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"Dans 5 ans, Pixmania pourrait réaliser la moitié de son chiffre d'affaires en magasin physique"

Parce que les consommateurs préfèrent le multicanal et qu'ouvrir des magasins coûte moins cher qu'acquérir des clients sur Google, l'ex-pure player développe une stratégie ambitieuse de distribution physique. Son vice-président l'a livrée au JDN. JDN. Combien de magasins opère aujourd'hui Pixmania ? Jean-Emile Rosenblum. Nos points de vente sont localisés à des endroits "premium" à fort trafic, en centre-ville ou en centre commercial, toujours à proximité d'un parking. Pourquoi ouvrez-vous des magasins ? Aujourd'hui, le Web représente 5 à 40% du chiffre d'affaires d'une ligne de produit : 5% pour le meuble, 10% pour les téléviseurs, 20% pour les appareils photo, 40% pour les disques durs... Ouvrir des magasins nous permet également de développer une marque globale aux yeux du client, qui veut du multicanal. En ouvrant des boutiques physiques, n'allez-vous pas justement perdre votre avantage sur les retailers ? Vendre en ligne est-il réellement impossible ? Oui.

"J'ai décidé de fermer EspaceMax et d'arrêter le Web" Nouvellement actionnaire et président de Dugivers, l'ex-DG d'eBay France stoppe l'activité de vente en ligne du groupe pour développer le showroom parisien Catherine Max. JDN. Vous avez quitté la direction d'eBay pour devenir l'un des principaux actionnaires et le président de Dugivers, qui opère le site Espace Max et le showroom parisien Catherine Max. Yohan Ruso. Nous nous recentrons donc sur le métier historique de Dugivers, c'est-à-dire le showroom Catherine Max. Que comptez-vous faire du showroom ? C'est la première activité de Dugivers. Nous allons dynamiser cette activité en renforçant nos liens avec les marques déjà partenaires, en développant nos relations avec des marques chics plus jeunes et en rajeunissant notre clientèle pour nous concentrer sur les femmes actives aimant les marques branchées et pointues. Vous estimez-vous toujours concurrent des sites de ventes événementielles ?

E-commerce : 5 sites au concept original Avec plus de 80 000 sites de e commerce en France et une augmentation des achats en ligne en constante évolution, certains acteurs du e commerce tentent de tirer leur épingle du jeu en innovant avec des sites aux concepts originaux. Article rédigé par Pauline Motheron. Pauline est une jeune auto-entrepreneure en création et gestion de sites web, présente sur internet depuis 1998. Avec plus de 80 000 sites de e-commerce en France et une augmentation des achats en ligne en constante évolution, certains acteurs commerce sur internet tentent de tirer leur épingle du jeu en innovant avec des sites aux concepts originaux. Videdressing.com : la vente d’occasion à grande échelle aux services des particuliers. Là où il y a encore quelques années, il fallait compter sur Le bon coin ou eBay pour recycler nos fonds de placards, le net a inventé des sites tels que Videdressing pour nous faciliter la tâche. Jimmyfairly.com : le « buy one give one » à la française.

Le renouveau du point de vente et son intégration dans le parcours client Nous étions présents à la conférence : Le renouveau du point de vente et son intégration dans le parcours client, qui a eu lieu le 4 avril dernier, au salon Stratégie Clients. Nous faisons face à un paradoxe : plus nos échanges avec nos clients sont dématérialisés plus nous aurons besoin de lieux pour ancrer notre image de marque et incarner les relations avec nos clients. Certaines marques l’ont d’ores et déjà bien compris en réaménageant leur point de vente ou en lançant des points de vente d’un genre nouveau, où le virtuel enrichit le réel et le marketing digital local redonne de l’autonomie au magasin. Cette session fait un tour d’horizon des concepts et des stratégies marketing d’aujourd’hui pour intégrer le point de vente dans le parcours client et améliorer l’expérience client. Les Intervenants : Ce que représente le point de vente aujourd’hui : L’objectif du PDV a évolué. L’incidence de la crosscanalité sur les différents points de vente : Prochaine étapes ? depuis votre site.

Comment les acteurs du e-commerce français peuvent-ils se développer en Europe grâce aux places de marché ? Ces sites, qui ouvrent leur accès à d’autres commerçants en échange d’une commission et/ou d’un frais fixe mensuel sont au nombre de 9 dans le top 20 des sites de e-commerce français : eBay, Amazon, PriceMinister, Cdiscount, PriceMinister, Pixmania, Rue du Commerce, Brand Alley, et La Redoute. Juste en dessous du Top 20, il existe aussi des places de marché telles que Zalando, One World Avenue ou Atosho qui représentent des canaux de vente plus verticaux, mais à très fort potentiel. Cette omniprésence des places de marché est une spécificité française, dans les autres pays européens, le paysage des places de marché est plus concentré autour d’eBay, d’Amazon et de Pixmania. Plusieurs places de marché local à forte audience sont toutefois présentes : Play.com et HMV au Royaume-Uni, Hitmeister, Otto, Rakuten et Zalando en Allemagne. L’Allemagne et le Royaume-Uni Ces pays sont matures et concurrentiels, ils représentent un fort potentiel économique. - Hitmeister, pure player allemand.

Sephora Gives Its Shopping Experience a Makeover Tendances du retail 2013 : vers la fin de l’e-commerce ? Vécu de nombreuses années par les points de vente physiques comme un concurrent déloyal, le site e-commerce est accusé de tous les maux, essentiellement de cannibaliser les ventes, et de provoquer une guerre des prix. Depuis l’avènement de l’e-commerce dans le milieu des années 2000, les commerçants traditionnels, [également désignés par le terme « Brick & Mortar » en opposition aux activités commerciales 100% sur le Web, les « Pure Players »] ont commencé à se lancer massivement dans la vente en ligne… et ont découvert un nouveau métier, qui n’était pas forcément le leur au départ. Car si le commerce en ligne offre de belles perspectives de croissance, il est également parfois ardu de s’y faire une place. 2012 : vers la fin de l’e-commerce ? Les consommateurs ont essayé les différents canaux de vente, tenté les achats à l’étranger, cru dans les promesses des Pures Players. C’est ce que Google appel le phénomène ROPO (Research Online Purchase Offline) ou encore le Web To Store.

Les technologies rapprochent le web et les magasins | Andrea Graells Repérer une paire de baskets sur internet, finir sa commande sur le téléphone intelligent, puis la retirer en magasin. Réserver une robe sur le web pour l'essayer en cabine. Choisir un frigidaire par l'entremise d'une tablette en magasin... avec la technologie surgissent de nouveaux modes de consommation. «Depuis plusieurs années, le consommateur a une crise du pouvoir d'achat, donc il est plus enclin à adopter de nouveaux comportements et dispose de nouvelles possibilités techniques», souligne Sébastien Monard, du cabinet d'études Nielsen. «Il faut partir des besoins du client et pas de la technologie», prévient Antoine de Riedmatten, associé chez Deloitte. Multicanal, «crosscanal», ominicanal, ubicanal, postcanal, commerce connecté... les expressions foisonnent pour désigner la possibilité pour les consommateurs de choisir entre plusieurs canaux de distribution et les combiner à leur guise. Mais il ne suffit pas d'attirer le consommateur pour vendre.

Comment le Big Data vous aide à rentabiliser le e-commerce Politique Plus de 200 députés PS appellent au «rassemblement» derrière... Dans une tribune publiée par «Le Monde», plus de 200 députés socialistes regrettent «la permanence d’une défiance a priori à l’égard de... François Hollande fixe les grandes lignes de sa diplomatie + VIDEO Jeudi matin, le président de la République a tenu la conférence annuelle des ambassadeurs de France. Social 35 heures : Matignon recadre Macron Dans une interview réalisée avant sa nomination, Emmanuel Macron se dit prêt à des dérogations aux 35 heures. Vente en ligne et réseau physique : quelle stratégie cross-canal ? par Laure Arroyas - Chronique e-Business En février 2012, le site Good e-Reader annonçait qu’Amazon envisagerait d’ouvrir une boutique physique à Seattle. Si la rumeur n’a pas encore été vérifiée, elle est révélatrice de la tendance actuelle où la frontière entre vente en ligne et en boutiques se fait toujours plus mince. Les marques ont bien compris qu’une stratégie cross canal, rendant les coutures invisibles entre les canaux de distribution, était le meilleur moyen de capter (et fidéliser) les consommateurs. Comment allier les 2 stratégies ? Jusqu’ici les pureplayers avaient le monopole du e-commerce.A priori, les pure players se taillent la part du lion en termes de vente en ligne, ebay, Amazon et Cdiscount étant les sites e-commerce les plus visités en France au 1er semestre 2011 selon la Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance). L’idéal serait donc sans doute de lier e-commerce et réseau brick-and-mortar ? Allier réseau physique et site e-commerce permet 4 types d’interactions :

Les clients des sites de e-commerce globalement satisfaits, mais le SAV serait à améliorer Les clients des sites de e-commerce se montrent globalement satisfaits de leur expérience d'achat, à laquelle ils attribuent une note de 6,9/10, mais ils estiment que la navigation et les services-après-vente peuvent encore être améliorés, selon une étude Ernst&Young/Yuseo. Les sites de e-commerce sont notamment plébiscités pour la qualité de leur page d'accueil (7,3/10) et la bonne information sur les produits (7,2/10). Les modes de livraisons sont également appréciés, avec des notes de 7,9/10 pour la liberté et le choix proposés, et de 7,1/10 sur les informations liées aux points de retrait. En revanche, les clients estiment que la navigation sur les sites manquent de fluidité, déclarent avoir parfois le sentiment d'être "perdus" sur certains sites. En conséquence, ils se plaignent d'avoir passé plus de temps que nécessaire à effectuer leurs achats (note de 6,4/10), 59% d'entre eux faisant même état de réelles difficultés.

Les consommateurs prennent la parole pour influencer la vie locale par Marion Blanc - Chronique e-Business Le nouveau consommateur, averti en temps réel par son smartphone des bons plans à proximité, capable de comparer les prix et muni de toutes les cartes de fidélité, va-t-il prendre le pouvoir sur les enseignes et maîtriser son pouvoir d’achat ? L’étude « Baromètre Dialogue Client 2011 » et les premiers retours d’expérience de la startup Civiliz montrent que, avec le mobile et les écrans connectés, de nouveaux usages émergent et notamment une forme de dialogue qui dépasse la dimension économique de la relation client.La génération des SoLoMobiles (référence à la tendance SoLoMo : Social, Local, Mobile) utilise un smartphone pour se connecter à Internet et se géolocaliser. Les clients SoLoMobiles sont-ils précurseurs du comportement du consommateur de demain ?Ils semblent plus exigeants sur l’accueil : quand on pose la question « au cours du dernier mois, avez-vous été mal accueillis dans un point de vente ?

Personnalisation online, la tendance du e-commerce ! Pourquoi personnaliser ? En personnalisant un produit, le consommateur devient « consomacteur » et investit pleinement un nouveau territoire d’expression, il se sent valorisé tout en valorisant la marque ou le produit qu’il personnalise. C’est un échange gagnant-gagnant surtout pour les marques qui trouvent là un merveilleux moyen de promouvoir leurs produits. Bien conscientes que les enjeux de notoriété se font sur toile, les marques donnent une nouvelle dimension à leurs produits et fidélisent le consommateur en l’engageant dans le processus de création, c’est la tendance de la co-création. La personnalisation des produits n’est pas une innovation en soit, mais le web la rend accessible à toute personne possédant un peu d’imagination.Le Marketing s’est adapté et propose aujourd’hui des solutions de récupération et de fidélisation de la clientèle pourvu que l’on dispose d’une bonne base de données. Des interfaces sur mesure pour des produits à personnaliser Relais sur les réseaux sociaux

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