background preloader

Sept cas d'usage des outils d'e-réputation

Sept cas d'usage des outils d'e-réputation
01net le 30/04/12 à 15h35 Les logiciels d’e-réputation se multiplient à la vitesse grand V sur le marché. Globalement, tous servent le même dessein : mesurer l’image dans le temps – véhiculée dans la presse, sur le web, sur les forums et, de plus en plus, sur les réseaux sociaux – d’une entreprise, d’un produit ou d’une personne. Retour sur sept cas d’application. 1) Détecter les leaders d’opinion L’analyse des commentaires des consommateurs est sûrement le volet de l’e-réputation le plus connu. Pour autant, « la plupart des projets d’e-réputation visant à cerner le comportement et les avis des consommateurs restent encore séparés du monde de la relation client. 2) Mesurer la tendance d’un écosystème Historiquement, les entreprises recourent aux études de marché pour déceler les goûts des consommateurs. Thermomètre qui peut également être un plus pour tester la réaction de l’opinion publique face, par exemple, à un projet d’implantation d’une usine ou d’un magasin. 4) Anticiper et alerter Related:  E-réputation & personal branding

Identité numérique : de l’anonymat au personal branding Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Communiquer sur les médias sociaux c’est parler de moi Animer ses médias sociaux c’est avant tout répondre aux attentes de son public. Identité numérique : 6 étapes pour obtenir votre passeport sur le web Votre notoriété sur internet ne s’améliore pas vraiment ? Plateformes sociales, blog… vous avez mis en place le dispositif de base, mais votre communauté ne s’engage pas ! Vous devriez peut-être revoir votre identité numérique ! Aujourd’hui 15 % du temps passé sur internet est dédié aux réseaux sociaux (source comscore), il est donc devenu indispensable de se différentier avec une identité numérique forte. Les éléments qui composent l’identité numérique L’identité numérique d’un individu est composée de données formelles (coordonnées, certificats…) et informelles (commentaires, notes, billets, photos…). Ces petits bouts d’identité fonctionnent comme des gènes : ils composent l’ADN numérique d’un individu. Une bonne identité numérique permet de : Créer ou d’intégrer une communauté influenteDevenir référent dans un domaine de compétencePromouvoir votre marque, vos produits ou et services Le dispositif de mise en place en 6 étapes 1. Prenons l’exemple d’Arnaud Cielle. Les Objectifs : 2. 3. 4.

grandes marques et Social Media Guidelines en vidéo inShare0 Il y a des moments où je fais la liste des choses à faire en retard et où je n’arrive plus à faire face à la pile. Puis quelque temps après je retourne aux sources et je me rends compte que je suis passé à côté de quelque chose d’important. C’est vraiment le sentiment que j’ai eu il y a quelques jours lorsque je suis tombé, presque par hasard, sur cette superbe série d’interviews réalisée par notre ami Frédéric Bascuñana en début d’année, dans les plateaux de TechtocTV. Le sujet en était “la mise en œuvre des social media guidelines” Les voici dans l’ordre : Les intervenants étaient : Related Posts Partager: Google+ Yann Gourvennec WordPress: J'aime chargement… 0 thoughts on “grandes marques et Social Media Guidelines en vidéo” Votre avis nous intéresse : Abonnement Follow "Marketing & Innovation" Recevez chaque nouvel article directement dans votre boîte Email et rejoignez les milliers de lecteurs de Visionarymarketing.fr Powered By WPFruits.com %d blogueurs aiment cette page :

Organiser sa veille avec les outils gratuits. Etape n° 3 : trouver les sources | Pepidoc Vous avez élaboré une méthode pour organiser votre veille, vous en avez délimité le périmètre et trouvé les bons mots clés et nous arrivons maintenant à l’étape cruciale : l’identification des sources à surveiller. A cette étape il s’agit d’identifier : Les sites ressourcesLes personnes ressources Sites ressources Sources sectorielles « officielles » Avant toute chose et avant de se jeter sur Google, il faut identifier les sources d’information « officielles » du secteur que vous souhaitez capter : Publications, journauxOrganismesPortails Et pour cela référez vous aux précédents articles de ce blog consacré à la recherche d’informations sectorielles et celui consacré à la presse.Et dans chacun de ces sites repérer les possibilités d’abonnement à un fil RSS ou à une newsletter. Recherche dans les moteurs en ciblant sa recherche. Avec les mots clés précédents choisis (voir article précédent) on peut se lancer dans l’interrogation des moteurs de recherche. limiter sa recherche au titre de la page

La mauvaise e-Réputation Et si, au lieu de tanner les internautes de discours parano sur Facebook, nous reconnaissions que la vie mise en scène sur les réseaux sociaux n'est plus privée et que chacun a droit à sa part d'insouciance numérique ? Cela fait maintenant plusieurs années qu’on nous assène de discours moralisateurs avec ces concepts, à coup de billets de blogs, de conférences, d’ouvrages, de cours… On nous dit de faire attention aux traces qu’on laisse. On nous met en garde. On nous prévient des conséquences à long terme des photos ou tweets que l’on publie aujourd’hui. Personal branding ou obsession narcissique ? Certes, travailler sur sa marque personnelle (personal branding) est important lorsqu’on recherche un emploi, des opportunités professionnelles ou personnelles. Mais quand cette attention de soi devient chronique, cela ne génère t-il pas une forme de narcissisme ? Ah bon ? Facebook : un théâtre ou chacun choisit de jouer son rôle Non, puisque je fais la démarche de rendre ma vie publique.

L’usage des réseaux sociaux : comment gérer et maîtriser son image sur la toile ? Pourquoi les social analytics seront l’enjeu de 2012 J’ai déjà eu de nombreuses occasions de vous parler des social analytics . Authentique serpent de mer, le sujet n’est que très eu abordé par les gens de la profession. Et pour cause : chacun bricole comme il peut. Il faut dire que les offres ne sont pas encore très mûres et que les éditeurs entretiennent de façon active l’amalgame entre outils d’écoute et outils de mesure. Bref, ce n’est pas simple, mais les choses sont en train de bouger avec l’arrivée sur le segment de deux poids lourds de l’industrie : Adobe avec son offre Adobe Social et Google qui a récemment mis à disposition des Social Reports dans Google Analytics ( Capturing The Value Of Social Media Using Google Analytics ). Pour vous aider à y vor plus clair, la société Awarness Networks vient de sortir un livret blanc assez bien fait sur le sujet : Actionable Social Analytics . Vous noterez que ces différents indicateurs (part de voix, portée, taux d’engagement…) n’ont pas beaucoup évolué sur les trois dernières années (cf.

Veille sur internet - Ce qu'il faut savoir Il n’y a pas si longtemps, de petits yeux appliqués parcouraient chaque matin les journaux à la recherche du nom de leur entreprise ou de leur patron. Les propriétaires de ces yeux se saisissaient ensuite d’une paire de ciseaux afin de rassembler les précieuses retombées puis de les coller dans un rapport copié, imprimé et agrafé, qu’on appelait la revue de presse ou encore le rapport de veille. De grandes sociétés fonctionnaient ainsi. Certaines continuent. Par habitude. Parce que c’est simple. Heureusement, les choses bougent. Elles ont compris qu’il fallait voir plus loin. L’étude menée par Forbes Insights pour Deloitte auprès de 300 dirigeants illustre bien cette prise de conscience. Plus précisément, l’étude révèle que les réseaux sociaux et le data mining sont considérés comme les principales technologies capables d’impacter les business models des entreprises. Les entreprises comprennent donc les enjeux, reste à définir avec méthode ce qui doit être mis en place. L’entreprise L’agence

Personal Branding : on solde J’ai toujours été contre la position du personal branding d’une part car elle est dangereuse pour l’individu d’autre part car elle relève de l’escroquerie pure et simple bien souvent. Ceux qui y adhèrent sont surtout des consultants qui font du personal branding une démarche commerciale pour faire vivre leur entreprise. Evidemment, les critiques existent déjà. La position du blog personal branling est une excellente réponse à cette situation car nous sommes tous aux frontières du culte de l’égo. Le personal branding c’est travailler l’image renvoyée, une représentation parfois faussée qui s’éloigne de la vérité intrinsèque. Tout, tout, vous saurez tout sur le Klout Terrible est également ce titre symptomatique d’un livre sur le sujet : MOI 2.0… il recèle en peu de signes, le maximum de bêtise et de danger. La culture du Moi face à la culture du soi. Je ne rejette pour autant pas le fait qu’on a tous besoin d’être valorisé et d’obtenir de la reconnaissance.

Related: