Jean-Philippe Accart: site dédié aux professionnels de l'information-documentation Comprendre la notion de translittératie - Doc pour docs A la convergence des cultures de l’information : information-documentation, médias et informatique, la translittératie est une notion récemment interrogée par les professionnels et les chercheurs en science de l’information, sans pour autant que l’intérêt de ces analyses ne se limite aux seuls experts. La définition communément acceptée est celle traduite de la définition initiale de Sue Thomas « l’habileté à lire, écrire et interagir par le biais d’une variété de plateformes, d’outils et de moyens de communication, de l’iconographie à l’oralité en passant par l’écriture manuscrite, l’édition, la télé, la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux » Définition qui donne son poids à l’éventail de formations qu’elle implique à l’ère du papier, de l’audio-visuel et du numérique. Quelles origines, quelle définition, quel rapport avec les autres littératies, quels enjeux ? Pour mieux comprendre la notion, voici quelques textes récents : Translittératie et compétences médiatiques (1)
La #translittératie pour les Nuls | doc toc toc Pour y voir plus clair ! – Thèse d’Olivier Le Deuff sur les littératies, La culture de l’information en reformation : – Le groupe de recherche en Littératie Médiatique Multimodale du réseau des Universités du Québec : – Les séminaires du GRCDI (Groupe de Recherche sur la Culture et la Didactique de l’information) : avec l’intervention d’Alexandre Serres, Repères sur la translittératie : et celle de Pierre Fastrez, Translittératie et compétences médiatiques : – Page d’accueil du projet Translit : – La translittératie, un facteur de réagencement de l’organisation scolaire ?
Des didacticiels pour gérer sa présence numérique L’Internet SOCiety (ISOC), association de droit américain à vocation internationale engagée dans la promotion de « l'interconnexion ouverte des systèmes et de l'Internet », publie via sa plateforme en ligne un ensemble de 9 modules pédagogiques visant à faciliter la compréhension et la gestion des traces internautiques. Les différents thèmes abordés s'organisent autour de 3 axes principaux : l'économie (le rôle des cookies à l'origine des traces, les effets de la connectabilité, la publicité et le modèle économique des services dits gratuits, le traçage commercial, la monétisation), les risques (la protection de la vie privée, les traces générées via les appareils nomades, la gestion induite) et les contextes (les dynamiques à l'œuvre dans le monde des empreintes numériques, les questions relatives au consentement et aux accords transfrontaliers sur les transferts de données). Chaque module s'accompagne d'une version texte intégrale téléchargeable au format PDF.
De l'EMI à la translittératie : sortir de notre littératie La translittératie est une notion, un concept, une démarche d’apprentissage non encore stabilisée, sur laquelle la recherche française réfléchit et publie depuis plus de cinq ans. D’un point de vue étymologique, la translittératie est le « passage d’un système d’écriture à un autre » (Delamotte, Liquète, Frau-Meigs, 2014) mais est traversée par plusieurs courants. Nouvelle approche de l’information intégrable aux projets d’Education aux Médias et à l’Information, la translittératie serait-elle à l’origine d’une mutation future de notre métier de professeur documentaliste ? Approche et contexte de la translittératie Qu’est-ce que la translittératie ? Le concept est né aux États-Unis en 2005 suite à l’intégration du numérique dans la vie courante et notamment la lecture en ligne, puis est arrivé en Europe par l’Angleterre et Sue Thomas. En France, une définition de Divina Frau-Meigs permet de cibler les contours de la translittératie (2012) : En résumé : Translittératie et contexte d’usage
Le CDI, le professeur documentaliste et la notion « d’apprenance » - Doc pour docs Au début du mois d’avril 2017, François Taddei, Catherine Becchetti-Bizot et Guillaume Houzel ont remis à la Ministre un rapport intitulé “Vers une société apprenante”. L’expression “apprenante” m’avait interpellée. Quelques semaines plus tard, je l’ai retrouvée dans le cadre d’un travail réflexif sur l’autoformation des adultes, et j’ai été amenée à la définir plus précisément. Ayant pris conscience de la montée de la notion “d’apprenance” dans les discours et les prescriptions, j’ai regardé au travers de la “lunette” de ce concept ma réflexion et ma pratique pédagogiques. Le concept d’apprenance a été étudié par Philippe Carré, professeur des universités en sciences de l’éducation, dans la cadre de la formation des adultes(1). En quoi ce concept peut-il éclairer notre action pédagogique au CDI ? Retour sur les étapes d’une réflexion collective La prise en compte des pratiques informationnelles des élèves et la question du document de collecte. Quels sont les chantiers ouverts ?
