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Post-scarcity economy

Post-scarcity economy
This would require a sophisticated system of resource recycling, in conjunction with advanced productive technology that enables conditions of material abundance, such as automated systems capable of converting raw materials into finished goods[not verified in body], which in turn enable the free distribution[2] of most or all economic output and the common ownership of the means of production used therefor. The scarcity model[edit] Scarcity is the fundamental economic assumption of having seemingly unlimited human needs and wants in a world of limited resources. Society has insufficient productive resources to fulfill all human wants and needs. Alternatively, scarcity implies that not all of society's goals can be pursued at the same time; trade-offs are made of one good against others. As such, the term "post-scarcity economics" may be somewhat paradoxical. However, in classical Marxian economics, scarcity is said to be peripheral. Post-scarcity economics[edit] Means[edit] Effects[edit]

Consommateur La théorie classique du consommateur : un être passif Traditionnellement, l'analyse économique traite le consommateur comme un agent final. C'est un individu qui gagne un certain revenu, est doté d'un certain nombre de besoins ou de désirs qu'il essaie de satisfaire en achetant sur le marché un certain nombre de biens et de services, dans la limite du pouvoir d'achat qui est le sien. Bien que, conformément au postulat de départ de toute la théorie économique, ce soit un être rationnel, calculateur et maximisateur, son rôle est très passif. Il se contente d'agencer son « panier » (basket) d'achats en fonction de l'intensité de ses besoins, entre lesquels il effectue une série d'arbitrages compte tenu, d'une part, des sommes d'argent dont il dispose ; d'autre part, des prix qu'il doit payer pour obtenir les biens et services qui satisferont ses désirs. Moyennant quoi, la théorie économique prend les besoins et les désirs comme des données exogènes. Un élément fondamental : le temps

Jalousie sociale La jalousie sociale est un sentiment d'envie ou de haine à l'égard du bonheur matériel d'autrui[1]. Ce désir de posséder le bien d’autrui conduit à divers crimes et délits ; en politique, il motive les théories collectivistes et antilibérales, qui tendent à l'égalitarisme sous le paravent de la "justice sociale". Humaine, trop humaine La jalousie semble être un sentiment profondément ancré en l'homme. Le « jeu de l'ultimatum »[2], bien connu en sociologie, montre que la plupart des gens préfèrent renoncer à un gain plutôt que d'accepter que leurs semblables gagnent davantage qu'eux, ce qu'ils jugent « injuste ». Ceux qui sont révoltés par la richesse de certains (sentiment humainement compréhensible) devraient se poser la seule question qui compte : quelle est l'origine de cette richesse ? Religion et philosophie Pour Aristote l'envie (φθόνος) est "la douleur causée par la bonne fortune d'autrui"[3]. Droit Exemples Notes et références Citations Bibliographie Voir aussi Liens externes

Croissance économique En macroéconomie la notion de croissance économique désigne une augmentation continue de la quantité et de la qualité des biens et des services produits chaque année dans un pays ou zone géographique, liée à l'augmentation de la productivité du travail et du capital. Définition de la croissance économique L'indicateur le plus utilisé pour mesurer le taux de croissance et la somme des valeurs ajoutées est le PIB (Produit intérieur brut). Jacques Garello et Jean-Yves Naudet, en 1991, en précisent la définition : « La croissance économique se caractérise par une augmentation durable de la production et des principales grandeurs économiques – comme le Produit Intérieur Brut (PIB). » En général la croissance économique est définie en termes de grandeur synthétique mesurant le résultat de l'activité économique, un état final mettant en rapport des périodes données, mesurées statistiquement par des taux de variation en termes de volume. La « croissance du PIB » mesure du progrès économique ? Annexes

Chômage Le chômage désigne la situation du chômeur, personne "active" (valide et en âge de travailler) recherchant un emploi sans succès. Le chômage est un des modes de régulation du capitalisme, au même titre que la faillite. Dans un cadre libéral, les entreprises performantes embauchent, celles qui ont des difficultés débauchent. Et, globalement, l'économie s'adapte à la réalité sociale, régie par la demande. L'existence du chômage induit l'existence de la Politique de l'emploi. Les causes du chômage sont nombreuses : L’État crée le chômage Le chômage que les libéraux condamnent est le chômage institutionnel, qui a des causes politiques : En 2010, Christopher Pissarides, Peter Diamond et Dale Mortensen obtiennent le Prix Nobel d'économie, pour avoir démontré que « plus les allocations chômage sont importantes, plus le taux de chômage est élevé et la durée de recherche [d'emploi] est longue ». Erreur courante « Ce sont les entreprises qui créent le chômage en licenciant. » L'exemple de la Suisse

Théorie du déversement La théorie du déversement d'Alfred Sauvy[1] s'oppose à l'idée que le progrès technique nuise à la croissance et à l'emploi. Ce cliché est fortement ancré dans l'esprit de nombreuses personnes. Les machines détruiraient les emplois, disent-elles. Alfred Sauvy, économiste et sociologue français (inventeur de l'expression Tiers-Monde en comparaison du modèle social pré-révolutionnaire français du Tiers-État) montra que le progrès technique a des effets positifs sur la croissance et l'emploi à long terme. L'innovation technologique engendre des gains de productivité qui se traduisent par des hausses de salaires ou des baisses de prix. Les entreprises doivent donc embaucher pour s'ajuster à la croissance de la nouvelle demande. Alfred Sauvy et Jean Fourastié considèrent en commun que l'analyse classique se trompe. « Ce n’est pas l’accumulation du capital et de l’épargne qui est le facteur déterminant des transformations de la société, mais le taux de progrès technique »[2]. Voir aussi

