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Food Babe - Welcome to Food Babe!

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Related:  Sociologie

J'évite les produits à usage unique Halte au gaspillage ! Quand on sait que rien qu’en France, on produit 868 millions de tonnes de déchets par an, on se dit qu’il existe bien des moyens de freiner ce phénomène L’un d’eux consiste à arrêter d’utiliser des produits jetables. Papier absorbant, couverts en plastiques, film alimentaire… Ca en fait des produits dont la durée de vie n’excède pas quelques minutes. Ne plus utiliser de coton démaquillant Un disque de coton pour chaque oeil, deux autres pour le visage et parfois un autre encore pour le tonique… La poubelle des Françaises déborde de cotons souillés. Si sous utilisez du coton bio et équitable, c’est déjà un très bon point. Il existe aujourd’hui des alternatives toutes simples et très efficaces pour se passer de coton : les lingettes réutilisables. > suite du diaporama Oui Bonne idée, je vais le faire Non Cela me parait trop compliqué

Je couche avec qui je veux – pas avec tout le monde Qu’on soit célibataire ou surtout polyamoureu-x-se ou en couple libre, quand on ne peut pas se planquer derrière le prétexte monogame, il faut bien assumer le râteau qu’on inflige. Je peux pas … j’ai déjà un copain (ref. photo (c) the unsung sur deviantart.com) « Ah, non, désolée, je peux pas, j’ai déjà un copain… » Qui n’a pas entendu (et peut-être utilisé) cette ligne de défense pour se débarrasser d’un importun ? Quand on se planque derrière la monogamie Je peux pas, j’ai déjà un copain… Outre son caractère hypocrite (à part quand c’est effectivement vraiment la réalité, mais dans ce cas, il faudrait préciser : « tu me plais beaucoup mais j’ai déjà un copain, et on s’est promis de rester exclusifs »), je n’aime pas cette posture parce qu’elle constitue un raccourci fallacieux et malencontreux. Ce raccourci n’est d’ailleurs pas réservé aux situations de drague — on le retrouve un peu partout, en particulier comme ressort dramatique des intrigues de cinéma / de bouquins / de théâtre.

Une histoire critique de la psychosociologie clinique française Suivi des exposés oraux : cliquez sur En réécoutant cet exposé improvisé, je m’aperçois que j’ai laissé passer un lapsus linguae : au lieu de parler du sociologue Michel Bonetti, j’ai dit Michel Bonelli. cliquez sur voir : la critique des philosophes : Dany-Robert Dufour et Zygmunt Bauman : et voir : L’ouverture de Michel Maffesoli et de Frédéric Lenoir le point aveugle concernant la question de la conscience non locale et le non-attachement dans une perspective de non-dualité (méditation de la pleine conscience) voir : méditation 1- une histoire qui commence après la seconde guerre mondiale les premiers organismes de psychosociologies Des noms en France : C.

Design émotionnel ou le raisonnement sur les émotions - user experience, web design, web marketing - Consultant Expert Independant Freelance Digital Analytics (Google Analytics, Google Tag Manager, AT-Internet, Tag Commander...) « Le goût est dans notre tête, non dans ce que l’on mange. Dans l’assiette, il n’y a que des molécules. » Tel est l’objet du « design émotionnel » ( emotional design ). Nous passons notre temps à interpréter, à donner du sens aux signaux que nous recevons de l’environnement. Or, la perception est un phénomène plus complexe qu’il n’y paraît de prime abord. Lors de toute perception (sauf l’olfaction), les signaux sensoriels sont acheminés jusqu’au centre du cerveau, dans le thalamus, une structure servant de relais distributeur entre les cellules sensorielles et le cortex cérébral. La voie courte correspond globalement à la voie émotionnelle. En bref, toute entrée fait parallèlement l’objet d’une analyse globale par la voie émotionnelle, plus rapide, et d’une analyse spécifique par la voie corticale. Sachant cela, est-il étonnant de constater que certains tentent d’en tirer profit ? The Psychology of Everyday Things Don Norman – Emotional Design

Où va l'économie américaine ? Quels sont les programmes économiques des candidats ? Quelle Amérique laisse Barack Obama après huit ans de mandat? Chômage, accords commerciaux, couverture santé (Obamacare), pauvreté, fiscalité et régulation financière, autant d'enjeux de l'Amérique d'aujourd'hui. Le taux de chomage américain est toujours bien plus bas qu'en Europe, à 4,9% en octobre. Clinton veut augmenter les impôts des plus riches et élargir l'assiette. réduire le déficit n'est une priorité pour personne, et les candidats veulent relancer l'économie par la construction d'infrastures, comme l'avait fait Barack Obama en 2009 avec son plan de relance (stimulus). Mauvaise nouvelle pour Trump : la croissance a grimpé à sa vitesse la plus rapide depuis quatre ans. Le candidat républicain annonce sans arrêt vouloir redresser l'économie. Traduction : l'économie ne peut plus supporter encore 4 ans de ces politiques vouées à l'échec. Le salaire minimum fédéral est à 7,25 dollars, avec des disparités entre Etats.

NYCPlaywrights Liz Kimberlin is New York-based actor, and also the playwright V.E. Kimberlin. Her many plays, film shorts and comedy sketches have been produced in NYC's Tri-State metro area and the Hamptons, Los Angeles, Chicago, various other U.S. cities; London and elsewhere in the U.K. She has published general hard news, feature articles and short fiction in many print and online publications and also occasionally reviews for New York-based theater websites. Musical theater devotee and graduate of the National Shakespeare Conservatory, classical acting program, actor Liz Kimberlin has recently returned to stage and screen. RUB ME THE WRONG WAY by L. L. SABOTAGE by Brian Cox, performed by Tony White. SIOBHAN by Terry Boyle performed by Amanda Lea Mason. Terry Boyle came from Northern Ireland to live Stateside in 2004. Amanda Lea Mason graduated from the Boston University School of Theatre in 2011. Play of the month - April 2013 The theme was "Spring Cleaning." Cassie M. About Cassie M. Cassie M. R.

Le "Time" dévoile un nouveau cas d'humiliation tandis qu'est évoquée la fermeture de Guantanamo "Ils lui disent d'aboyer comme un chien et de grogner devant des photos de terroristes" : ces ordres adressés à un détenu de Guantanamo ont été dévoilés, dimanche 12 juin, par le magazine "Time" alors que des parlementaires américains appellent à la fermeture du centre de détention. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le "Ils lui disent d'aboyer comme un chien et de grogner devant des photos de terroristes" : ces ordres adressés à un détenu de Guantanamo ont été dévoilés, dimanche 12 juin, par le magazine Time alors que des parlementaires américains appellent à la fermeture du centre de détention. Dans son édition du 20 juin, l'hebdomadaire publie des extraits d'un carnet de bord tenu par les militaires américains, qui détaille des humiliations à répétition : interrogatoires à proximité de chiens, interventions de femmes aguicheuses, obligation d'uriner dans son pantalon. Le Saoudien, "détenu 063", se voit alors infliger des interrogatoires plus longs.

De quoi avons-nous (vraiment) besoin ? Bonheur, consommation, capitalisme Le bien-être matériel rend-il heureux ? L’augmentation de la consommation de produits et de services se traduit-elle par une augmentation de la satisfaction individuelle et collective ? On voit (re)naître des formes de mobilisation militantes contre la publicité et le consumérisme, ainsi que des « pratiques citoyennes » anti ou alter-consuméristes. Enquêter sur la fabrication de ces besoins dont nous n’avons pas besoin ne conduit-il pas à revitaliser, dans le champ de la théorie, des notions jugées désaffectées comme celle de l’aliénation ? Le dossier de Mouvements s’efforce de refaire de la question des besoins une question politique. Sommaire: De quoi avons-nous (vraiment) besoin ?

Le vide intersidéral de la muerte | Je veux vivreJe veux vivre Pour tous ceux qui ressentent le vide intersidéral dans le thorax Merci à Alex et Guillaume pour l’inspiration ! Ce contenu a été publié dans Etats d'esprit, avec comme mot(s)-clé(s) borderline, création, évolution, valeurs, vide, yin et yang. LOOKBOOK Images (publicitaires) : le bonheur est dans l’illusion… François Brune Origine : Devant le célèbre tableau de Magritte qui représente une pipe tout en précisant « Ceci n’est pas une pipe », le spectateur normal s’esclaffe : – Si ce n’est pas une pipe, ben alors, qu’est-ce que c’est ? Réponse : – C’est la représentation d’une pipe... – Ah ? Eh oui ! Il y a certes quelque ressemblance formelle avec l’objet en question, ce qui permet de s’y référer. 1 - L’image n’est jamais le réel Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». 2 - L’impression d’évidence est un leurre Or, en dépit de ces simples constats, l’image bénéficie d’un préjugé constant : sa transparence à la réalité. Voyez cette affiche ou ce spot. L’éducation du sens critique devrait donc avant tout apprendre à se méfier de ces représentations. 3 - Visualiser, c’est déréaliser • Par principe, elle met hors jeu tout examen critique de la consistance effective des produits présentés.

Les Tiers-lieux : là où le travail se transforme L’expression « Tiers-lieux » est une traduction de la notion de « Third Place » issue de l’ouvrage de Ray Oldenburg, The Great Good Place, paru en 1989. L’analyse du sociologue américain montre l’existence de lieux tiers, par opposition aux deux espaces que sont l’habitation et le lieu de travail : ces derniers se distinguent par un certain isolement de l’individu, à l’inverse de Tiers-lieux qui offrent la possibilité de nouer des relations sociales. Il ne s’agit pas, dans cette étude, d’une description normative ou programmatique : ce sont des espaces existants qui sont étudiés, comme des cafés, bars, librairies, bureaux de postes, salons de coiffure, etc. Ces endroits sont caractérisés par : des services gratuits ou peu chers, une bonne accessibilité, des « habitués » qui s’y réunissent régulièrement, la convivialité et, le plus souvent, de quoi se restaurer. Aujourd’hui : comment caractériser les Tiers-lieux ? Dynamiques du changement sociétal, ou simple mutualisation de moyens ?

La Vie privée (2/5) : Réfugiés, Sans Domicile Fixe, sans intimité ? Avec Louise Vignaud, rédactrice en chef de sans-a.fr, média d’impact portant sur les personnes précaires parmi lesquelles les sans-abris : lancée ce 9 septembre, la nouvelle version du site se consacre pendant un mois à l’intimité dans la rue ; Julien Beller, architecte fondateur de l'association 6B dont l’équipe est en charge du Centre d’accueil pour réfugiés qui ouvrira ses portes en région parisienne mi-octobre ; Evangéline Masson Diez, sociologue et militante engagée auprès des personnes en grande précarité notamment les familles vivant dans la rue, co-auteur d'un rapport de l’Unicef sur les mineurs isolés à Calais (juin 2016), et auteur du blog Au détour du quotidien sur mediapart.fr ; Fayçal Homsy, maraudeur pour l'association Entraides Citoyennes.

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