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Site archéologique de Leptis Magna

Site archéologique de Leptis Magna
Archaeological Site of Leptis Magna Leptis Magna was enlarged and embellished by Septimius Severus, who was born there and later became emperor. It was one of the most beautiful cities of the Roman Empire, with its imposing public monuments, harbour, market-place, storehouses, shops and residential districts. La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 Site archéologique de Leptis Magna Embellie et agrandie par Septime Sévère, enfant du pays devenu empereur, Leptis Magna était l'une des plus belles villes de l'Empire romain, avec ses grands monuments publics, son port artificiel, son marché, ses entrepôts, ses ateliers et ses quartiers d'habitation. موقع لبدة الأثري (لبتس ماغنا) (لبدة الكبرى ) كانت لبدة إحدى أجمل حاضرات الامبراطورية الرومانية بعد أن جمّلها وكبّرها "سيبتيموس سيفيروس" ابن البلاد الذي أصبح امبراطورًا، وذلك بنصبها العامة الكبيرة، ومرفئها الاصطناعي، وسوقها، ومخازنها، ومحترفاتها وأحيائها السكنية. 莱波蒂斯考古遗址 莱波蒂斯是由塞普蒂斯乌斯·塞韦罗扩建并设计装饰的。 Sitio arqueológico de Leptis Magna

sans titre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Memphis. La ville occupe une place stratégique à l’entrée du delta du Nil et de ce fait regorge d’ateliers et de manufactures, notamment d’armes qui étaient conservées dans de grands arsenaux non loin du port principal de la ville, le Perou Nefer, dont les textes du Nouvel Empire vantent l’activité fébrile. Son histoire est étroitement liée à celle du pays et sa ruine est due, d’abord, à la perte de son rôle économique à la fin de l’Antiquité et la montée d’Alexandrie, puis à l’abandon de ses cultes à la suite de l’édit de Thessalonique. Memphis a eu plusieurs noms au cours de son histoire de près de quatre millénaires. Par la suite et en raison de son étendue, la cité est aussi nommée sous divers noms qui sont en réalité les dénominations de ses quartiers ou de ses districts ayant eu à un moment donné une importance certaine. Vue de la nécropole de Saqqarah depuis le palais de Memphis

Site archéologique de Volubilis Archaeological Site of Volubilis The Mauritanian capital, founded in the 3rd century B.C., became an important outpost of the Roman Empire and was graced with many fine buildings. Extensive remains of these survive in the archaeological site, located in a fertile agricultural area. Volubilis was later briefly to become the capital of Idris I, founder of the Idrisid dynasty, who is buried at nearby Moulay Idris. La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 Site archéologique de Volubilis La capitale de la Maurétanie, fondée au IIIe siècle av. موقع وليلي الاثري تأسَّست العاصمة الموريسكية في القرن الثالث ق.م. source: UNESCO/ERI La description est disponible sous licence CC-BY-SA IGO 3.0 瓦卢比利斯考古遗址 古城建于公元前3世纪,曾是北非古国毛里塔尼亚的首都,是罗马帝国的一个重要前哨,有着许多优雅精致的建筑物。 Археологические памятники Волюбилиса Волюбилис - столица Мавритании, основанная в III в. до н. э., - стал важным форпостом Римской империи и был украшен многими прекрасными зданиями. Sitio arqueológico de Volubilis ヴォルビリスの古代遺跡 source: NFUAJ

Machu Picchu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Machu Picchu (du quechua machu : vieille, et pikchu : montagne, sommet)[note 1] est une ancienne cité inca du XVe siècle au Pérou, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Pikchu ou Picho[1]. Selon des documents du XVIe siècle, trouvés par l'archéologue italien Lucas Pittavino, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacútec. Cependant, quelques-unes des plus grandes constructions et le caractère cérémonial de la principale voie d’accès au llaqta démontreraient que le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux[2]. Abandonnée lors de l’effondrement de l'empire inca, Machu Picchu, la ville sacrée oubliée durant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca. Localisation[modifier | modifier le code] Situation des ruines de Machu Picchu, dans le Cañón del Urubamba

Chichén Itzá Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La présence d'une cité maya à cet endroit est due à la présence de deux puits naturels (cénotes) qui constituaient un trésor inestimable dans cette région dépourvue d'eau. Le site doit d'ailleurs son nom à cette source d'eau souterraine : Chi signifie « bouche » et Chén, « puits »[2]. À plus d'un égard Chichen Itzá demeure une énigme : sa chronologie, à cheval sur le Classique terminal et le Postclassique ancien, demeure floue ; l'identité des Itzá est incertaine et, surtout, la nature exacte des liens indéniables entre la cité maya et le Mexique central fait toujours l'objet de débats. Histoire[modifier | modifier le code] Époque préhispanique[modifier | modifier le code] Les premières traces d'occupation et de construction, à Chichén Itzá, ont été datées des VIIIe ou IXe siècle[3]. Époque classique[modifier | modifier le code] La plus ancienne date en écriture maya découverte à Chichén Itzá équivaut à l'an 832[6]. Cénote Sacré.

Babylone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu'elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l'ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. Son site, dont l'emplacement n'a jamais été oublié, n'a fait l'objet de fouilles importantes qu'au début du XXe siècle sous la direction de l'archéologue allemand Robert Koldewey, qui a exhumé ses monuments principaux. Depuis, l'importante documentation archéologique et épigraphique mise au jour dans la ville, complétée par des informations provenant d'autres sites antiques ayant eu un rapport avec Babylone, a permis de donner une représentation plus précise de l'ancienne ville, au-delà des mythes. La redécouverte de Babylone[modifier | modifier le code] Avant 539 av.

Site de Palmyre Valeur universelle exceptionnelle Brève synthèse Oasis du désert de Syrie au nord-est de Damas, Palmyre abrite les ruines monumentales d'une grande ville qui fut l'un des plus importants foyers culturels du monde antique. Au carrefour de plusieurs civilisations, l'art et l'architecture de Palmyre allièrent aux Ier et IIe siècles les techniques gréco-romaines aux traditions locales et aux influences de la Perse. Mentionnée pour la première fois dans les archives de Mari au IIe millénaire av. J. La découverte des ruines de la cité par des voyageurs aux XVIIe et XVIIIe siècles a influencé par la suite les styles d'architecture. Critère (i) : La splendeur des ruines de Palmyre qui se dressent dans le désert syrien au nord-est de Damas témoigne de la réalisation esthétique unique d'une oasis caravanière prospère, tour à tour indépendante et soumise à Rome du Ier au IIIe siècle. Intégrité(2009) Authenticité (2009) La grandeur et la splendeur des éléments essentiels est bien mise en valeur.

Pétra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Petra. Pétra (de πέτρα petra, « rocher » en grec ancien ; البتراء Al-Butrāʾ en arabe), de son nom sémitique[1] Reqem ou Raqmu (« la Bariolée »)[2],[3], est une cité nabatéenne pré-islamique de l'actuelle Jordanie située dans le Wadi Rum. Les nombreux bâtiments, dont les façades monumentales sont directement taillées dans la roche, en font un ensemble monumental et unique qui, depuis le 6 décembre 1985, est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La zone autour du site est également, depuis 1993, un parc national archéologique. Géographie[modifier | modifier le code] Carte de la région Pétra est située à mi-chemin entre le golfe d'Aqaba et la mer Morte à une altitude de 800 à 1 396 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans un fond de vallée de la région montagneuse d'Édom, à l'est de la vallée de l'Arabah. Plan détaillé de la ville[modifier | modifier le code] Géologie[modifier | modifier le code]

sans titre Pétra, le site le plus magique du Proche-Orient (élu parmi les nouvelles merveilles du monde par des millions d’internautes) est une double merveille, naturelle et architecturale. Naturelle d’abord, avec ses défilés, comme le Siq, et ses falaises de grés aux dessins colorés. Pétra tire son nom du grec « pierre » ou « roche », mais son premier nom était « Reqmu » qui signifie multicolore. Ces deux noms correspondent bien à la particularité de Petra où les grés des roches déchiquetées, façonnés par le vent et le sable, donnent au site son extraordinaire palette de couleurs qui s’étend du jaune au violet en passant par l’orange, le rouge, le vert et le bleu. Architecturale ensuite, avec ses vestiges romains, mais surtout avec ses imposants tombeaux, creusés puis sculptés dans la roche des montagnes par les nabatéens. Ce lieu magique a inspiré la littérature, dont Hergé dans une des aventures de Tintin (Coke en Stock), et le cinéma (Spielberg et La dernière Croisade).

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