Translittératie Translittératie La translittératie désigne la littératie qui s’exerce sur une multitude de supports et de médias. C’est en quelque sorte une métalittératie qui peut être mobilisée dans différentes circonstances. Il faut cependant rappeler en quoi consiste la littératie elle-même. la littératie désigne en général les capacités de base comme l’écriture et la lecture.La littératie désigne une compétence, si bien qu’il existe une multitude de littératies. La translittératie est généralement définie comme « l’habileté à lire, écrire et interagir par le biais d’une variété de plateformes, d’outils et de moyens de communication, de l’iconographie à l’oralité en passant par l’écriture manuscrite, l’édition, la télé, la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux" (traduction proposée sur Guitef). L’émergence du concept de translittératie interroge les bibliothécaires et les professionnels de l’information qui peinent à voir la véritable différence avec l’ "information literacy". Ressources
Comprendre la notion de translittératie A la convergence des cultures de l’information : information-documentation, médias et informatique, la translittératie est une notion récemment interrogée par les professionnels et les chercheurs en science de l’information, sans pour autant que l’intérêt de ces analyses ne se limite aux seuls experts. La définition communément acceptée est celle traduite de la définition initiale de Sue Thomas « l’habileté à lire, écrire et interagir par le biais d’une variété de plateformes, d’outils et de moyens de communication, de l’iconographie à l’oralité en passant par l’écriture manuscrite, l’édition, la télé, la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux » Définition qui donne son poids à l’éventail de formations qu’elle implique à l’ère du papier, de l’audio-visuel et du numérique. Quelles origines, quelle définition, quel rapport avec les autres littératies, quels enjeux ? Pour mieux comprendre la notion, voici quelques textes récents : Translittératie et compétences médiatiques (1)
PACIFI : parcours de formation à la culture de l'info «Libération» lance Checknews, site de vérification au service des internautes Libération lance aujourd’hui Checknews, le premier site de vérification au service des internautes. Le projet, développé avec l’agence J. Walter Thompson répond à un objectif simple: répondre de manière factuelle, sourcée, aux questions que vous vous posez sur l’actualité, et auxquelles vous ne trouvez pas de réponse fiable sur le Web. Alors que les fake news et les intox se multiplient sur la Toile, les moteurs de recherche ne permettent pas de démêler le vrai du faux. Les indemnités pour licenciement abusif vont-elles baisser, ou augmenter, avec les ordonnances ? Macron veut-il taxer les propriétaires ? Libération avait testé le site interactif lors de la campagne présidentielle.
Évaluation de l'information — Documentation (CDI) Pour apprendre aux élèves à avoir un regard critique sur l’information trouvée sur Internet Un dahu au bahut : regard critique sur l’informationDans cette vidéo, réalisée sous la direction de la SDTICE, la séance se déroule en collaboration avec le documentaliste et l'enseignant de technologie. Elle concerne des élèves de 3ème. Les élèves sont amenés à repérer les éléments qui permettent de valider les informations trouvées sur un site ou une page web, d'identifier, d'évaluer et de confronter leurs sources. Scénarios pédagogiques Travail en ECJS sur le thème de la famille (lycée professionnel, seconde) The Child Labour, lycée (seconde) Évaluer un site web et les informations qu'il contient, collège et lycée
La translittératie | SeriousDoc Si il est une notion qui commence à faire du « bruit » en science de l’information, c’est bien la translittératie. S’agit-il d’une forme de littéracie englobant toutes les autres ou une variante parmi les nombreuses existantes ? Je vous propose de faire un petit point rapide ! Le professeur Sue Thomas (De Montfort University, Illinois) est la première à proposer une définition de la notion de transliteracy comme « l’habileté à lire, écrire et interagir par le biais d’une variété de plateformes, d’outils et de moyens de communication, de l’iconographie à l’oralité en passant par l’écriture manuscrite, l’édition, la télé, la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux ». Alan Liu est professeur au Département d’anglais de l’Université de Californie, Santa Barbara, où il enseigne depuis 1988. Pour cela les principaux points qu’il met en avant sont : Les chercheurs français ce sont également penchés sur le concept de « transliteracy » qui devient alors « translittératie ». Sybil Nile