background preloader

CATASTROIKA WITH ENGLISH SUBTITLES

CATASTROIKA WITH ENGLISH SUBTITLES
Related:  Freedom and true Democracy

Occupy Will Be Back - Chris Hedges' Columns Occupy Will Be Back Posted on Jun 18, 2012 By Chris Hedges In every conflict, insurgency, uprising and revolution I have covered as a foreign correspondent, the power elite used periods of dormancy, lulls and setbacks to write off the opposition. This is why obituaries for the Occupy movement are in vogue. Those who have the largest megaphones in our corporate state serve the very systems of power we are seeking to topple. The engine of all protest movements rests, finally, not in the hands of the protesters but the ruling class. Our dying corporate class, corrupt, engorged on obscene profits and indifferent to human suffering, is the guarantee that the mass movement will expand and flourish. “We had a very powerful first six months,” Kevin Zeese, one of the original organizers of the Occupy encampment in Freedom Plaza in Washington, D.C., said when I reached him by phone. “The recent election in Wisconsin shows why Occupy should stay out of the elections,” Zeese said.

Grèce : destruction programmée d’un pays – Entretien avec Stathis Kouvélakis Une machine de guerre travaille aujourd’hui à détruire la Grèce. « Il s’agit, nous dit Stathis Kouvélakis, de jeter les bases d’une gigantesque opération d’« accumulation par dépossession », d’installer à l’intérieur même d’un pays de l’eurozone un modèle d’accumulation expérimenté jusqu’à présent dans le Sud et les pays est-européens. » Voici venu, autrement dit, le temps d’un déploiement direct, à l’intérieur de l’espace défini par l’Union européenne, de la stratégie du choc décrite par Naomi Klein, autrefois réservée aux pays de la périphérie. Comment comprendre le mécanisme de cette machine de guerre ? Quels possibles politiques ouvre la crise sans précédent qui en résulte ? Stathis Kouvélakis, enseignant en philosophie politique au King’s College de l’université de Londres, est membre du comité de rédaction de la revue Contretemps. RdL : Les mesures d’« austérité » (sinistre euphémisme !) S. S. La population revit le cauchemar d’un passé encore gravé dans les mémoires. S. S. S.

Diktacratie - Home Un mouvement des indignés prend forme au Maroc: Grande mobilisation syndicale contre le gouvernement La Confédération démocratique du travail (CDT), renoue des liens étroits avec la Fédération démocratique du Travail, (FDT), les deux centrales syndicales appelant de concert, à une marche pour la dignité, le 27 mai prochain à Casablanca. Selon les organisateurs, le Maroc fait face à des insuffisances structurelles multiples, qui touchent tous les secteurs, et en particulier les secteurs sociaux. Le pays a besoin de décisions nationales importantes courageuses, loin des petites mesures superficielles, ont-ils expliqué. Ces centrales syndicales constatent une détérioration des équilibres sociaux, du coût de la vie, de l’emploi et de l’incapacité du gouvernement de gérer les services de l’enseignement, de la santé et de l’habitat et de la sécurité. Elles considèrent que la corruption n’a fait qu’augmenter et revendiquent la construction d’une démocratie pour tous, la distribution égalitaire des richesses, et l’instauration d’une véritable justice sociale.

Demokratie, oder: Die geraubte Braut - NZZ.ch, 11.07.2012 Von Adolf Muschg Es gehört kein böser Blick mehr dazu, demokratische Wahlen für schwerfällige Simulationen der Marktforschung zu halten. Ein Produkt wirbt um freie Wahl des Kunden, den es als König anspricht; als der Grösste (oder die Schönste) erscheint er im Spiegel der Reklame. Auch die Politik hat keine grössere Sorge, als ihren Souverän persönlich «abzuholen», auch wenn er in der Abrechnung nur noch als statistische Grösse erscheint. Burckhardts drei «Potenzen» In Jacob Burckhardts «Weltgeschichtlichen Betrachtungen», 1905 postum publiziert, treten Wirtschaft und Demokratie nicht einmal als eigenständige Grössen auf. Nach Burckhardts Urteil, dass Macht per se böse sei, handelte die westliche Rechtskultur schon seit Beginn der Neuzeit. «Vaterland nennt sich der Staat immer dann, wenn er sich anschickt, auf Menschenmord auszugehen» (Dürrenmatt). Legitimer Egoismus Die Minderheit ist die Seele Der Schriftsteller Adolf Muschg lebt in Männedorf.

« Kommandantur SPD ?» Les derniers jours qui précèdent les élections à la Baronnie s'avèreront de plus en plus passionnels et passionnants. La drame y est déjà, au même titre que le sang, la mort, les espions, les intimidations et la résistance, et on s'y attend vivement... à un éventuel « appel du 18 juin » ! À moins qu'au soir du 17 juin déjà, un certain « Samarelos » (Samaras et Venizélos), ou un remplaçant surprise, viendra « faire à la Grèce le don de sa personne pour atténuer son malheur, car en ces heures douloureuses il pense évidemment aux malheureux chômeurs qui dans un dénuement extrême finissent par se suicider », surréaliste non ? Mercredi très tôt, un homme de 60 ans, Alexandre, s'est pendu sur une place de Nikaia, dans les faubourgs ouest d'Athènes. Mardi dernier en Crète, un autre homme, chômeur depuis deux semaines, s'est jeté par la fenêtre du 5ème étage à l'hôpital de la Cannée, son épouse qui se trouvait à ses côtés n’a pas eu le temps de l’en empêcher. Donc on n'oubliera pas.

Liste des émissions Voici la liste intégrale des émissions du Libre Teamspeak, classées par ordre anti-chronologique. Pour accéder à la vidéo correspondante, cliquez sur la date de l'émission. Certaines de ces émissions ne sont pas encore en ligne mais le seront au cours des semaines qui viennent. Saison 2 49) Jean du Chazaud : "Le sommeil et les rêves" (24 juin 2012) 48) Libre journal du LTS N°6 (17 juin 2012) 47) Mathieu "Amfortas" : "La littérature du Mal" (10 juin 2012) 46) Laurent James et Kokopelli : "L'ésotérisme, partie 2" (3 juin 2012) 45) Laurent James et Kokopelli : "L'ésotérisme, partie 1" (27 mai 2012) 44) Stanislas Jourdan : "Un revenu de base pour tous, utopie ou pragmatisme ?" 42) Philon : "Savent-ils ce qu'ils font ? 38) Libre journal du LTS N°5 (25 mars 2012) 37) Salim Laïbi : "LLP candidat aux législatives 2012" (18 mars 2012) 36) Piero San Giorgio et Vol West : "Le Survivalisme" (11 mars 2012) 35) Laurent Ozon : "Penser notre futur" (4 mars 2012) Saison 1

Québec : le "printemps érable" souffle sur Paris Alors que le "Printemps érable" dure depuis cent jours, les Parisiens se sont rassemblés dans le centre de la capitale, mardi soir, pour exprimer leur soutien aux étudiants québécois. L’Humanité.fr donne la parole à ces Canadiens qui suivent les évènements depuis la France. Vendredi dernier, le gouvernement du Québec de Jean Charest faisait voter par le Parlement une loi d’exception pour casser le droit de manifester et repousser les jeunes dans leurs derniers retranchements. Depuis le début, ils luttent contre la mise en place d’une hausse de 82 % des frais d’inscription à l’université. Face au mépris du pouvoir en place, le mouvement ne cesse de croître et finit par mobiliser tout un pan de la société québécoise. Une politique indigne d’un pays démocratique Claude Nadeau, animatrice à Radio France. "Une page de l'histoire est en train de s'écrire. Un mouvement fédérateur Samuel, récemment diplômé en cinéma à Montréal. Une lutte sociale Le rejet d’un gouvernement néo-libéral À lire aussi :

Noreena Hertz - Why we must stay silent no longer | Politics | The Observer In the hullaballoo following the American presidential election, with hanging and pregnant chads, and ballot forms that needed a PhD to decipher, it was easy to forget something that was in many ways even more alarming than confusion over who won. More than 90 million Americans had not bothered to vote - that is, more than the combined population of England, Ireland and Scandinavia. Low turnout is not just a US phenomenon. In the UK, the landslide victory for Labour in the election of 1997 was achieved on a turnout of 69 per cent - the lowest since the war. During the European elections in 1999, less than half of the electorate voted, and less than a quarter came out in the UK. In the Leeds Central by-election last year only 19 per cent of those eligible to vote did so. People have lost faith in politics, because they no longer know what governments are good for. Unregulated or under-regulated by governments, corporations set the terms of engagement themselves.

Related: