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Problème global - Solutions locales 2/2

Anna's Avalon L'un s'en allait en chantant L'autre pleurait doucement Nos ombres Voici mort à jamais notre joyeux passé Les choses les plus belles que nous ayons aimées Les tendres et folles amours de nos pauvres cœurs La joie de vivre avec l'espoir de grands bonheurs C'est maintenant le froid lourd de la solitude Avec la roide paille et sans sollicitude D'où sont toujours bannis les rêves d'avenir Car aujourd'hui « je suis » demain nous allons mourir L'aube, de sa lumière, semble tout éclairer Des bottes lourdement martèlent le pavé La mort est là qui doucement nous tend les bras Au loin sonnent des cloches qui pour nous sont un glas Dans mes rêves d'amour passe une jeune fille L'ardent désir de vivre dans tous nos yeux brille Ah oui ! Demain nous serons tous à jamais oubliés C'est maintenant fini je les entends venir Mais qu'importe les corps, l'âme ne peut mourir Une route sans fin et toute printanière S'offre à nous dans une éclatante lumière Calme ton désespoir, les forts, les martyrs Allons bourreau ! J. Rapide. J.

Perdre de l’argent en mangeant « bio » La nature dépeinte par les écologistes est largement idéalisée. La nature, l’état sauvage – que le « bio » prétend prendre comme modèle et critère – montre avant tout, d’un côté, des bêtes malades, mal nourries, mal soignées, où une santé éclatante n’est l’apanage que de quelques exceptions, pendant peu de temps, de l’autre, des plantes rachitiques, médiocres, insuffisantes et souvent impropres à la consommation humaine. Aujourd’hui, personne n’échappe à la propagande massive destinée à promouvoir le « bio » et le « naturel ». Déjà, en 2005, une étude de l’Université de Berne réalisée sous la conduite du professeur Jürg Blum bousculait l’imagerie d’Épinal qui prête à tout ce qui serait « bio » une qualité supérieure aux produits alimentaires obtenus via l’industrie alimentaire classique. Au final, tous ces chercheurs n’ont rien découvert de bien révolutionnaire.

Des résidus inquiétants dans l'eau du robinet L’eau du robinet pourrait-elle représenter un risque pour la santé ? Dans un communiqué publié lundi sur son site Internet, le Ministère de la Santé fait le point sur les risques sanitaires liés à la présence de substances médicamenteuses dans l’eau du robinet. Il faut dire que les conclusions d’un colloque sobrement intitulé « Résidus de médicaments dans l’eau : des molécules à surveiller ? Les molécules médicamenteuses passent par nos urines. C’est la Direction générale de la santé qui a tiré la sonnette d’alarme le mois dernier après avoir découvert une vingtaine de molécules suspectes dans des échantillons d’eau du robinet. Les poissons changent de sexe ! Une équipe de chercheurs qui travaille sur le sujet depuis 2002 a cependant pu mesurer les effets de ces pollutions sur les poissons. « Tout ce qui est consommé, nous le trouvons dans l’eau à plus ou moins grande échelle* » rapporte Hélène Buzinski, chercheuse au CNRS et à l’université de Bordeaux. Des risques difficiles à évaluer

La vie en bio est-elle plus belle? En France, l'agriculture biologique (environ 2% de la surface agricole utilisée) et la consommation de produits bio (1,7% du marché alimentaire) se répandent, comme l'indique l'Agence bio sur son site. Pourtant, le bio est contesté. Des agriculteurs mettent en doute son bien-fondé lorsqu'il s'agit d'atteindre des rendements corrects, des consommateurs s'agacent de prix exagérés, quand d'autres s'interrogent sur les contrôles de la filière... Pour faire la part des choses, nous lançons une enquête participative: jusqu'à fin septembre, en prenant en compte vos suggestions et vos témoignages, nous allons interroger les acteurs de la filière, détailler les pratiques, relever les succès du bio mais aussi en pointer les dysfonctionnements... - un article sur le bio et la santé: que disent vraiment les études? - le témoignage d'un néo-agriculteur qui souhaite passer au bio mais s'étonne de pratiques tolérées par le label AB et des motivations de certains agriculteurs bio,

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