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Le septième continent

Le septième continent

EM - Le CNES embarque pour le septieme continent Nous sommes aujourd'hui familiarisés avec le concept de réchauffement climatique et ses effets : fonte de la banquise, élévation du niveau de la mer… Mais peu de personnes ont entendu parler des « îles plastiques », ces déchets de toute sorte rassemblés par les courants océaniques dans certaines zones des océans du globe plus ou moins définies. Charles Moore et Patrick Deixonne, 2 navigateurs soucieux de la planète. Crédits : P. Deixonne. Le CNES s’implique dans l’expédition « 7ème continent » par le biais du projet Argonautica. En 1997, le capitaine Charles Moore (à gauche sur la photo, accompagné du navigateur Patrick Deixonne) a été le 1er à découvrir cette zone de l’océan Pacifique où les déchets plastiques flottants se rassemblent. C’est le centre du gyre subtropical du Pacifique Nord. Notre zone d'étude est ici située entre Hawaii et la Californie dans un gyre connu pour sa haute concentration en déchets. L'espace au service de l'environnement Pourquoi cette expédition ? Mais aussi :

Il nous faudrait 3 planètes afin que tout le monde vie comme un français ? - information Environnement / Écologie insolite Avec la croissance de la population mondiale et l’augmentation des besoins humains, (augmentation considérable de la consommation de viande durant ces dernières décennies, nécessitant beaucoup de ressources naturelles), augmente l’empreinte écologique. Aujourd’hui il nous faudrait environ trois planètes si tout le monde vivait comme un Français. L’empreinte écologique, c’est l’estimation de la superficie nécessaire à l’homme pour répondre à l’ensemble de ses besoins en ressources naturelles ; pour faire plus simple c’est la consommation annuelle des ressources naturelles (en hectares) d’une population. Selon certains scientifiques, notre Terre ne serait bioproductive qu’a environ à 12 milliards d’hectares sur 51 milliards d’hectares de surface totale de la Terre. Bioprodutive dans le sens où la nature crée chaque année une certaine quantité de matière organique grâce à la photosynthèse. Les hommes devraient utiliser au maximum 1,8 hectares par personne. Empreinte écologique

Prêt à jeter Mardi 24 janvier 2012 à 20h35 Un produit usé = un produit vendu ! Dans les années 1920, des industriels américains ont trouvé la formule magique pour soutenir la consommation : l’obsolescence programmée. Fini les bas en nylon qui résistent à tout et les ampoules qui durent cent ans, un bon produit est un produit jetable. © Article Z Insolite :Prêt à jeter raconte également l’histoire de la Centennial Light. Dans une société où la croissance est tirée par la consommation, les produits durables sont une catastrophe ! Pour rentabiliser les machines et soutenir la consommation, on a contraint les ingénieurs à réduire la durée de vie des produits. "À l'époque, le développement durable n'était pas au centre des préoccupations", rappelle Warner Philips, arrière-petit-fils des fondateurs de la marque du même nom.

Le blog - Expédition 7e continent Irrigation solaire au goutte à goutte : une technique gratuite à la portée de tous - ecoloPop Baptisé kondenskompressor, ce système ingénieux de micro-irrigation solaire au goutte à goutte allie astucieusement recyclage, réduction du gaspillage et conservation de l’eau. Ce système d’arrosage d’une simplicité désarmante permet une utilisation optimale des ressources en eau, en particulier pour la culture dans un climat sec ou aride. Il est idéal pour les jardins communautaires, les potagers urbains mais aussi les serres de jardin. La technique du "kondenskompressor" semble avoir été mise au point vers 2008 par « Hortelano Hortament », un jardinier amateur originaire de Palma de Majorque sur les îles Baléares. Basé sur le même principe que les distillateurs solaires comme l’Eliodomestico déjà abordé précédemment, l’idée n’est pas officiellement brevetée et ne nécessite que des bouteilles en plastique PET de récupération pour fonctionner. La base d’une bouteille de 1.5l coupée en deux et remplie d’eau constitue le réservoir. Ressources et documentation :

Un second rapport d'analyse sonne l'alarme sur la composition des filaments aéroportés Dépistage DTD-GC/MS systématique sur un (1) échantillon de filaments aéroportés. Madame, La prestation analytique que vous nous avez confié sur un échantillon de «filaments aéroportés» est terminée. Les résultats obtenus sont présentés -en résumé et en détail- dans le rapport analytique ci-dessous. Cette prestation analytique fait suite à celle réalisée précédemment sur quatre (4) échantillons de «filaments aéroportés» prélevés à l'initiative de plusieurs particuliers en divers lieux répartis dans la France entière. Dans le cas présent, l'échantillon provient de la région de Saint Martin de Crau, a été prélevé à la demande de votre adhérente Séverine Laxenaire par les soins de l'étude Bruno, huissier sis à Arles, qui nous l'a transmis le 14 novembre 2013 par colis postal. Au même titre que celle liée au trafic automobile, la pollution atmosphérique induite par le transport aérien -- doit être étudiée, surveillée, et réglementée.

Alerte à la pollution des mers, suffoquées de plastiques La presse l'a lar­ge­ment relayé : on parle désor­mais d'un 7ème conti­nent. La mer de plas­tique, grande comme six fois la France, se situe au cœur de l'Océan Pacifique. Les scien­ti­fiques s'inquiètent : une expé­di­tion fran­çaise par­tira fin mai pour en savoir plus sur cette catastrophe. Flickr/MatHelium Charles Moore, explo­ra­teur amé­ri­cain, découvre en 1997 une sur­face de déchets en plas­tique grande comme six fois la France dans le Pacifique nord. En 2010, les cher­cheurs de la Sea Education Association découvrent à leur tour une mer de plas­tique dans l'Atlantique nord. Si la quan­tité de déchets semble à peu près stable depuis vingt ans dans l'Atlantique nord, il n'en est pas de même dans le Pacifique. Pour Yann Geffriaud, ingé­nieur naval cité par Le Figaro, fon­da­teur d'un obser­va­toire col­la­bo­ra­tif de sur­veillance des déchets en mer dans l'Atlantique, "per­sonne ne pourra jamais net­toyer la mer. L'expédition "7ème continent" Sandra Ktourza

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