:

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