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7 trucs pour arrêter de râler sur vos enfants

7 trucs pour arrêter de râler sur vos enfants
En tant que parents nous avons tous nos moments de crise. On se retrouve à préparer le dîner, aider l’aîné avec ses devoirs et en même temps gérer le petit dernier qui pleure car il veut qu’on lui lise une histoire » tout de suite ». Parfois, soyons francs, c’est vraiment dur dur de garder son calme ! Voici dans cet article les meilleurs conseils que j’ai pu recevoir et mettre en pratique pour ne pas péter les plombs dans ma carrière de maman débutante. 1.Respirer et parler tout bas Le première chose à faire pour faire tomber la pression de la cocotte minute prête a exploser est de respirer ! Ensuite si mon enfant est agité, énervé et qu’il crie, je me mets à parler tout bas pour essayer de comprendre ce qui se passe. J’ai vu une maîtresse ( dans l’école Steiner de mes enfants) faire cela dans une classe de 20 enfants et c’est magique. 2. Quand mon enfant m’énerve le plus. 3. 4. 5. Quand mon enfant tape du pied car il veut un bonbon » tout de suite » ! 6. 7. Love and Respect,

4 astuces pour arrêter de râler sur sa famille Je m'abonne pour 1,75€/mois Râler sur ses enfants peut être une façon maladroite d’exprimer sa fatigue et ses difficultés à gérer un quotidien trop rempli. Et si on lâchait du lest ? Christine Lewicki et Florence Leroy* nous glissent quelques conseils pour arrêter de râler en 21 jours chrono et restaurer la paix familiale. Prête à relever le défi ? Toute la journée au bureau, il nous est difficile d’éclater de rage ou de s’en prendre à un collègue dès la première contrariété. Pour retrouver l’harmonie dans la famille et communiquer sereinement, on va s’efforcer pendant 21 jours de cesser de râler sur ses enfants et son conjoint. 21 jours, c’est le temps qu’il faut à notre cerveau pour se sevrer d’une habitude. Un bracelet anti-râleries Pour s’aider à tenir le coup dans notre programme, on porte un bracelet à un même poignet pendant les 21 jours du challenge. On parle autre chose que de logistique Au conjoint : "Tu as pensé à acheter de l’essuie-tout ?" 5 solutions pour arrêter de râler

Nido Pour faire suite à l'atelier du samedi 4 février sur l'attitude de l'adulte, je vous invite à lire ce texte, trouvé sur le site "mariamontessori.com" et que j'avais envie de relayer ici. —Manuel pour parents montessoriens Par Donna Bryant Goertz Texte en anglais ici : Chers parents, Je veux être comme vous, mais à ma manière. Je veux devenir comme vous, par mes propres efforts. Je veux vous regarder et vous imiter. Je vais vous demander parfois de faire par moi-même un grand travail parce que je vous vois faire, mais ce n’est pas ce qui me convient. Je veux penser comme vous, me comporter comme vous et avoir les mêmes valeurs. Nous avons de la chance car en moi je porte mon propre plan de développement, pour devenir comme vous. En fonction de ma personnalité je vais mener cette guerre ouvertement ou intérieurement. S’il vous plait, préparez mon environnement à la maison afin que je puisse faire mon travail. La télévision est une entrave à mon développement.

Il n’y a pas de petite claque Ce soir, France 2 a diffusé lors du journal de 20 heures un sujet appelé : "Gifle : autorité ou maltraitance ?" Alertée par mon amie Lizzie, je me suis naïvement dit "Chouette, chouette ! On parle de violence éducative ordinaire, ça va être intéressant !" A l’aube d’une campagne de sensibilisation appelée "Il n’y a pas de petite claque", initiée par la Fondation pour l’Enfance et diffusée sur pas moins de 15 chaînes télévisées DONT France 2, (diffusion d’un spot vidéo de 30 secondes à partir du 22 juin) une campagne ouvertement non-violente et contre toute forme de coups portés aux enfants sous prétexte éducatif, la ligne éditoriale du journal de 20 heures mériterait d’être revue, et sévèrement corrigée. En effet, j’ai pu apprendre, à ma grande surprise, que la fessée, c’est pour apprendre. Que la fessée, c’est la faute de l’enfant. Que la fessée, ce n’est pas un acte malveillant. Que la claque, ce n’est pas humiliant. Et comble ! J’ai ma petite théorie. Il y a de la violence. Physiquement.

3-5 ans : mon enfant a un ami imaginaire Tout petit, on accède à tous ses désirs. Normal ! En revanche, lorsqu’il grandit, l’enfant commence à appréhender la réalité, qui n’est pas toujours à son goût. L’ami imaginaire « participe » aux bêtises Ces amis imaginaires sont dotés de pouvoirs magiques et peuvent faire toutes sortes de choses défendues ou d’expériences à la place de l’enfant. L’ami imaginaire aide l’enfant à trouver sa personnalité L’ami imaginaire fait partie de son exploration du monde. L’ami imaginaire permet de développer l’imagination Une annonce de ferme à retaper et nous nous imaginons y passer Noël avec nos enfants, une fois les travaux effectués. L’ami imaginaire ne dure qu’un temps Les amis imaginaires apparaissent souvent pendant la période œdipienne, entre 3 et 5 ans, et s’installent dans la vie de votre enfant pendant quelques mois. Avoir un ami imaginaire, ce n’est pas mentir La notion de mensonge n’est pas maîtrisée à cet âge-là. L’ami imaginaire ne conduit pas à l’isolement

3 - 4 ans Alors, pour un printemps, ça, c'est un printemps. Cette année, soleil à gogo, avec le petit voile de fraicheur de rigueur qui humecte de rosée les végétaux tout neufs au petit matin. Nous vivons dehors ! Alors, c'est sûr, l'année dernière aussi, à cette époque, nous vivions dehors. Les choses ont bien changé. Notre jardin est envahi par les merles, qui ont bien compris que chez nous, il y avait toujours un carré de terre fraîchement retourné (le meilleur bac sensoriel qui soit) et donc : des vers ! ... J'ai imprimé six images séquentielles sur la nidification, histoire de présenter les choses en images à Antonin. (Il y a bien longtemps que je ne vous ai parlé du cahier de la maison, qui s'étoffe pourtant chaque semaine. Côté arts plastiques, les enfants ont découvert un nouveau médium : l'aquarelle ! Les enfants ont adoré cette séance de découverte (ils réclament la seconde sans relâche depuis) et moi aussi ! Sinon, dans l'atelier... ... ben, la routine ! ... et lancer !!

Nourrir la vie intérieure de son enfant De nombreuses initiatives parentales tentent aujourd'hui de faire contrepoids à l'«hybris technologique» qui semble prendre nos petits dès leurs premiers dix ans (smartphone, Facebook, télévision, jeux vidéo, etc.) Ainsi, l'Expérience - la majuscule montre l'ampleur du projet - que Susan Maushart, journaliste new-yorkaise, vient de mener avec ses trois enfants: six mois sans le moindre média électronique! Elle raconte dans son livre Pause (Éd. NIL) les difficultés de chacun (y compris les siennes) pour accepter une vie «unplugged» (déconnectée), mais elle livre un bilan positif: au terme de cette abstinence forcée, «j'ai vu mes enfants émerger peu à peu de l'état de “cognitus interruptus” si je puis dire qui avait caractérisé tant et tant de leurs heures de veille, pour devenir des penseurs plus logiques et plus concentrés». Se retenir d'anticiper les réponses Après les années 1960, il s'est agi «d'éveiller» l'enfant par tous les moyens. «Ne pas avoir peur de toucher une transcendance»

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