Management d’entreprise : trois exemples que tout oppose | De geek à directeur technique Assez souvent, lorsque je discute de management et de gestion d’entreprise, on me dit que seule telle ou telle pratique garantit la réussite d’une entreprise ou d’un projet. Cela m’amuse, car je pense au contraire qu’il n’y a aucune recette miracle, et que chaque situation est différente. Pour illustrer cela, j’aime prendre l’exemple de trois entreprises dont les dirigeants sont partis dans des directions clairement différentes. Ces entreprises ont connu le succès, si bien qu’on ne peut pas dire que les méthodes utilisées sont mauvaises. Les entreprises en question sont Apple, Google et Virgin. Apple Tout le monde a entendu parler, ne serait-ce qu’un minimum, de la manière dont fonctionnait Apple. Cette méthode a prouvé son efficacité. On connait aussi les inconvénients. Google Plusieurs livres ont été publié dans les années 2000, à propos de la « Méthode Google », pionnière du « Management 2.0 ». Virgin Au final Tout ça pour dire qu’il n’existe pas une unique vérité.
Études De Gestion Apple - Recherche de Documents - dissertation Etude de gestion : Entreprise basée sur la création d’appareils informatiques. Question : Une association, une organisation publique, une entreprise peuvent-elles être gérées de façon identique ? • Type d’organisation : Entreprise privée à but lucratif • Finalité : Economique, sociétale, assurer sa pérennité, réaliser du profit • Taille : Très grande entreprise, 46 000 salariés, 65 milliards de dollars de chiffre d’affaire en 2010 • Ressources : - Humaines : 46 000 salariés - Financières : Capital : 213.9 milliard ; Bénéfice : 8.24 milliard - Matérielles : 290 Apple store ; usines, machines, locaux, produits - Immatérielles : Brevet, logiciel, recherche et développement, image de marque • Champ d’action : International (11 pays) • Nationalité : Américaine, siège social en Californie 1998: Steve Jobs transforme la chaîne de production d'Apple et lance l'ordinateur tout en couleur iMac pour 1.300 dollars. 1999: l'iBook, présenté comme un iMac portable, est commercialisé.
Steve Jobs Signature Steve Jobs, né le 24 février 1955 à San Francisco (Californie) et mort le 5 octobre 2011 à Palo Alto (dans le même État), est un entrepreneur et inventeur américain, souvent qualifié de visionnaire[1], et une figure majeure de l'électronique grand public, notamment pionnier de l'avènement de l'ordinateur personnel, du baladeur numérique, du smartphone et de la tablette tactile. Cofondateur, directeur général et président du conseil d'administration de l'entreprise multinationale américaine Apple Inc, il dirige aussi les studios Pixar et devient membre du conseil d'administration de Disney lors du rachat en 2006 de Pixar par Disney. En 1986, il rachète la division Graphics Group de Lucasfilm, la transforme en Pixar Animation Studios et rencontre le succès commercial en 1995 avec Toy Story, un film dont il est le producteur exécutif. Début 1997, Apple, alors au bord de la faillite, rachète NeXT. Jeunesse et études Carrière Début Apple Computer NeXT Computer Pixar et Disney Démission
Culture d'entreprise Les Caractéristiques De L'entreprise Apple - Documents Gratuits - Chouette06 Nom: Apple depuis le 1er Janvier 2007 Statut juridique: SA Date de création: 1976 Fondateur: Steve Jobs & Steve Wozniak Siège Sociale: Californie Ressource: --> Financière: CA = 19315 millions de dollars --> Humaine: 17787 employés dans le monde Envergure: Internationale ( 170 magasins dans le monde) Objectif: Produire & Vendre des ordinateurs & depuis 2001 produire & vendre des produit annexe comme l'IPOD Tous les aspects relationnels sont fondés sur la peur de la sanction et la récompense du travail s’il est bien fait. Guerrino De Luca. « Steve nous poussait jusqu’au bout pour que nous produisions les meilleures idées » ou encore il lui disait : « Quand tu vois quelque chose de bien, ta première réaction, même si c’est bien, c’est de dire que ce n’est pas bien.»
Le Real Madrid plus riche et moins endetté - Espagne Football - Espagne Vendredi 16 septembre 2011 - 19:55 Le Real Madrid va bien financièrement, merci pour lui. Le club espagnol a en effet divulgué son bilan comptable 2010/2011 via son site officiel et tous les chiffres sont au beau fixe. Augmentation des produits d’exploitation de 8,6%, réduction de la dette de 30%... de quoi faire rêver plus d’un chef d’Etat. En pleine période de crise européenne où les politiques d'austérité sont le crédo favori de tous les Chefs d'Etat du Vieux Continent, où la récession, l'inflation, et la crise boursière sont le pain quotidien d'une population qui compte de plus en plus ses deniers, les clubs de football se portent du moins les gros comme un charme. La Casa Blanca affiche en effet un chiffre d'affaires en progression pour la saison 2010-2011 de 8,6% par rapport à l'exercice précédent, pour un total de 480,2 millions d'euros et ce, sans compter la vente des joueurs. Julien Froment Achetez ce produit Real Madrid sur sport-kiff.com
La culture d'entreprise 1 - Historique de la notion 1.1 Une notion récente... La notion de « culture d’entreprise » s’est développée tardivement en France car trop longtemps, les dirigeants ont cru de leur devoir de protéger le secret de leurs affaires et la connaissance du passé de leur firme leur paraissait dépourvue d’intérêt. Pour certains, la notion de culture d’entreprise remonterait au XIXe siècle avec l’idée très forte de pratiques paternalistes dans les entreprises. Parue tout d’abord en Angleterre, puis en Allemagne au début du XIXe siècle, c’est au XXe siècle que cette notion apparaît en France et plus précisément au cours des années 80 que cette expression s’est soudainement imposée sur les bases d’un culturalisme américain et japonais très développés. 1.2 ...née d’une profonde remise en cause Cet engouement soudain pour la culture d’entreprise a également trouvé ses origines dans l’ancienne culture « taylorienne ». 1.3 Une notion « stabilisée »... 1.4 ...mais « complexe et mouvante » Contradiction ?
Apple : la révolution Steve Jobs en cinq dates Si l’on veut se concentrer sur les cinq faits qui ont marqué l’Histoire d’Apple et finalement celle de la micro-informatique, il faut obligatoirement s’intéresser aux cinq générations de produits qui se sont toujours inscrites en rupture avec la concurrence de leur époque. 1. Avril 1977 : la naissance de la micro-informatique En avril 1977, Apple lance l’Apple II, ou la naissance de la ligne directrice de la microinformatique. L'Apple II, sorti en avril 1977. 2. 1984 : le MacIntosh, ou comment Steve Jobs impose la souris Apple Computer commercialise un ordinateur qui dispose d’un écran graphique et d’une souris, c’est une première mondiale. 3. 1985 – 1996 : Jobs quitte le navire, Apple au creux de la vague C’est la décennie des problèmes. 4. 1997/1998 : Steve Jobs revient, Apple redémarre En 1998, Steve Jobs reprend les rênes de son entreprise et lance deux révolutions majeures. Les différentes couleurs proposées par Apple pour l'iMac. 5. 9 janvier 2007 : la révolution iPhone
Le Real Madrid club le plus riche du monde, mais pour combien de temps encore ? Comme chaque année à la même période, le cabinet d’audit britannique Deloitte publie son étude sur les 30 clubs de foot les plus riches du monde. Et, comme chaque année depuis la saison 2003-2004, le Real Madrid trône tout en haut de ce classement. Le club madrilène a engrangé 577 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014-2015, devant le FC Barcelone (560,8 millions) et Manchester United (519,5 millions). 6,6 milliards d’euros C’est le montant du chiffre d’affaires global réalisé par les 20 clubs les plus riches du monde, soit 18,2 millions d’euros par jour, 12 600 par minute. Le nombre de clubs français dans le top 30. Le nombre de clubs n’évoluant pas dans un championnat du big 5 (championnats d’Allemagne, d’Angleterre, d’Espagne, de France et d’Italie). La part de ses revenus que le PSG tire de ses contrats commerciaux, soit 297 millions d’euros. Gilles DHERS
Pourquoi le Real Madrid est prêt à payer 100 millions d’euros pour Gareth Bale ? Ecofoot.fr > Stratégie > Pourquoi le Real Madrid est prêt à payer 100 millions d’euros pour Gareth Bale ? Stratégie Published on août 25th, 2013 | by Anthony Alyce EmailShare Alors qu’au moment où nous bouclons ces lignes, le transfert de Gareth Bale n’est pas encore finalisé ; il ne s’agit plus que d’une question d’heures pour que celui-ci soit bouclé. Beaucoup d’experts estiment que la somme payée par le Real Madrid est trop élevée. Les dirigeants du Real Madrid ont bon espoir de finaliser le transfert de Gareth Bale très rapidement. Au niveau du montant, la négociation reste relativement secrète. La somme est-elle démesurée pour Gareth Bale ? Le président de Tottenham, Daniel Levy, poursuit les négociations. Si le montant déchaine les passions dans l’univers du ballon rond, il semble faire l’unanimité du côté du Real Madrid. Si le montant excède 94 millions d’euros, Gareth Bale deviendrait le plus gros transfert de la planète football devant… Cristiano Ronaldo. Google Plus
Real Madrid Le Real Madrid serait sur le point de signer un contrat historique avec la marque adidas – @DR La course au maillot le plus cher, lancée par Manchester United pourrait voir un nouveau chapitre nourrir l’histoire d’adidas. L’équipementier allemand, selon la presse ibérique, serait en mesure d’offrir au Real Madrid le maillot le plus cher du monde et de l’histoire. Un accord d’une décennie, d’un total de 1,4 milliards d’euros, soit 140 millions d’euros par an (primes comprises, naturellement) et débutant dès Juin 2016 serait proche de se conclure. Le contrat actuel entre Adidas et le Real Madrid n’est « que » de 40 millions d’euros par an et il expire en 2019. Premier volet : signer des stars avec l’équipementier Hormis l’exception Cristiano Ronaldo, l’ensemble des joueurs cadres du Real Madrid est sous contrat avec la marque aux trois bandes. Second volet : accélérer le mouvement avec son rival numéro 1 Le principal problème du Real Madrid est le timing. Pour aller plus loin
Le Real Madrid affiche un excellent bilan financier Ecofoot.fr > Economie > Le Real Madrid affiche un excellent bilan financier Economie Published on septembre 27th, 2015 | by Anthony Alyce EmailShare La direction du Real Madrid a validé la semaine dernière son bilan financier concernant l’exercice 2014-15. Il semble loin le temps où les grands clubs européens étaient réticents à laisser partir leurs joueurs au Real Madrid en raison de sa situation financière inquiétante et de son manque de garanties bancaires. Depuis, la situation a bien changé et la gestion financière du Real Madrid est désormais présentée comme un modèle de développement économique dans les plus grandes universités au monde. Le dernier bilan financier présenté par le Real Madrid ne peut que donner raison aux spécialistes érigeant le club madrilène comme modèle à suivre. Pour atteindre un tel résultat positif, le Real Madrid s’appuie sur une croissance continue de ses différentes sources de revenus, et notamment des recettes commerciales. Rating: 0.0/10 (0 votes cast)
Le Real Madrid développe ses recettes commerciales Ecofoot.fr > Economie > Le Real Madrid développe ses recettes commerciales Economie Published on novembre 23rd, 2014 | by Anthony Alyce EmailShare Quelques jours après avoir conclu un accord avec la société pétrolière émiratie IPIC, le Real Madrid vient d’officialiser un partenariat stratégique avec la firme américaine Microsoft. Le 19 novembre dernier, le président du Real Madrid Florentino Perez a annoncé la conclusion d’un partenariat stratégique avec la firme américaine Microsoft. A travers cet accord, la direction du Real Madrid compte sur l’expertise de la firme américaine pour développer de nouveaux outils technologiques visant à optimiser les performances sportives du club et à améliorer l’expérience des fans par le biais de nouveaux dispositifs digitaux. Si Microsoft doit apporter son expérience technologique auprès du club Merengue, l’accord comporte également un volet sponsoring classique avec échange financier. Rating: 0.0/10 (0 votes cast) Tags: Real Madrid