background preloader

Nos langues à l’heure du capitalisme linguistique

Nos langues à l’heure du capitalisme linguistique
Que transforme Google en analysant nos requêtes ? En intervenant directement sur nos mots, sur nos phrases et donc sur notre pensée ? A l’heure du capitalisme cognitif – c’est-à-dire, si l’on suit Yann Moulier-Boutang dans son livre éponyme, une économie qui exploite la connaissance -, Google domine déjà le marché des mots, explique Frédéric Kaplan, chercheur à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. Faire de chaque mot une marchandise Google a construit son succès puis sa richesse autour de deux algorithmes. Rappelons les principes simples de ce second algorithme qui permet de fixer la valeur de chaque mot. Ce jeu d’enchères a lieu des millions de fois par seconde, à chaque requête d’un utilisateur. Dans ces conditions, il est pertinent d’analyser les autres services que Google propose au travers de ce prisme. De l’économie de l’attention à l’économie de l’expression Le “Flash Crash” du 6 mai 2010 a fait prendre conscience de l’omniprésence des algorithmes dans la finance.

Jean Pierre Boutinet 38) 2000 Les temporalités modernes face à leur propre ambivalence , Angers, Séminaire IRFA Pour une lecture plurielle du temps, Impacts-L’Harmattan. 39) 2001a Jeunes et adultes face à leur orientation, entre compétences et déficits, quelle politique d’orientation promouvoir ? , Colloque Grandir et réussir de La Rochelle, Région Poitou-Charentes.Mai 2001. 40) 2001b Les enjeux des pédagogies par projet, 1er Colloque Pédagogies par projet dans l’Enseignement supérieur, Brest Juin 2001. 41) 2001c Nouvelles perspectives sur l’identité, 24ème Colloque international de la Psychologie scolaire et de l’éducation Psychologie et éducation pour le 21ème siècle, Dinan Juillet 2001. 42) 2001d L’éducation à l’orientation prise au jeu des nouvelles temporalités, Colloque international Eduquer en orientation : enjeux e perspectives, Paris CNAM / INETOP. 43) 2001e Les avatars du temps libre, Colloque de la Faculté de Théologie d’Angers sur Les défis du temps libre.

Le Web Sémantique en entreprise : comment et à quels niveaux ? Bien qu’elle ait été lancée par le W3C dés 1998, l’initiative du Web sémantique [1] reste encore aujourd’hui marginale face aux problématiques courantes du Web, comme par exemple la publication de contenu. Pourtant, le WS est déjà riche de nombreux langages et outils qui peuvent trouver leur place au sein de l’entreprise, et améliorer la manière dont celle-ci traite, organise et publie ses données. Web "sémantique" ? Le terme de web sémantique, rencontré de manière assez courante dans le domaine de l’informatique du Web, recouvre des concepts encore flous pour de nombreuses personnes. Pour comprendre ce qu’est le Web sémantique, il faut avant comprendre ce qu’est le Web "traditionnel", aujourd’hui : un espace universel d’échange d’informations, consultables par tout internaute. L’objectif du Web sémantique est, tout simplement, d’apporter la sémantique formelle nécessaire pour que des machines, elles aussi, puissent consulter et interprêter les informations présentées sur le Web. <! <!

Redocumentarisation de la société numérique [Chaînes éditoriales XML : théorie] La seconde révolution documentaire naît avec le numérique et les transformations sociétales de la seconde moitié du vingtième siècle, Pédauque adoptant le terme de postmoderne pour les qualifier (2006, p.3). Le document devenu numérique est fortement réinterrogé, dans sa nature intrinsèque ainsi que dans ses usages, le Web étant un avatar prégnant de son évolution. La première rupture fondamentale imposée par le numérique au document est la séparation entre la forme d'inscription, une ressource binaire sur un support d'enregistrement, et la forme de lecture, une manifestation sémiotique sur un dispositif de restitution, la seconde étant calculée à partir de la première par l'intermédiaire de l'exécution d'un programme. Ce qu'on lit n'est plus ce qui a été écrit. «Autrement dit, un document numérique n'a pas de mémoire.

Le blog de Marie-Anne Chabin Archiver, après ? Marie-Anne Chabin, Djakarta, 2007 Ce qui ce conçoit bien s’énonce clairementNicolas Boileau Jadis, et naguère encore, on ne parlait pas d’archiver. Autrefois, on disait les choses autrement : il était question de mettre aux archives, de classer aux archives, de verser aux archives et plus généralement de conserver les archives. On parle toujours de conserver les documents. Or le mot archivage, directement greffé sur le verbe archiver dont il désigne l’action (comme arrosage est le fait d’arroser, pilotage le fait de piloter ou encore espionnage le fait d’espionner) est d’un emploi relativement récent. L’excellent Manuel d’archivistique, publié en 1970, ignore le mot archivage ; on y parle d’entrée aux archives ou de versement[1]. Ce que dit la loi La loi française ne définit pas l’archivage. Ces dispositions législatives sont cependant à l’origine des opérations d’archivage, au service de la conservation, tant dans l’Administration que dans le secteur privé.

dessus:mediatisation_d_un_cours [forse] Mots-clés: formation en ligne, les multimédias, médiatisation,Scénario pédagogique , Scénario pédagogique . Historique du concept de la médiatisation D’après Peraya le concept de médiatisation s’est développé dans le domaine des sciences de la communication à l’occasion des premières analyses des mass médias, principalement la télévision, la presse écrite et la publicité, mais aussi avec leur utilisation en milieu scolaire.il s’agissait d’analyser certes, mais de produire aussi des contenus « véhiculés » par médias. On comprend dès lors mieux l’origine de la dénomination de communication médiatisée qui fait référence explicitement aux médias, entendus au sens ordinaire de moyens de communication de masse. Définition la médiatisation D'après le Dictionnaire des médias, la médiatisation est une action consistant à médiatiser. Le terme de médiatisation désigne le processus de création d'un dispositif dans lequel la scénarisation occupe une place importante. Médiatiser Médiatiser un cours

L’intelligence collective à petite échelle Qu’entend-on généralement par « intelligence collective » ? Pour le monde du web, la messe est dite : c’est le produit émergent de l’interaction entre plusieurs milliers, voire millions d’individus, certains ne partageant avec les autres qu’une quantité minimale de leur réflexion (c’est la théorie du surplus cognitif chère à Clay Shirky, comme il l’a développe dans on livre éponyme ou chez TED). Et bien entendu, c’est le web lui-même qui est le média de choix de cette intelligence collective. Cette définition repose sur certains postulats, pas toujours explicites : Plus on est de fous, plus on rit. Pourtant, il existe une autre approche de l’intelligence collective, bien plus ancienne que le net ou le web : la « fusion » entre quelques esprits, le plus souvent seulement deux, pouvant aboutir à une explosion inattendue de créativité. La dynamique d’un couple créatif La nature du leadership au sein de ces couples est également difficile à déterminer.

Avec un marché en forte croissance, bon nombre d’entreprises devraient être confrontées au choix puis à l’implémentation de leur plateforme. Pour réussir ce processus important dans l’établissement d’une stratégie e-learning, plusieurs étapes seront nécessaires. 1. Réfléchir aux enjeux de formation On l’a dit, la mise en place d’une plateforme LMS est un grand chantier qui s’inscrit dans une stratégie e-learning bien définie. « Les plateformes sont là pour servir les business », rappelle très clairement Élodie Primo, cofondatrice de MindOnSite. 2. « Il est important d’avancer pas à pas, de penser son projet en étapes successives, d’avoir la modestie de penser qu’on va apprendre à chaque étape du projet et que cela aura une influence sur la manière d’aborder les étapes suivantes », déclare Sébastien Fraysse, consultant e-learning. La réussite du projet devra obligatoirement passer par la satisfaction des utilisateurs. 4.

La Vidéo : vers la démocratisation du E-Learning Dans un post précédent, nous vous avions présenté le projet e-learning développée par Harvard : une plateforme en ligne entièrement gratuite, proposant des cours réalisés par des professeurs. Baptisée edX, elle est accessible à tous et connait déjà un fort engouement. Stanford avait déjà il y a quelques temps, elle aussi ,expérimenté le e-learning en mettant en ligne plus de 200 cours gratuits sur son portail Coursera, disponible dans plus de 33 universités ( Columbia, Princeton, Melbourne …). Ces deux projets soutiennent et favorisent la diversité des supports ( caractéristique essentielle du e-learning ) : mise en ligne de séries de vidéos (sous-titrées en plusieurs langues), quiz, forums de discussion, wikipages réalisés par les étudiants eux-mêmes ou encore des communautés d’étudiants qui peuvent créer, à leur propre initiative, des « meetup » pour se réunir et échanger sur des thématiques en face-à-face.

Ampoule de luminothérapie plein spectre Biovital Petite définition Vous entendez souvent parler des ampoules lumière du jour, de lampes lumière du jour et, en parallèle, de luminothérapie. Vous pouvez vous demander quelle est la différence entre une ampoule lumière du jour, une lampe de luminothérapie ou une ampoule classique. Voici ici un petit « éclairage » sur ce que sont les ampoules lumière du jour et ce qu?elles peuvent vous apporter. Les principes de la luminothérapie La luminothérapie est un moyen de faire le plein d'énergie, de recharger ses batteries, reprendre des forces, lorsque les jours s'assombrissent.

Related: