background preloader

L'immigration en France

L'immigration en France

Routes migratoires, cap sur l'Europe ! - Vidéo Vous l’aurez remarqué la question des migrants et des réfugiés occupe le devant de l’actualité. Aujourd’hui, cet afflux aux portes de l’Europe s’explique notamment par la multiplication des conflits, en Syrie et en Afrique notamment, mais aussi par la quête de meilleures conditions économiques, qui ne relève pas du droit d’asile. Selon l’agence européenne Frontex, il existe cinq routes empruntées par les migrants actuellement. La voie terrestre de l’Europe orientale, tout d’abord. Il y a aussi et surtout la Méditerranée, à travers la Méditerranée orientale aujourd’hui en déclin. La Méditerranée centrale, elle, est redevenue la principale route vers les côtes européennes depuis 2016. Enfin, la Méditerranée occidentale, où 13 800 migrants ont accosté en Espagne entre janvier et septembre 2017 contre 10 200 sur l’ensemble de l’année 2016. A cela s’ajoute la route des Canaries par l’Afrique de l’Ouest, empruntée par 671 personnes originaires du Maroc, de Guinée et de Côte d’Ivoire, en 2016.

Faire ses huiles essentielles et ses hydrolats, comment faire soi-même des H.E. Faire ses huiles essentielles et ses hydrolats Pensez à lire (ou relire) les consignes de prudence pour la manipulation des huiles essentielles qui sont des produits merveilleux mais extrêmement puissants. Les différents procédés pour fabriquer des huiles essentielles Une H.E. est une substance liquide d'apparence huileuse, d'une couleur variable selon la plante mise en oeuvre, extrêmement puissante, volatile et odoriférante sécrétée par une plante aromatique que ce soit au niveau de ses parties aériennes (fleurs, feuilles, semences, tiges ou rameaux) ou de ses organes souterrains (racines ou rhizome). Elle s'obtient généralement par distillation à la vapeur d'eau dans un alambic, de végétaux aromatiques (plante entière) ou d'une partie de la plante seulement (les feuilles, l'écorce par ex.) pour en extraire la quintessence de la plante, ce concentré de principes actifs. Plusieurs techniques permettent d'extraire les huiles essentielles de végétaux : La distillation La récolte des plantes

Et si les gouvernements s'inspiraient de Free et pratiquaient le "low-cost" ? On ne gère pas un Etat comme une entreprise. Là-dessus, le candidat Sarkozy de 2007 s'est trompé. Un Etat est un ensemble symbolique, historique, autour duquel les républicains de tous bords se retrouvent, se regroupent, pour le bien commun (en faisant attention de ne pas tomber dans le nationalisme). Le modèle de Sarkozy : les groupes du Cac40 On ne parle plus ici de plusieurs millions de fonctionnaires, aux statuts compliqués, mais de quelques centaines, peut-être milliers, de conseillers, pour la plupart contractuels voués au spoil-system. Tout doit être low-cost... sauf les salaires Quand une entreprise est dans cette situation (très endettée, peu performante), elle réagit en serrant les boulons là où cela est possible : surtout pas dans la production ou le marketing, mais dans les services centraux. Le rachat de Alice par Free Le résultat : des équipes moins nombreuses en direction (je le répète, on ne touche pas à la production). Un exemple? Servir avant de se servir

Près de 8 000 migrants traversent la Méditerranée chaque jour Le Monde et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique de confidentialité. Vous pouvez consentir à l’utilisation de ces technologies en cliquant sur « accepter »

Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif Bernard Stiegler est philosophe, théoricien de l’évolution des systèmes techniques. Il a découvert les modèles du libre de façon presque accidentelle, en tant que Directeur de l’INA. Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou. Les modèles ouverts, contributifs et collaboratifs sont de plus en plus nombreux, la contribution s’étend à de nouveaux territoires, comment interprétez-vous cette évolution ? Avant de répondre, il y a un préalable, reconnaître que tous les modèles ne sont pas équivalents. C’est pour cela que je parle de pharmakon. Aujourd’hui, nous avons besoin d’une typologie des modèles contributifs. Je travaille beaucoup avec des communautés de Hackers : jusqu’à “la crise Snowden” ils ne voyaient pas véritablement le caractère pharmacologique du net. J’ai une vision freudienne de l’économie.

Récits de migrants : l'enfer en mer Méditerranée Mathilde Lemaire a recueilli le témoignage d’Abderrahmane, arrivé par la mer au péril de sa vie en Italie, puis à Paris. Une traversée dangereuse, comme le rappelle douloureusement l'actualité. Depuis le début de l'année, le nombre de migrants morts ou disparus en Méditerranée approche les 3.000. Publié le 17/09/2014 03:15 Mis à jour le 17/09/2014 06:51 Temps de lecture : 4 min Place de la Chapelle, XVIIIe arrondissement de Paris. "On marchait dans la ville quand ils sont venus vers nous. Abderrahmane commence à nourrir de la rancœur contre ces hommes violents qui lui ont pris toutes ses affaires. Le 14 août, à la nuit tombée, ils les suivent. Trois jours en enfer. "De toute façon au Soudan, c'était la mort assurée, alors je ne regrette pas d'être ici à Paris" Cela fait plus de 48 heures qu'Abderrahmane et ses 95 compagnons d'infortune ont quitté les côtes africaines quand les passeurs décident de faire demi-tour, de les laisser là au milieu de la Méditerranée.

Circuit court : la culture s'y met aussi ! On connaît plutôt bien les circuits courts en matière d’alimentation, vous savez, la vente directe dans les fermes, les paniers bio, les magasins de coopératives de producteurs… Ce que l’on sait peut être moins, c’est que les circuits courts existent dans bien d’autres domaines : habitat, finance, éducation, santé, etc. Le circuit court, partie intégrante de la nouvelle consommation privilégie le lien direct entre producteur et consommateur. Ce lien se construit sur la proximité géographique et la participation active du consommateur. La culture ne fait pas exception et se met à la portée de tous, grâce aux circuits courts qui sont un moyen de la démocratiser. Comment faire en sorte de rapprocher la culture du public ? La culture et sa diversité sont la base même de toute civilisation. L’une des conséquences peut être ce que l’on appelle la « fracture sociale de la culture ». C’est en partant de ces constats qu’Olivier Lanoë a fondé la première AMACCA en 2009. Photo : logisneuf.com

Empowerment Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La microfinance constitue une forme d'empowerment financier dans les pays en développement. Ici, une banque d'épargne communautaire au Cambodge. L’empowerment[1] est l'octroi de plus de pouvoir aux individus ou aux groupes pour agir sur les conditions sociales, économiques, politiques ou écologiques qu'ils subissent[2]. Divers équivalents ont été proposés en français : « capacitation », « autonomisation »[3], « responsabilisation », « émancipation » ou « empouvoir»[4],[5]. Le concept est né au début du XXe siècle aux États-Unis dans un contexte de lutte. Origine de la notion en Amérique du Nord[modifier | modifier le code] Selon Bernard Vallerie, on repère la première utilisation du terme empowerment aux États-Unis, au début du XXe siècle. Au Québec, des associations de lutte contre la pauvreté effectuent la promotion de l’empowerment pour alléger le fardeau social et économique de certains milieux en perdition. Empowerment écologique

Z - revue itinérante d'enquête et de critique sociale La Maker Faire, le rendez-vous des créateurs de l'extrême | Makers | Tracks | Culture #Psychovinyle #Trackshare #Replay Fab Labs: la grande bidouille «Do it yourself, do it with others» («faites-le vous-même, faites-le avec les autres») : telle est la devise des Fab Labs, ou Fabrication Laboratories. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Normal, le mouvement est encore underground. Des plans en open source, quelques machines-outils à commande numérique, un peu d’apprentissage collectif, beaucoup de patience et d’ingéniosité… et voilà un meuble sur mesure, une pièce pour réparer sa machine à laver ou carrément le prototype d’un vélo électrique ! Les Fab Labs se sont mis en tête de transposer au vieux monde industriel la philosophie ouverte et collaborative du logiciel libre. Mais les Fab Labs sont avant tout une expérience collective basée sur le partage de connaissances à l’échelle locale ou planétaire : un objet peut être conçu dans un Fab Lab, fabriqué dans un autre… et amélioré dans un troisième. Apprendre ensemble Les Fab Labs commencent aussi à arriver dans les bibliothèques, comme une évolution logique de leurs missions.

Michel Bauwens : « Un mode de production postcapitaliste émerge » Dans le cadre du nouveau numéro d’Usbek & Rica, consacré à l’avenir du capitalisme, nous avons interviewé Michel Bauwens. Théoricien belge du modèle peer-to-peer, créateur de la Fondation P2P, il travaille aujourd’hui avec le gouvernement équatorien pour mettre en place une politique de transition vers ce qu’il appelle une « social knowledge society ». Depuis Quito, il a pris le temps de nous répondre par Skype. Le peer-to-peer est-il un modèle anticapitaliste ? Peut-il constituer un système global alternatif ? Michel Bauwens : Je préfère parler de postcapitalisme plutôt que d’anticapitalisme. Et vous pensez que nous sommes aujourd’hui dans la même situation ? Je crois que nous assistons à l’émergence d’un mode de production postcapitaliste, qu’on appelle, selon les usages, « production entre pairs » ou « économie contributive ». La croissance ne peut pas perdurer indéfiniment Airbnb est souvent présenté comme la plus belle réussite de l’économie collaborative. Absolument.

Related: