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Identité numérique : de l’anonymat au personal branding

Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Communiquer sur les médias sociaux c’est parler de moi Animer ses médias sociaux c’est avant tout répondre aux attentes de son public. Related:  E-réputation & personal branding

Sept cas d'usage des outils d'e-réputation 01net le 30/04/12 à 15h35 Les logiciels d’e-réputation se multiplient à la vitesse grand V sur le marché. Globalement, tous servent le même dessein : mesurer l’image dans le temps – véhiculée dans la presse, sur le web, sur les forums et, de plus en plus, sur les réseaux sociaux – d’une entreprise, d’un produit ou d’une personne. Retour sur sept cas d’application. 1) Détecter les leaders d’opinion L’analyse des commentaires des consommateurs est sûrement le volet de l’e-réputation le plus connu. Pour autant, « la plupart des projets d’e-réputation visant à cerner le comportement et les avis des consommateurs restent encore séparés du monde de la relation client. 2) Mesurer la tendance d’un écosystème Historiquement, les entreprises recourent aux études de marché pour déceler les goûts des consommateurs. Thermomètre qui peut également être un plus pour tester la réaction de l’opinion publique face, par exemple, à un projet d’implantation d’une usine ou d’un magasin. 4) Anticiper et alerter

LOPPSI 2 : le nouveau délit d'usurpation d'identité Nous avons récemment évoqué la promulgation de la LOPPSI 2 (notre actualité du 22 mars dernier) et souligné les tendances liberticides de ce texte. Cependant, ce texte crée une disposition protectrice du citoyen qui manquait dans notre droit : l'usurpation d'identité et sa sanction pénale. Création du nouveau délit d'usurpation d'identité La loi crée en effet un nouvel article dans le code pénal, au chapitre "Des atteintes à la personnalité", Section 1 "De l'atteinte à la vie privée" : Article 226-4-1 : "Le fait d'usurper l'identité d'un tiers ou de faire usage d'une ou plusieurs données de toute nature permettant de l'identifier en vue de troubler sa tranquillité ou celle d'autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende. Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu'elle est commise sur un réseau de communication au public en ligne." Un dispositif pénal utile et très attendu Un article sur le site de la CNIL

E-réputation – anonymisation ou non : un paradoxe médiatique Nous avions déjà évoqué cette question voici un an (notre actualité du 2 novembre 2011), mais nous continuons à penser qu’il existe une certaine schizophrénie sur Internet, qui rejaillit gravement sur l'e-réputation des personnes (également nommée web-réputation, cyber-réputation ou encore réputation numérique). Les deux faces de l’information L’information réglementée pour protéger le citoyen D’une part, nous disposons de la recommandation de la CNIL, en date du 22 novembre 2001, en matière de publication des décisions de justice sur Internet, invitant à anonymiser celles-ci. Cette recommandation n’est pas destinée uniquement à Légifrance comme on le lit parfois, pas plus qu’elle n’est destinée à masquer partout les noms des parties. La portée de la recommandation de la CNIL s’étend donc très logiquement à tout l’Internet et rien qu’à l’Internet. La loi Informatique, fichiers et libertés applicable sur Internet La puissance de traitement des moteurs de recherche Un hiatus incompréhensible

La mauvaise e-Réputation Et si, au lieu de tanner les internautes de discours parano sur Facebook, nous reconnaissions que la vie mise en scène sur les réseaux sociaux n'est plus privée et que chacun a droit à sa part d'insouciance numérique ? Cela fait maintenant plusieurs années qu’on nous assène de discours moralisateurs avec ces concepts, à coup de billets de blogs, de conférences, d’ouvrages, de cours… On nous dit de faire attention aux traces qu’on laisse. On nous met en garde. On nous prévient des conséquences à long terme des photos ou tweets que l’on publie aujourd’hui. Personal branding ou obsession narcissique ? Certes, travailler sur sa marque personnelle (personal branding) est important lorsqu’on recherche un emploi, des opportunités professionnelles ou personnelles. Mais quand cette attention de soi devient chronique, cela ne génère t-il pas une forme de narcissisme ? Ah bon ? Facebook : un théâtre ou chacun choisit de jouer son rôle Non, puisque je fais la démarche de rendre ma vie publique.

L'usurpation d'identité en questions Si cette fonctionnalité n’est pas encore disponible auprès des 26 millions d’utilisateurs français (Chiffres officiels de Facebook datant du mois d’aout 2013), la CNIL vous informe des principaux changements en matière de vie privée et des conséquences éventuelles sur les comptes des utilisateurs de Facebook. Menez le test pour savoir si votre profil est concerné Si vous souhaitez savoir si ce nouvel outil met en avant des informations que vous ne voulez pas voir apparaitre, rendez vous sur votre profil Facebook. Cliquez sur l’onglet , puis « compte » et enfin, sélectionnez la langue « English US ». Il ne vous reste plus qu’à effectuer des requêtes type pour savoir quelles informations peuvent être remontées par cet outil de recherche. Méthodologie : un test à réaliser en binôme Vous souhaitez davantage sécuriser votre compte ? Prochainement, la CNIL va publier un tutoriel vidéo pour vous aider à maitriser l’utilisation des paramètres de Facebook. La position de la CNIL

Internet: La protection de l'e-réputation, un marché en pleine expansion - News High-Tech: Web Internet Être calomnié ou insulté sur la Toile est de plus en plus courant. Ces attaques virtuelles laissent souvent les victimes démunies, mais la défense s'organise. Des sociétés spécialisées dans la protection de l'e-réputation fleurissent en Suisse. La diffamation sur les réseaux sociaux est de plus en plus courante.Image: Keystone Liens Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Taper son nom dans un moteur de recherches et se retrouver associé aux mots «escroc» ou «pute» est une mésaventure qui arrive régulièrement à des internautes ou même à des sociétés. Même s'il est toujours compliqué de protéger sa réputation sur la Toile, il existe en Suisse un arsenal juridique en la matière qui, lui, n'a rien de virtuel. «Les grandes plateformes ont une politique claire en la matière. Les lacunes du droit suisse Là où les choses se compliquent, c'est lorsque le serveur est à l'étranger. La mémoire perpétuelle d'internet pose un troisième problème. Un nouveau marché L'envers de la médaille

Personal Branding : on solde J’ai toujours été contre la position du personal branding d’une part car elle est dangereuse pour l’individu d’autre part car elle relève de l’escroquerie pure et simple bien souvent. Ceux qui y adhèrent sont surtout des consultants qui font du personal branding une démarche commerciale pour faire vivre leur entreprise. Evidemment, les critiques existent déjà. La position du blog personal branling est une excellente réponse à cette situation car nous sommes tous aux frontières du culte de l’égo. Le personal branding c’est travailler l’image renvoyée, une représentation parfois faussée qui s’éloigne de la vérité intrinsèque. Tout, tout, vous saurez tout sur le Klout Terrible est également ce titre symptomatique d’un livre sur le sujet : MOI 2.0… il recèle en peu de signes, le maximum de bêtise et de danger. La culture du Moi face à la culture du soi. Je ne rejette pour autant pas le fait qu’on a tous besoin d’être valorisé et d’obtenir de la reconnaissance.

L'usurpation d'identité numérique, bientôt un délit pénal... 01net. le 05/02/09 à 00h00 Une proposition de loi relative à la pénalisation de l'usurpation d'identité numérique a été soumise pour examen au Sénat, le 6 novembre 2008. Les sanctions prononcées seraient susceptibles d'être cumulées, sans possibilité de confusion, avec celles prononcées pour l'infraction à l'occasion de laquelle l'usurpation a été commise. Ce sont en effet les conséquences de l'usurpation d'identité qui sont sanctionnées et non l'usurpation didentité elle-même.

Bonjour. Oui effectivement c'est important. J'ai eu quelques mésaventures avec facebook. On se retrouve à étaler qlqchose de personnel qu'on avait pas du tout envie de publier. by bertrandlebert Oct 11

J'ai bien aimé ce site, car il explique beaucoup de vocabulaire en lien avec l'identité numérique (par exemple, anonymat, pseudonymat, etc.). Le fait d'expliquer les différents termes qui se retrouvent sur le net est très important et implique que les individus (enfants ou adultes) comprennent davantage la signification des différents mots et, par le fait même, le fonctionnement d'internet. De plus, j'ai bien aimé que ce site nous propose de"devenir acteur" au lieu d'être seulement "un spectateur", car il est vrai que, de nos jours, les personnes naviguent sur le web sans faire réellement attention à ce qu'ils font (téléchargement, inscriptions, etc.). On peut donc retrouver plusieurs astuces intéressants pour mieux nous familiariser avec le web. by rachelbeaulieu Oct 10

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