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Visiter et comprendre le Struthof

Visiter et comprendre le Struthof
Bienvenue sur le site Internet « Visiter et comprendre le Struthof », fruit d'un partenariat entre le Centre européen du résistant déporté-STRUTHOF et le Centre régional de documentation pédagogique - CRDP d'Alsace. Cette coopération s'inscrit dans le cadre plus large de la convention signée entre les ministères de la défense et de l'éducation nationale. Vue de l'ancien camp de Natzweiler - Lieu dit "Le Struthof" fin 1943 /struthof/wp-content/uploads/slideshow-gallery/diapo-1.jpg Le 21 avril 1941 au lieu dit "le Struthof", les nazis ouvrent un camp de concentration, le KL-Natzweiler. Le camp central, seul camp de concentration sur le territoire français est situé en qui était alors l'Alsace annexée. Les déportés - Dessin de Rudolf Naess, déporté du KL-Natzweiler © Nasjonalbiblioteket, Oslo /struthof/wp-content/uploads/slideshow-gallery/diapo-2.jpg Les déportés proviennent de toute l'Europe. CERD: Centre européen du résistant déporté

"Quatorze récits d'Auschwitz", la force du témoignage Troisième étape de cette série d'archives consacrée aux retours des camps. Quatorze survivants du camp d'Auschwitz livrent le récit de leur déportation. Ces voix, guidées par l’impérieuse nécessité de témoigner, retracent de manière saisissante une histoire aussi singulière que collective. "14 récits d'Auschwitz" Avant d'être diffusée sur France Culture en octobre 2002, cette série d'émissions a d'abord été conçue pour l'image. Entre 1991 et 1995, l'historienne Annette Wievorka a recueilli la parole d'environ cent-trente survivants des camps de concentration dans un dispositif sobre : un seul entretien filmé en studio avec une caméra presque fixe, sans effets. Survivants du nazisme, ils acceptent de se confronter à l'innommable mémoire et disent publiquement, parfois pour la première fois, leurs souvenirs de déportation du camp d'Auschwitz. 1ère émission : Henri Borlant, Marcel Jabelot, Ida Grinspan Écouter 14 récits d'Auschwitz - 1ère émission (Surpris par la nuit du mardi 15.10.2002)

AJPN - anonymes, Justes et persécutés durant la période nazie dans les communes de France Auschwitz-Birkenau Virtual Tour - Auschwitz-Birkenau - Wirtualne zwiedzanie Chronologie - La révolution française Loin de croire qu’il serait nécessaire de « tout » balayer pour bâtir à neuf, Rousseau au contraire ne cesse de montrer que la vie des corps politiques et des institutions repose sur les mœurs, sur la « loi, gravée dans le cœur des citoyens ». Quand un penseur est persuadé comme il l’est, que les relations sont indissolubles entre politique et éducation, il ne saurait prêcher révolution et guerre civile. Il y a plus : aucune philosophie politique n’est programmatique. Penser la nature du politique ne consiste pas à élaborer des propositions de changements. Or, la notion de contrat social, comme celle de volonté générale, ne désignent aucun phénomène réel, passé ou à venir ; rappelons qu’aucun penseur du « pacte social » à l’âge classique ne songe à une situation primitive qui aurait existé, mais tous cherchent à cerner les principes sur lesquels se fonde toute société politique. Cela signifie que la volonté générale est la volonté de chacun et non une fictive volonté collective.

STRUTHOF, l'ancien camp de concentration de Natzweiler en Alsace | déportés, déportation et résistance Quiz : La Première Guerre mondiale commence dans les Balkans - fran... Francetv.fr plus Histoire Niveau : moyen Jouer Ton meilleur score Les meilleurs scores de la communauté Mémorial de la Shoah Le 7 avril 1994 au matin, le génocide des Tutsi au Rwanda débutait à Kigali et allait faire en trois mois plus d'un millions de victimes. Cette date a depuis été désignée par l'ONU Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda et permet chaque année de se souvenir pour être capable de continuer à agir. En 1994, alors que la France commémorait le 50ème anniversaire des sombres épisodes de la Seconde guerre mondiale, comme la rafle des enfants d'Izieu le 6 avril 1944, et que le "plus jamais ça" résonnait dans tous les esprits, un nouveau génocide débutait au Rwanda. Tout ce qui est mort comme fait, est vivant comme enseignement écrivait Victor Hugo. Notre devoir de mémoire est plus que jamais au coeur du présent et de l'avenir. En savoir plus

BBC Radio 4 - I Have a Dream Les deux albums d'Auschwitz Chefs de projet Cyril Roy et Dominique Trimbur Chef de projet web Olivier Martzloff Un webdocumentaire écrit par Olivier Martzloff, Cyril Roy, David Tessier Conception Olivier Martzloff, Cyril Roy, Vianney Sicard, David Tessier Développement Olivier Martzloff, Vianney Sicard Création graphique David Tessier Sound Design David Tessier Infographie Aurélie Jaumouille Montage vidéo et encodage Bernard Taillat Analyses des photos Album d’Auschwitz : Marcello Pezzetti, Sabine Zeitoun (sauf photos 26 : Alexandre Bande) Sur les photographies présentées ici, des personnes ont pu être identifiées grâce aux chercheurs de l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. Album de Höcker : USHMM, traduction Peggy Frankston, Cyril Roy. Notices historiques et fiches pédagogiques Alexandre Bande, Gilles Gaudin, Emmanuelle Hamon, Danielle Simon Voix Hélène Archereau Interview Lili Jacob Les interviews de Lili (Jacob) Meier (1996) sont issues des archives de l’USC Shoah Foundation. Ce site respecte le droit d'auteur.

Histoire de l’aviation dans le Cantal - 1910-1945 - Jean-Baptiste Ledys Département rural, faiblement peuplé et surtout montagneux, le Cantal semblait peu propice à voir se développer l’aviation sur son territoire au cours du 20e siècle ; encore aujourd’hui, il ne compte que deux aérodromes, à Aurillac et à Saint Flour. Pourtant, Jean-Baptiste Ledys est parvenu à écrire l’un des meilleurs ouvrages d’histoire aéronautique locale que nous ayons lus ces dernières années. Au-delà d’un style littéraire agréable, cette réussite tient avant tout à la grande lucidité dont fait preuve l’auteur face à une trame historique réduite, sans tomber dans un pittoresque désuet que l’on rencontre malheureusement dans de trop nombreux ouvrages de ce type. Si l’ouvrage annonce par son titre se conclure en 1945, son auteur toutefois évoque brièvement la renaissance des ailes cantaliennes après cette date, jusqu’à l’ouverture d’une ligne régulière avec Paris en 1973 par la compagnie Air Rouergue. Pierre-François Mary 98 pages, 17 x 24 cm, broché Écrire à l’auteur-éditeur

[repère] 20 janvier 1942 - Mise au point de la «Solution finale»à Wannsee Dans une villa huppée des environs de Berlin, au bord du lac de Wannsee, le 20 janvier 1942, une poignée de dignitaires nazis planifient la « Solution finale », c’est-à-dire la déportation et l’annihilation des Juifs se trouvant dans les pays occupés par l’Allemagne. Un génocide en plusieurs étapes La « Solution finale » est la dernière étape du génocide des juifs d’Europe par les nazis. Les premières victimes sont des Juifs polonais. Décidés dès la fin 1941 à faire disparaître tous les Juifs d’Europe, les nazis ne peuvent néanmoins procéder de la même manière en Europe de l’Ouest. Les difficultés militaires en URSS à l’automne 1941 et l’entrée en guerre des États-Unis les poussent à précipiter la mise en œuvre de leur programme. Un tournant dans l’entreprise d’extermination Le 20 janvier 1942, se tient donc la « conférence de Wannsee ». Dès lors, le génocide s’accélère, prenant une tournure industrielle avec le recours massif au gaz.

Bilan du génocide [ressource] Même si la mortalité dans les camps de concentration de l'Allemagne nazie a été élevée, il convient d'emblée de bien distinguer les termes de camps de concentration et de camps d'extermination. Le terme de camp de concentration n'a pas été inventé par les nazis. Il a été utilisé dès le début du XXème siècle par les Britanniques, lors de la guerre des Boers qui les a opposés en Afrique du Sud aux descendants des colons néerlandais. Dans l'Allemagne hitlérienne, la fonction des camps de concentration était une fonction d'exclusion et de terreur. Ces camps étaient destinés à recevoir non seulement les adversaires des nazis, mais aussi tous les individus considérés comme dangereux pour le régime nazi. Les uns et les autres étaient arrêtés et amenés dans ces camps pour y être astreints au travail forcé. Chronologiquement, l'ouverture des camps de concentration a précédé celle des camps d'extermination. 1. 2. 1. 2. 3. Au total, 1 million de déportés sont morts dans ce camp. Le bilan de la Shoah

Plan du camp d'Auschwitz-Birkenau Soixante-dix ans après la libération du camp nazi, des chefs d'Etats et têtes couronnées se rassemblent ce mardi à Auschwitz (Pologne) autour des survivants de la Shoah. Outre le président français François Hollande, les présidents allemand Joachim Gauck et ukrainien Petro Porochenko, le secrétaire américain au Trésor Jack Lew, ainsi que les familles royales belge et néerlandaise assistent à la cérémonie. Aucun toutefois ne prend la parole, laissant place aux émouvants récits des rescapés. C'est lui qui, devant «le portail de la mort» d'Auschwitz II - Birkenau, a accueilli plus tôt le président français. «Un lieu maudit» Alors que les prises de paroles de ces «gardiens» s'enchaînent sous la grande tente dressée à l'entrée d'Auschwitz II - Birkenau, certains, au premier rang, retiennent leurs larmes. VIDEO. Le son du chofar, une corne utilisée dans les rituels israélites, retentit et des prières juives sont prononcées pour les défunts. VIDEO. 70 ans après, l'Europe se retrouve à Auschwitz

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