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Problème global - Solutions locales 1/2

Problème global - Solutions locales 1/2

Anna's Avalon L'un s'en allait en chantant L'autre pleurait doucement Nos ombres Voici mort à jamais notre joyeux passé Les choses les plus belles que nous ayons aimées Les tendres et folles amours de nos pauvres cœurs La joie de vivre avec l'espoir de grands bonheurs C'est maintenant le froid lourd de la solitude Avec la roide paille et sans sollicitude D'où sont toujours bannis les rêves d'avenir Car aujourd'hui « je suis » demain nous allons mourir L'aube, de sa lumière, semble tout éclairer Des bottes lourdement martèlent le pavé La mort est là qui doucement nous tend les bras Au loin sonnent des cloches qui pour nous sont un glas Dans mes rêves d'amour passe une jeune fille L'ardent désir de vivre dans tous nos yeux brille Ah oui ! Demain nous serons tous à jamais oubliés C'est maintenant fini je les entends venir Mais qu'importe les corps, l'âme ne peut mourir Une route sans fin et toute printanière S'offre à nous dans une éclatante lumière Calme ton désespoir, les forts, les martyrs Allons bourreau ! J. Rapide. J.

Perdre de l’argent en mangeant « bio » La nature dépeinte par les écologistes est largement idéalisée. La nature, l’état sauvage – que le « bio » prétend prendre comme modèle et critère – montre avant tout, d’un côté, des bêtes malades, mal nourries, mal soignées, où une santé éclatante n’est l’apanage que de quelques exceptions, pendant peu de temps, de l’autre, des plantes rachitiques, médiocres, insuffisantes et souvent impropres à la consommation humaine. Aujourd’hui, personne n’échappe à la propagande massive destinée à promouvoir le « bio » et le « naturel ». Et on ne se lassera jamais de répéter que « naturel » n’est pas synonyme de « bon ». Après tout, le venin du cobra est parfaitement naturel et tout aussi létal. Mais la mode et le libre marché font que de nombreuses personnes sont disposées à payer deux ou trois fois plus pour des produits « bio » ou « naturel » parce que « la santé et le bien-être n’ont pas de prix ». Au final, tous ces chercheurs n’ont rien découvert de bien révolutionnaire.

Des résidus inquiétants dans l'eau du robinet L’eau du robinet pourrait-elle représenter un risque pour la santé ? Dans un communiqué publié lundi sur son site Internet, le Ministère de la Santé fait le point sur les risques sanitaires liés à la présence de substances médicamenteuses dans l’eau du robinet. Il faut dire que les conclusions d’un colloque sobrement intitulé « Résidus de médicaments dans l’eau : des molécules à surveiller ? des risques à évaluer ? » rendues public au début du mois d’octobre dernier devraient inciter les autorités à la vigilance. (1) Les molécules médicamenteuses passent par nos urines. C’est la Direction générale de la santé qui a tiré la sonnette d’alarme le mois dernier après avoir découvert une vingtaine de molécules suspectes dans des échantillons d’eau du robinet. Les poissons changent de sexe ! Des risques difficiles à évaluer Une autre étude de l’Académie de pharmacie s’est intéressée aux rejets émis par les établissements de soin, l’industrie pharmaceutique et les médicaments vétérinaires.

La vie en bio est-elle plus belle? En France, l'agriculture biologique (environ 2% de la surface agricole utilisée) et la consommation de produits bio (1,7% du marché alimentaire) se répandent, comme l'indique l'Agence bio sur son site. Pourtant, le bio est contesté. Des agriculteurs mettent en doute son bien-fondé lorsqu'il s'agit d'atteindre des rendements corrects, des consommateurs s'agacent de prix exagérés, quand d'autres s'interrogent sur les contrôles de la filière... Pour faire la part des choses, nous lançons une enquête participative: jusqu'à fin septembre, en prenant en compte vos suggestions et vos témoignages, nous allons interroger les acteurs de la filière, détailler les pratiques, relever les succès du bio mais aussi en pointer les dysfonctionnements... - un article sur le bio et la santé: que disent vraiment les études? - le témoignage d'un néo-agriculteur qui souhaite passer au bio mais s'étonne de pratiques tolérées par le label AB et des motivations de certains agriculteurs bio,

Il existe un livre du même nom où elles sont un peu plus détaillées, je regrette, moi, que Coline Serreau n'aie pas gardé sa première idée de titre "la terre vue de la terre", qui était un pied de nez à "la terre vue du ciel" d'un célèbre hélicologiste.
A l'époque, j'avais mis une interview d'elle sur le site de notre Amap, là :
by almb Mar 25

Passionnant, même si les fameuses solutions locales ne sont pas suffisamment racontées, détaillées à mon goût. Mais je le recommande chaudement. by .qp. Mar 25

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