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Sexisme dans la littérature enfantine et développement des enfants

Sexisme dans la littérature enfantine et développement des enfants

Pixar’s Female Problem: Please Stop Asking Me, “What About Jessie?” Pixar’s Female Problem: Please Stop Asking Me, “What About Jessie?” Awhile ago I posted some art for Pixar’s upcoming film Brave, its first with a female protagonist. And, naturally, I pointed out that Pixar has seemed almost perversely incapable of creating a female protagonist and how utterly offensive that is since they’ve made films about Anyway, among the comments someone inevitably asked “What about Jessie? What about Sally in Cars?” I started to answer and then realized this deserved its own entire post. Let me begin with this: if a studio as innovative as Pixar made 12–that’s TWELVE– films with female protagonists and a few had perhaps 1 or 2 strong tertiary characters were who were male and maybe 1 in 10 male characters with ANY speaking parts at ALL wouldn’t you think that was a teensy-weensy bit disproportionate, minimally a failure of imagination and maximally openly hostile in its dismissal of boys and men? This is where the blog post becomes out of date. OOOOOH!

#10-Merci les filles ! de Valérie Ganne, Juliette Joste et Virginie Berthemet « Tout ce qu’il faut savoir sur le féminisme pour être ravissante et pas idiote. » Une vision synthétique et néanmoins panoramique. L’ouvrage retrace avec humour et bonheur l’histoire récente de la condition féminine, de l’obtention du droit de vote à nos jours. Pour embrasser ce vaste horizon, Merci les filles ! ne se contente pas de dresser le portrait des grands noms du féminisme comme Simone de Beauvoir et Simone Veil (note pour plus tard : appeler sa fille Simone). Les auteures reviennent aussi sur la mode (et le niou louque de Dior par Colette – l’écrivain ! « À votre avis, le double chromosome X contient-il le gène du double débrayage ? Droit à l’égalité de salaire, droit à l’avortement, mais aussi droit à l’orgasme (!) « Qu’est-ce qui est le plus long à faire cuire ? Les illustrations punchy de Virginie Berthemet donnent le ton : des idées et de la couleur ! « Une féministe, c’est pas une toute petite fée ? Rencontre avec l’une des auteures, Valérie Ganne. Ben oui.

Des livres jeunesse non-sexistes pour tordre les clichés à la racine Véronique Cochard tient un livre pour enfants véhiculant des clichés sexistes, en mai 2011 à Lille (Marie Kostrz/Rue89). (De Lille) A 9 heures, près de Lille, la bibliothèque de Lézennes est encore déserte. Jusqu’à ce que deux femmes franchissent les portes de l’établissement les bras chargés d’une grosse caisse remplie de livres pour enfants. Depuis juillet 2010, Véronique Cochard et Brigitte Kaiser mènent un projet qui a encore peu de doublons en France. Au premier étage de la bibliothèque, douze femmes – pas un seul homme n’est présent – bavardent joyeusement. Après avoir travaillé sur l’égalité homme-femme dans le monde professionnel, puis avec les lycéens et collégiens, Véronique Cochard s’est rendu compte que la sensibilisation devait commencer encore plus tôt. « Le masculin, toujours mieux à même de représenter l’universel » Ce projet, financé par l’Union européenne, est également mené en Italie, en Belgique et en Suède. Des livres de la série Martine (Marie Kostrz/Rue89).

La princesse comme modèle de la féminité au profit de l'homme 1. : sa sexualité naissante représentante une menace pour une autre femme, elle est donc tuée. Son unique atout, sa beauté physique, est ce qui la sauve à la fin. 2. La Belle au Bois dormant : fiancée dès la naissance pour consolider une position politique, elle est tout de même tuée par une autre femme. Son propriétaire..hem...fiancé la sauve avec un baiser. Le sexe est donc son unique recours. 3. 4. 5. 6. Conclusion : Mesdames soyez belles et taisez-vous, c'est tout ce que l'on attend de vous. Ces contes sont anciens et d'inspirations diverses : 1. 2. 3. 5.

Le féminisme québécois raconté à Camille Les éditions du remue-ménage ont publié, à l’automne 2008, le dernier ouvrage de Micheline Dumont Le féminisme québécois raconté à Camille. Camille est sa petite-fille de 16 ans qui a lu le texte au moment de la rédaction. Ce récit vulgarisé de l’histoire du féminisme québécois est destiné aux jeunes filles bien sûr, éventuellement aux jeunes gens qui auraient la volonté de s’informer (pourquoi ne pas rêver ?) Elles s’appellent Catherine, Stéphanie, Jessica, Audrey, Alexandra, Émilie, Vanessa, Mélanie, Sabrina. Plusieurs n’ont pas été baptisées. Elles sont nées au moment où les Québécoises célébraient le 50e anniversaire du droit de vote. Les jeunes femmes du XXIe siècle ont le vent dans les voiles. Ne peuvent-elles pas choisir de faire les études de leur choix ? Toutefois, les victoires du féminisme sont fragiles. Les salaires des femmes sont toujours inférieurs à ceux des hommes et on accuse encore les travailleuses de voler les emplois des hommes.

lab-elle: albums attentifs aux potentiels féminins Ranked: Disney Princesses From Least To Most Feminist It's hard to be liberated in a clamshell bikini. I just saw Brave, and it got me thinking about the grand tradition of Disney princesses. Brave is a Pixar movie, and its heroine, Merida, is a fairy-tale feminist. Disney princesses for the most part, are not. Most need to be rescued by their male love interests; almost all the Disney Princess movies end in marriage or engagement. Now, I know ranking anything by perceived feminism is problematic, as your professor might put it, but go with me for the sake of discussion. 10. The early Disney films were all strange fables with beautiful scenery and women who made no choices for themselves; Sleeping Beauty is the apex of these. 9. Yeah, about all that sleeping… well, Snow White also conveniently falls asleep for much of this film, and waits to be rescued by a Charming (but otherwise featureless) prince. 8. Cinderella can't catch a break. 7. 6. 5. I've dressed up as Jasmine for Halloween twice, so I'm a little biased. 4. 3. 2. 1.

Cinquante nuances de Grey : 50 nuances d'abus, soulignent des chercheuses Amy Bonomi de l'Université d'État du Michigan et ses collègues (1) ont analysé le roman à la lumière des définitions données par les US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de la violence conjugale et des réactions qui surviennent chez les femmes qui en sont victimes. L'abus psychologique et sexuel est omniprésent dans le roman, survenant dans presque chaque interaction, et le personnage féminin, Anastasia, subit un préjudice, exposent les chercheuses. "Le livre perpétue des normes d'abus dangereuses et pourtant il a été lancé comme un livre romantique et érotique pour les femmes." Anastasia souffre de réactions compatibles avec celles des femmes victimes de violence, décrivent les auteures. Contrairement à des relations sexuelles saines qui sont consensuelles et dans lesquelles les négociations sont prises au sérieux et les limites de chacun sont respectées, Anastasia est intimidée et contrainte. (1) Lauren Altenburger et Nicole Walton de l'Université d'Éatat de l'Ohio.

Des livres jeunesse qui luttent contre le sexisme *slogan utilisé par l’association Mix-cité Ça faisait longtemps que nous n’avions pas parlé de livres qui combattent les clichés sexistes, et vous savez à quel point ça me tient à cœur. Voici trois albums devenus des classiques et un livre pour les parents pour aller plus loin. Marre du rose ! Je pense que vous êtes nombreux à connaître Marre du rose de Nathalie Hense et Ilya Green mais nous ne l’avions pas encore chroniqué et ce serait dommage de passer à côté de cet album aussi beau que bon. texte doux et plein de poésie, elle joue avec les mots. Pour Max c’est simple, il y a les Avec-zizi (qui jouent au foot, aiment se battre,…) et les Sans-Zizi (qui aiment jouer à la poupée, dessiner des fleurs nunuches,…). Là aussi c’est devenu un classique et je ne vous ferai peut-être pas découvrir Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ? A noter qu’un tout nouveau Mademoiselle Zazie vient de sortir, Mademoiselle Zazie a des gros nénés. A part ça ? Gabriel

The destructive culture of pretty pink princesses Girls the world over often go through a "princess phase," enthralled with anything pink and pretty — most especially the Disney princesses. When it happened to Peggy Orenstein's daughter Daisy, the contributing writer for the New York Times Magazine stepped back to examine the phenomenon. She found that the girlie-girl culture being marketed to little girls was less innocent than it might seem, and can have negative consequences for girls' psychological, social and physical development. Orenstein's exploration took her to Walt Disney World, the American Girl flagship store in New York City and a child beauty pageant. LiveScience: How did you get inspired to write the book? Orenstein: I'm a mother, and I think that when you're an adult, you don't really notice what's going on so much in the world of kids' culture. And so I started to go, 'What is this?' A lot of people were looking at issues of eating disorders or depression, or sexuality or culture, and issues in teenagers.

La littérature jeunesse non sexiste En cherchant des cadeaux pour mes filles, m’est revenu en tête ce fichier PDF, posté cet été par Maïa Mazaurette sur sa page Facebook. C’est une liste indispensable pour toute personne entourée de mômes à qui on souhaite inculquer le goût de la lecture. Orchestrée par Adéquations, une asso qui a pour objectif d’oeuvrer pour deux-trois choses importantes, dont l’égalité hommes-femmes, cette liste regroupe tout un tas d’oeuvres jeunesse non sexiste. Voici l’introduction de Bénédicte Fiquet, chargée de mission genre pour Adéquations. Dans nos pays riches, on propose des livres aux enfants dès leur plus jeune âge. Caricature, dites-vous ? Ce doc, qui fait une soixantaine de pages, recense donc des livres classés par âge et par catégories (En quête d’identité, Filles et garçons, Histoires de filles, Et la famille ?

Princesses Disney féministes Depuis l'intéressante série d'Euterpe sur les princesses Disney et suivantes, j'ai trouvé sur le site I blame the kyriarchydes princesses Disney féministes -détournées évidemment ! Le Prince : ...et nous vivrions heureux La Princesse : est-ce que cela signifie que j'aurais ma propre carrière et que je contrôlerai mes finances ? La Princesse : Houah, pardon mais quelle partie de moi, alors que je dors ici seule, implique mon consentement ? Blanche-Neige : Ils n'ont pas arrêté de me dire que je dois haïr les hommes, puisque je suis féministe. La Princesse : J'ai écrit un essai sur la théorie queer pour mon cours de littérature. On peut rêver que les princesses de Disney (et les autres) s'émancipent, et que les princes aient l'esprit large ouvert.

Raconte-moi une histoire non-sexiste Temps de lecture: 8 min Des héros forts qui ne pleurent jamais, des filles pas souvent héroïnes qui se retrouvent à materner les garçons rentrés de la chasse au dragon, de la poupée rose à foison contre des voitures bleues... Les stéréotypes sexistes fourmillent dans les albums jeunesse, renvoyant plus ou moins implicitement des messages sur le rôle et la place à tenir dans la société des garçons et des filles, des hommes et des femmes. Ce n’est pas nouveau et on sait l’urgence de s’attaquer dès la petite enfance aux stéréotypes tant leur impact commence dès le plus jeune âge. Ce que l'on sait moins, c’est que la loi du 9 juillet 2010 sur les violences faites aux femmes prévoit notamment «une information consacrée à l'égalité entre les hommes et les femmes, à la lutte contre les préjugés sexistes» et ce «à tous les stades de la scolarité». Pour pouvoir informer les enfants sur ces préjugés, il faut commencer par les débusquer, ce qui n'est pas toujours évident. Quand Lulu sera grande

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