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Quand la Terre gronde

Quand la Terre gronde

Agressé sévèrement pour une troisième fois Un élève de 5e année s'est retrouvé à l'hôpital mardi dernier après s'être fait battre par deux autres élèves, et ce, en présence d'un professeur. Le garçon avait besoin d'utiliser Internet pour aller chercher des photos. Le professeur lui a permis de prendre l'accès Internet qui était déjà utilisé par deux autres élèves. «Il a reçu un bon coup de pied sur la jambe, il a perdu l'équilibre et est tombé. Un des garçons l'a retenu avec un genou sur sa gorge. Le garçon a été transporté à l'hôpital en ambulance où l'on a constaté qu'il n'y avait pas de complication. Un problème récurrent C'est la troisième fois depuis le début de l'année scolaire que ce garçon est victime de violentes agressions. Après cette deuxième agression, l'école a demandé au jeune garçon de limiter ses contacts avec les autres enfants. «À son arrivée à l'école il devait se présenter au secrétariat et attendre la première cloche pour aller en classe.

Apps et livres 03/06/15 15:50 Catégories: Multilingue |Livres-apps |Apps Zoom Editions, petite maison d’édition établie au Luxembourg, propose sur tablettes trois titres de la Collection P’tit Bili en français, anglais, allemand, italien, espagnol, et bien entendu luxembourgeois. Ilma n’est pas malade (6-8 ans) - Texte CALOUAN - illustrations NINIE C'est le jour de la visite médicale à l'école. Ilma a peur des piqûres et décide de se cacher. Toute la classe se met à sa recherche. > Lien iTunes - Prix : 3,99 € Pipite a disparu (6-8 ans) - Texte CALOUAN - illustrations C. Pierre déménage avec ses parents pour une maison plus grande avec un jardin. > Lien iTunes - Prix : 3,99 € Anne dans la ville (6-8 ans) - Textes et illustrations de Claudine FURLANO Anne passe le week-end à Lille, chez sa mamie. > Lien iTunes - Prix : 3,99 € Vidéo de présentation « Pipite a disparu » Tags: Langues |6-8 ans |Luxembourgeois

La tectonique des plaques Ces animations très bien faites vous permettront d’illustrer vos propos lors de vos séances sur la tectonique des plaques et l’étude des volcans. 5 thématiques sont abordées : l’âge des terrains, les zones de collision, la croûte océanique, les zones de subduction, la tectonique des plaques. Ces applications peuvent s’exécuter en ligne ou être téléchargées pour une utilisation sur un PC, sans nécessiter de connexion à Internet. Utilisation en ligne : Cliquez sur un lien ci-dessous Un nouvel onglet s’ouvre avec l’application Utilisation hors ligne : téléchargez le fichier .swf faites un clic droit sur le fichier choisissez « ouvrir avec » associez l’application avec le navigateur de votre choix (Chrome, Firefox, Internet Explorer...) Ces applications ont été proposées sur le site du Collège Arlette Hée-Fergant qui propose de nombreuses animations à cette adresse : ici

Bienvenue, Outils pédagogiques libres pour l'école primaire L'aérospatiale expliquée aux élèves du primaire | Didier Bert, collaboration spéciale | Aérospatiale L'initiative Ça plane pour moi! a déjà permis à 5000 élèves de la Rive-Sud et des Laurentides d'apprendre à construire des planeurs. Durant un après-midi, des animateurs du Conseil des loisirs scientifiques de la région métropolitaine (CLSM) enseignent les bases de l'aéronautique aux élèves du primaire. Ces derniers apprennent les notions de physique reliées au vol, comme la portance de l'air et les différentes forces qui s'exercent sur les ailes d'un avion. Les entreprises aérospatiales participent à cette demi-journée de sciences pratiques en y envoyant des ingénieurs et des techniciens. «Le programme Ça plane pour moi! Les enfants passent rapidement à la pratique, à l'aide d'un planeur en kit qu'ils doivent monter eux-mêmes en équipes de deux. Aéro Montréal souhaite à présent diffuser son activité dans les écoles montréalaises, où elle compte rejoindre 10 000 élèves du primaire, indique Suzanne Benoît, la PDG d'Aéro Montréal.

Il faut un cours de natation de survie, plaident des coroners | Pierre Saint-Arnaud Le bureau du coroner du Québec a présenté lundi de façon conjointe les rapports des coroners Luc Malouin et Frédéric Boily sur les décès par noyade de trois jeunes, et ils en viennent tous deux à la même conclusion: le ministère de l'Éducation devrait intégrer la formation «Nager pour survivre», de la Société de sauvetage, au deuxième cycle du primaire, possiblement en troisième année. Cette formation, qui ne nécessite que deux ou trois sessions, donne aux enfants trois habiletés de base leur permettant de réagir s'ils se retrouvent à l'eau accidentellement -soit d'entrer en eau profonde par roulade, nager sur place durant une minute, et se déplacer en eau profonde sur 50 mètres. «Dans le fond, c'est d'apprendre à nos jeunes comment réagir quand tu tombes dans l'eau et, après ça, d'être capable de nager 50 pieds (15 mètres) pour te ramener sur le bord», explique le coroner Malouin. «Juste de savoir ça, on vient de sauver je ne sais combien de noyades... c'est incroyable.»

France Beaudoin à la barre d'une émission jeunesse à Télé-Québec | Célébrités | Arts et divertissement Les enfants prendront possession des ondes dans une nouvelle émission jeunesse animée par France Beaudoin. France Beaudoin Dis-moi tout prendra l'affiche à l'hiver 2013 à Télé-Québec. La parole sera donnée à des élèves du primaire, qui auront l'occasion de rencontrer des adultes qu'ils admirent : astronautes, humoristes, ministres, athlètes, chanteurs, etc. Les enfants pourront alors poser des questions aux invités, qui parleront de leurs rêves, de leur parcours et des passions qui les animent. Dis-moi tout sera le premier projet de la nouvelle boîte de production Pamplemousse, créée par France Beaudoin, Nancy Charest et Jean-François Blais. France Beaudoin est également à la barre de l'émission En direct de l'univers, diffusée à Radio-Canada.

Anglais au primaire: un peu tôt | Carrefour Je trouve bien timide et peu convaincante, à ce jour du moins, la position des milieux de l'éducation quant à l'enseignement intensif de l'anglais à l'école primaire. Au-delà des raisons administratives (organisation, aménagement, personnel...) se pose la question plus fondamentale des répercussions d'ordre sociologique et linguistique. Je m'intéresse à cette question depuis 1973, année de la publication de deux recherches sur le sujet (rapport Bérubé-Pérusse et Sorecom). Ces deux ouvrages n'arrivaient pas à partager le bon de l'ivraie en cette matière. Nous sommes presque 30 ans plus tard et les choses ont bien changé. Que faire à l'école? Il est évident que la maîtrise de sa langue maternelle est un formidable tremplin pour apprendre, par la suite, toutes les langues du monde. Serge Paré, ex-professeur d'anglais Lévis

L’implantation de l’anglais intensif en 6e année soulève de l’opposition L’implantation, à compter de septembre 2012, de l’enseignement de l’anglais intensif en 6e année au Québec rencontre de la résistance dans le milieu scolaire. Les deux plus importants syndicats de l’enseignement ont annoncé aujourd'hui leur retrait des discussions menées par le ministère de l’Éducation à ce sujet et au moins une commission scolaire annonce le gel de l’implantation de cette mesure pour la prochaine année scolaire. Le projet d’anglais intensif, que Québec voudrait étendre à toutes les classes de 6e année d’ici 2015-2016, propose d’offrir l’enseignement de l’anglais aux élèves durant la moitié de l’année scolaire et de comprimer le reste de la matière sur l’autre moitié du calendrier. La Commission scolaire de la Capitale (CSC), à Québec, prévoyait jusqu’à tout récemment implanter le programme d’anglais intensif dès cet automne dans 19 écoles, soit près de la moitié de ses 80 classes de 6e année. Il soulève ainsi le cas des élèves en difficulté. Line Beauchamp va de l'avant

Anglais intensif - L’anglais? La voie royale! En septembre prochain commence l’implantation obligatoire de l’apprentissage intensif de l’anglais oral en 5e et 6e année du primaire. Répondant au voeu d’une majorité de parents de mieux outiller leurs enfants en anglais, le gouvernement du Québec a laissé cinq ans à l’ensemble des écoles pour qu’elles appliquent cette mesure, traditionnellement réservée aux élèves n’éprouvant pas de difficultés. La politique du « mur à mur » imposée par le ministère de l’Éducation pourrait donc écorcher au passage des réalités particulières comme celle de la CSDM. Avec une clientèle à 53 % allophone et une dizaine d’écoles avec des taux d’immigrants dépassant les 90 %, l’intégration est un phénomène qui se vit « à l’envers », comme l’explique M. La politique gouvernementale a eu beau surprendre par son caractère généralisé, elle s’appuie sur un souhait des parents.

Groupe de Recherches sur la Démocratisation Scolaire (GRDS) Anglais intensif: des professeurs désertent les classes de sixième année | Daphnée Dion-Viens Christian Cloutier, qui enseigne la sixième année à l'école Saint-Jean-Baptiste, est catégorique. Lorsque l'anglais intensif sera enseigné en sixième année, il cédera sa place. «Moi, c'est certain que je quitte. Le mandat de fou de réussir en cinq mois, je ne le veux pas. Je suis un passionné de la sixième année, c'est vraiment un beau défi de les préparer pour le secondaire. Mais avec la réalité de nos classes, ce n'est pas possible ce qu'on va nous demander.» D'ici 2015, tous les élèves de sixième année suivront un programme d'anglais intensif, qui occupera la moitié de l'année scolaire à temps plein. Enquête interne Le Syndicat de l'enseignement de la région de Québec (SERQ) a fait sa petite enquête auprès des 25 profs de sixième année de la commission scolaire de la Capitale. «Moi, l'anglais intensif, j'ai reçu ça comme une claque en pleine face», lance Mélanie Rioux, enseignante en sixième année à l'école de la Mosaïque. Charge de travail M. Implantation graduelle

Les états généraux : le primaire | Médium large Société Les états généraux : le primaire Le mercredi 12 septembre 2012 , professeur au Département de l'éducation de l'UQAM, réussissait bien au primaire. Il a fait ses classes en Afrique, dans le système français. , commissaire scolaire à la CSDM dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges et blogueur au journal , croit que les jeunes aiment l'école. , animatrice et mère de quatre enfants (bientôt cinq), dont trois vont à l'école primaire, résume cette période de sa vie comme un long lundi pluvieux. a déjà enseigné au primaire. Créer un compte * Radio-Canada n'est aucunement responsable du contenu des sites externes

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