Matérialisme Le matérialisme est une conception philosophique qui attribue à la matière la base de tous les phénomènes de la réalité, sa substance première : toutes les propriétés des choses sont formées de matière, tout phénomène peut s'expliquer comme le résultat d'interactions matérielles. Le matérialisme est donc un monisme ontologique. Il s'oppose au spiritualisme, qui peut être dualiste ou moniste. On l'oppose souvent aussi à l'idéalisme, pour lequel aucune réalité connaissable n'est extérieure à l'esprit humain. Définition Critiques du matérialisme L’erreur du matérialisme, du point de vue idéaliste (Berkeley, Kant, Schopenhauer), est de prêter une réalité absolue à ce qui n’est qu’une donnée des sens et une représentation dans notre esprit : ce « réalisme naïf » est certes utile pour l’investigation scientifique mais il ne peut prétendre investir avantageusement le champ métaphysique ou religieux (d'autant plus qu'il part lui-même d'une hypothèse métaphysique). Les sophismes matérialistes

Créer de la valeur grâce à l’information C’est un fait, nous vivons aujourd’hui dans une ère de la surinformation et de la désinformation. Ces tendances se retrouvent aussi dans l’environnement des entreprises, mais ces dernières disposent d’un arsenal d’outils qui facilitent la collecte, le traitement, l’analyse et la diffusion de l’information pour la transformer en valeur. Encore faut-il utiliser le bon outil, avoir la bonne organisation et adopter les bonnes méthodes. Les approches diffèrent en fonction des objectifs. Tour d’horizon. Au grand dam des médias traditionnels, les blogs puis les réseaux sociaux ont permis aux individus de devenir des médias à part entière. Nous allons aborder ci-dessous les différentes approches et les outils associés pour transformer l’information en valeur pour l’entreprise. 1. Les réseaux sociaux et plus largement le web public constituent une formidable source d’informations et de données. Quels outils ? 2. Brandwatch - Facelift - Falcon.io (Cision) - Meltwater - Sprinklr - Sysomos 3.

Oliver Williamson Oliver Williamson en 2009. Il reçoit avec Elinor Ostrom le prix dit Nobel d'économie le 12 octobre 2009 « pour leurs travaux sur la gouvernance économique »[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Oliver Williamson reçut son Bachelor of Science de la MIT Sloan School of Management en 1955, son MBA de l'université Stanford en 1960 et son Ph.D. de l'université Carnegie-Mellon en 1963. L'éditeur et les coéditeurs du The Journal of Law, Economics, & Organization attribuent un prix à un auteur d'un article considéré comme le plus original et le plus novateur accepté pour publication l'année précédant de l'octroi dudit prix. Famille[modifier | modifier le code] Oliver Williamson est marié et a eu cinq enfants. La théorie des coûts de transaction (TCT)[modifier | modifier le code] Le concept de coûts de transaction apparaît pour la première fois en 1937 dans l'article de Ronald Coase, « The Nature of the Firm ». Publications[modifier | modifier le code] Ouvrages[modifier | modifier le code]

C'est la taille qui compte - A man in the arena Le grand classique dans les films de science-fiction/horreur, c’est de prendre un animal « ordinaire » – lézard, araignée, scorpion, singe – et de le transformer en monstre géant. En général après une expérience scientifique qui a mal tourné. Et en général autour de NYC, parce qu’ils ont du goût les monstres quand même. Godzilla est l’exemple le plus connu. Avant de creuser les implications de la théorie de Galilée, un petit rappel mathématique s’impose. Pourquoi une souris n’a pas la taille d’un éléphant ? Le poids d’un animal est proportionnel au cube de sa longueur, tandis que la force de ses membres porteurs est proportionnelle au carré de cette même longueur. En pratique, ça donne quoi ? Comparons deux animaux de formes identiques. Poids de l’animal A = 3^3 = 27Poids de l’animal B = 6^6 = 216 L’animal B pèse donc 8 fois plus que l’animal A, alors qu’il n’est que 2 fois plus grand (on notera au passage que 2^3 = 8). Calculons maintenant la puissance de leurs membres porteurs :

Daniel Pink - La vérité sur ce qui nous motive Pensez-vous que quelqu’un s’est déjà demandé comment motiver les contributeurs sur Wikipédia ? La conception traditionnelle du management est dépassée : elle suppose que les salariés ont besoin d’un stimulant sous forme de récompense ou de punition pour avancer et qu’ils ont besoin d’être guidés sans quoi ils seraient perdus. Sommes-nous des glandeurs en puissance n’attendant que le regard d’un supérieur pour s’agiter ? Voici pourquoi le management est mort ! La vérite sur ce qui nous motive est la traduction de Drive, un Bestseller de Daniel Pink qui est aussi l’auteur de l’excellent “A whole new mind”, merveilleusement traduit par L’homme aux deux cerveaux. L’objectif de ce livre est de répondre à une question simple : qu’est-ce qui nous motive ? La vision habituelle que l’on se fait de la motivation pourrait se résumer à : “plus on est payé, plus l’on travaille dur“. Les carences de notre système de récompense et de punitions Revoir notre système d’exploitation est capital. Conclusion

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