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Mindmap Ebook en bibliothèque

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Marché de l'ebook en France : explosion imminente La société de consultance AT Kearney, en partenariat à BookRepublic, vient de publier son étude biannuelle sur l'état du marché du livre numérique dans le monde. Selon cette étude, le plus gros marché de l'ebook est en Amérique du Nord (2 milliards d'€), suivi par l'Asie (environ 250 millions) et enfin l'Europe (environ 175 millions). La majorité des ventes en Amérique du Nord se font aux États-Unis (98%) et en Asie, la Corée du Sud représente 45% des ventes. On a ainsi : Amérique du Nord : États-Unis (98%) Canada : 2% Asie : Corée du Sud : 45% Japon : 25% Chine : 25% Autre : environ 5% Europe : Royaume-Uni : 52% Allemagne : 28% France : 7% Italie : 3% Espagne : 2 % Autre : environ 8% La France ne réalise qu'un petit 7 % (environ 12,5 millions), alors que les ventes d'ebooks en France ne représentent que 0,5 % des ventes de livres au total, contre 7 % au Royaume-Uni et 20 % aux États-Unis. Sources : Lettres numériques , Slide Share Pour approfondir

Une bibliothèque électronique dans votre salon Vous aimeriez emprunter des livres numériques en français dans le confort de votre foyer? L’expérience sera bientôt possible grâce à un ambitieux projet. Photo: iStockphoto Au cours des prochains mois, plus de 1 000 bibliothèques québécoises pourront commencer à prêter des livres numériques par l’entremise de la plateforme Pretnumerique.ca. Quelques-unes participent actuellement à un projet pilote afin de roder ce nouvel outil, notamment Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) ainsi que les bibliothèques municipales de Montréal et de Québec. «Le déploiement se fera de façon progressive, explique Suzanne Payette, présidente de l’association Les Bibliothèques publiques du Québec. Livre «chronodégradable» L’expérience de l’utilisateur sera assez simple. Pour chaque livre, les bibliothèques devront acquérir des licences qui correspondront à autant de copies. Chaque bibliothèque déterminera les livres et le nombre de copies qu’elle désire offrir. Toutes les Nouvelles

Notice to publishers: curse your sudden but inevitable betrayal With yet another publisher announcing today that it’s dropping out of the library eBook market, I decided to put up a new sign in our library in a few different spots to raise public awareness. The sign lists which publishers won’t do eBook business with libraries and provides contact information for the publishers in question. I’ve posted about the issue on our library blog and pushed it out on our Twitter account, Facebook page, and Google+ page. And here’s a direct link to a downloadable copy of my sign on Google Docs. It’s not fancy, but feel free to take it, modify it, use it. sign at the San Rafael Public Library I know it’s a small gesture. As a librarian and as a reader, I am tired of publishers walking away from the library table. I think it’s about damn time we, as library professionals, started getting the public riled up about this too. As I was putting the signs up today, I got a few questions immediately from library users. Put a sign up in your library.

Guide du livre numérique : moteurs de lecture, conseils, lexique Comment s’y repérer parmi les livres numériques et l’offre électronique de liseuses, tablettes, formats de fichiers ? Dans cet univers pléthorique, les repères et explicitations manquent. À l’occasion du salon du livre de Paris 2012, le Syndicat National de l’Édition (SNE) a mis en ligne un dossier ressources librement téléchargeable (56 pages, en pdf) intitulé : Assises du livre numériques : Normes et standards : Travaux du groupe (Guide du numérique à l’usage des éditeurs). Ce document est essentiel pour les professionnels (éditeurs, bibliothécaires, libraires, animateurs multimédia, …) ou amateurs qui souhaitent comprendre l’univers du livre numérique. Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : France Tags: liseuse, livre numerique, mobilité, tablette

Les bibliothèques s'invitent dans le numérique | Alain McKenna, collaboration spéciale En raison d'un prix jugé trop élevé et de la rareté de l'offre, le marché du livre numérique québécois traîne toujours la patte. Mais cela pourrait changer au cours des prochains mois, alors que près de 750 bibliothèques publiques hériteront d'une toute nouvelle plateforme de location de livres numériques. Conçue par De Marque, de Québec, pour le compte du Réseau Biblio du Québec, cette plateforme sera mise à l'essai dès décembre, en vue d'une activation plus officielle tôt en 2012. De Marque a également conçu l'entrepôt de livres numériques de l'Association nationale des éditeurs de livres (ANEL). Les deux plateformes auront donc plusieurs similitudes. Chose sûre, elles stimuleront toutes deux l'adoption du livre numérique au Québec. «Le marché est encore embryonnaire, mais le livre numérique va avoir une place plus importante que jamais dans l'édition québécoise, au fil des prochaines années. La menace Amazon Il pourrait aussi y avoir un impact au Québec.

Une liseuse moins chère qu’un livre ! L'entreprise allemande Txtr vient d'annoncer à la Foire du livre de Francfort une liseuse de 5 pouces (format livre de poche) de 129 grammes, avec 4 Go de mémoire vendue à 9,90 euros (vidéo) ! Oui, 10 euros ! Elle sera moins chère que le prix d'un livre papier voire même que bien des livres électroniques ! Bien sûr, cette liseuse d'entrée de gamme est dénuée de toute fonctionnalités : pas d'écran tactile, pas de rétro-éclairage, pas de Wifi ni de 3G... Comme le signale Digital Book World, le prix de vente du txtr beagle abaisse à nouveau d'un cran le prix d'accès des appareils de lecture électroniques (qui tournent autour de 130 euros pour les modèles perfectionnés, et autour de 60 euros pour les modèles d'entrée de gamme) et relance les spéculations sur l'arrivée prochaine de liseuses gratuites pour l'utilisateur (enfin, financées d'une autre manière, via un abonnement par exemple). Vidéo promotionnelle du txtr beagle publiée par txtr sur Vimeo. Share and Enjoy

Canada: une plateforme de prêt de livres numériques en bibliothèque Canada: une plateforme de prêt de livres numériques en bibliothèque Alors qu’Amazon a annoncé hier le lancement du prêt d’ebooks pour ses clients Kindle Prime, l’agrégateur ANEL-De Marque annonce la prochaine mise en ligne d’une plateforme de prêt de livres numériques. Le prêt d’ebooks dans les bibliothèques québécoises va devenir une réalité. Mise à jour : De Marque nous précise certains points : « Le modèle est beaucoup plus « écosystémique » que décrit: impliquant contractuellement éditeurs, libraires, distributeurs et bibliothèques. Ebooks libres et gratuits Bibliothèque électronique du QuébecJean-Yves, qui a créé cette bibliothèque en 1998, à une époque où personne ne pensait à proposer des livres électroniques qui soient aussi agréables à lire que les livres papier (le format texte régnait alors en maître...), nous propose plus de 1000 livres aux formats ePub et PDF. Il travaille également, au moment où j'écris ces lignes (novembre 2009) à proposer, en plus des versions au format PDF classiques, des versions spécialement adaptées aux liseuses. Son site est maintenant hébergé par notre groupe. Cette bibliothèque nous propose des livres de grande qualité, et j'avoue que je n'ai jamais compris comment un seul homme avait réussi à faire tout ça.

How art history is failing at the Internet By JAMES CUNO A national and international museum leader and scholar, Jim Cuno is the President and CEO of the J. Paul Getty Trust. Before joining the Getty, Cuno was president and Eloise W. Keeping up with the pace of change in the digital world is challenging, and harnessing its potential can be frustrating. The history of art as practiced in museums and the academy is sluggish in its embrace of the new technology. But we aren't conducting art historical research differently. Scientists, social scientists, and engineers don't work this way. The difference is stark when art historians (and I use this label to describe both curators in museums or professors in the academy) work together with conservation scientists on a common project. Curators work in a similarly isolated fashion in terms of sharing their work. In short, humanists largely work alone and on timelines with long horizons. And all of this is only in terms, as noted above, of disseminating information.

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