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Il était une fois le cinéma - La passion du cinema

Il était une fois le cinéma - La passion du cinema
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LA FIN DU RÊVE AMERICAIN AU CINEMA (1/2) - Le Ciel, la Terre, l'Eau et le Feu Ces films ont tous en commun de montrer la folle guerre du Vietnam qui rend plus ou moins fous les hommes qui y sont plongés par un engrenage fatal; côté Vietcongs, même processus: le fanatisme idéologique ajouté à la haine des Américains rendra les combattants fous de rage,mais avec cette froide et très asiatique détermination, qui rappellera douloureusement aux Américains le sacrifice des Japonais pendant la Seconde Guerre Mondiale. Platoon est un film de guerre américain écrit et réalisé par Oliver Stone en 1986, dont l'action se déroule pendant la guerre du Viêt Nam. Il est en partie inspiré par la propre vie du réalisateur, qui s'est lui-même engagé comme volontaire pour la guerre du Viêt Nam où il a été blessé à deux reprises En 1967, le jeune Chris Taylor souhaitant servir son pays, s'engage volontairement dans la guerre du Vietnam. Lors d'une opération dans la jungle, son unité découvre un complexe de bunkers. Taylor soupçonne Barnes d'avoir assassiné Elias. Scène coupée: Jarhead

Hollywood Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aujourd'hui, toutefois, la plupart des sociétés de production se sont dispersées dans d'autres quartiers proches, comme Westside ; mais plusieurs des studios importants tels que ceux de montage, des effets visuels ou encore de postproduction demeurent toujours à Hollywood, comme les studios de la Paramount Pictures. Présentation[modifier | modifier le code] Le quartier est réputé pour ses studios de cinéma, les sièges sociaux des grands groupes cinématographiques et pour être le principal lieu de résidence de nombreuses stars. Par métonymie, le mot Hollywood désigne souvent l'industrie cinématographique américaine prise dans son ensemble, compte tenu de la concentration qui fit ici la fortune de la mégalopole. Histoire[modifier | modifier le code] La partie résidentielle du quartier de Hollywood occupé par une population relativement aisée Industrie du cinéma[modifier | modifier le code] Géographie[modifier | modifier le code]

West Side Story : une mythologie de passage initiatique des temps modernes Le film West Side Story met en images, dans une ambiance d'intense émotion dans laquelle chacun peut se retrouver, une description presque parfaite du fonctionnement psychologique de la sortie de l'adolescence. Bien que l'histoire s'achève sur un échec, West Side Story nous fournit un exemple moderne du triple passage initiatique de la vie de groupe de l'adolescence à la vie individuelle d'adulte. Ainsi se termine (mal) la belle histoire de deux adolescents qui ont échoué dans leur passage initiatique vers la vie individuelle, vers la vie sexuelle, vers la vie de travail et vers la vie sociale. Ce film nous montre qu'il y a un Idéal et un Surmoi individuels : ceux de Tony et de Maria. Tout conflit de groupe se fait entre le narcissisme et l'analité non intégrés. Par ailleurs, ce film nous permet encore de constater que les groupes suivent la même évolution psychologique que les individus mais un grand nombre de sociétés n'ont pas encore atteint ou terminé leur adolescence !

Certains l'aiment chaud Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959. Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour. Résumé[modifier | modifier le code] Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Junior : "I guess some like it hot..." (– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood. Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. Daphné : "We can't get married at all" Osgood : "Why not ?

Hollywood, faiseur d'Histoire Le cinéma est sans doute l’arme la plus puissante de la dernière super puissance planétaire. Film après film, les Etats-Unis réécrivent l'histoire, effacent les aspérités, disculpent l'humanité de ses erreurs. RÉCEMMENT, DEUX FILMS HOLLYWOODIENS de science-fiction revisitent l’histoire du monde en prenant soin de donner aux Etats-Unis le beau rôle. Que ce soit dans X-Men: le commencement ou Transformers 3, le spectateur assiste à une nouvelle version d’événements mondiaux connus de tous mais dont on aurait ignoré les véritables ressorts. Sans entrer dans les théories du complot à la mode, il est essentiel de constater une fois de plus la puissance narratrice exceptionnelle des Etats-Unis. X-Men Le commencement (X-Men First Class) -... par Marvelll94 X-Men: le commencement sorti le 1er juin en France propose une curieuse version de la crise des missiles de Cuba. X-Men comme Transformers 3 proposent une version revisitée de l’histoire de l’humanité, évidemment centrée sur les Etats-Unis.

Histoire des États-Unis de 1918 à 1945 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Années 1920 : les années folles[modifier | modifier le code] Conséquences de la Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] En 1918, les États-Unis sortent renforcés de la guerre. Situé dans le camp des vainqueurs, le pays n'a pas subi les destructions dramatiques d'une partie de l'Europe et les pertes humaines sont limitées[1]. Comme en Europe, les années 1919-1920 sont difficiles aux États-Unis : il faut reconvertir l'économie de guerre et faire face à l'inflation. Prospérité économique[modifier | modifier le code] Chrysler Building, New York, achevé en 1930 Durant les années 1920, les États-Unis connaissent une période de prospérité mal répartie : dans l'agriculture les salaires et les prix chutent. Grande Dépression[modifier | modifier le code] Le Krach boursier du et la dépression qui s'ensuivit ont été maintes fois débattus, souvent sous des angles idéologiques. Causes[modifier | modifier le code] Dust Bowl au Texas, 1935

Le cinéma américain : un impérialisme culturel ? 1En ces temps d’unilatéralisme américain souvent honni, le cinéma est un sujet fréquemment choisi pour malmener la toute puissance américaine. Cet article entend montrer que la domination américaine des écrans mondiaux n’est pas nouvelle et qu’elle est d’autant plus indéniable qu’elle s’est accrûe du fait de la mondialisation des échanges commerciaux. Cependant, cette domination peut paradoxalement être utile à certains pays, leur permettant, par exemple, de développer ou d’améliorer leurs infrastructures cinématographiques, de former ou perfectionner leurs techniciens et de financer leur propre cinéma. Cela permet alors de tirer profit sur le plan culturel d’une domination qui est avant tout économique et qui suit l’évolution d’un marché devenu mondial. 4 Source : Observatoire Européen de l’audiovisuel, Focus 2005, tendances du marché mondial du film, (...) Répartition des entrées dans l’Union européenne suivant l’origine des films (2004) 7 Source : Ibidem, 27. 12 Ibid., 161.

Les symboles de l’American way of life - La grande saga des marques - Histoire éco - Enquêtes L’arrivée dans les poches des libérateurs du Coca-Cola et des rasoirs Gillette fut suivie entre 1950 et 1970 par un déferlement de produits «made in USA». Grâce à eux, les Français ont découvert la société de consommation. Chewing-gums et chocolat pour tout le monde ! C’était le cri du cœur de l’été 1944. Les GI avaient aussi en poche du chocolat au lait Hershey’s, une curiosité pour nos compatriotes, qui ne connaissaient jusqu’alors que le chocolat noir. Dans les mois qui suivirent, les Français découvrirent bien d’autres marques américaines, à commencer par Jeep et Coca-Cola. Afin d’approvisionner les troupes libérant l’Europe, il avait même ouvert en 1943 dix usines d’embouteillage en Algérie. Dans tout le pays, qui venait de subir cinq ans de rationnement, ces nouveaux objets, débarqués en même temps que la musique de Count Basie, Louis Armstrong ou Sidney Bechet via la radio de l’US Army, évoquaient une mystérieuse et délicieuse société d’abondance.

Avatar, James Cameron * Sortie au cinéma en décembre 2009, le film est disponible en DVD (20th Century Fox). 2 Martel, Frédéric, 2011, Mainstream, enquête sur la guerre globale de la culture et des médias, Pari (...) 3 Avatar est le plus grand succès de l’histoire de l’industrie cinématographique avec près de 3 milli (...) 1C’est après une maturation de plus de dix ans faisant suite au succès colossal de Titanic (1997), que James Cameron revient, cette fois, en prophète pionnier. Autant sa mise en image du plus célèbre naufrage de l’humanité annonçait la fin d’un monde, d’un certain cinéma aussi, autant Avatar se veut une œuvre de défrichement dans l’univers de possibles ouvert par le progrès technologique. 2Cameron, au même titre d’ailleurs qu’un grand nombre de séries télévisées, scénarise et réalise une œuvre miroir. 4 Voir à ce titre la thèse et les travaux d’Elsa Viellard-Baron portant sur la jungle entre nature et (...) 5 Olagnier, P.J., 2008, Les dystopies urbaines dans le cinéma de science-fiction.

Le star system au cinéma : le rôle de la télévision Né dans les années 1920, le star system a beaucoup évolué en moins d’un siècle. La télévision en est la principale responsable en réussissant à amener les stars dans nos salons pour en faire des compagnons fidèles qu’on se plaît à retrouver ensuite sur grand écran. Les rôles se seraient-ils inversés ? Le phénomène « star system » remonte aux années 1920. Face aux foules qui se pressent aux apparitions des monstres sacrés, pas question d’établir un rapport personnel. L’avènement de la télévision changera entièrement la donne à partir des années 1960. Des émissions auront pour but de nous familiariser avec la vie quotidienne de ceux qu’on aura contemplés, en images surdimensionnées dans les salles obscures. Cette condition nouvelle de la star entraîne des conséquences particulières : D’abord on constate des différentiels de revenus entre acteurs sans commune mesure avec les échelles de talent (à compter qu’elles soient quantifiables).

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