background preloader

1 : Les paradigmes de Kuhn

1 : Les paradigmes de Kuhn
26 701 Visites | Version imprimable Sommaire de l'article Thomas Kuhn, physicien reconverti en historien, a introduit dans les années 60 un terme qui est aujourd’hui souvent utilisé en épistémologie : il s’agit de « paradigme ». Derrière ce mot se cache une vision de la science radicalement opposée aux conceptions jusqu’alors en vigueur. Les paradigmes Kuhn propose une conception selon laquelle une théorie scientifique s’insère au sein d’une structure qu’il désigne par « paradigme ». Il est impossible d’énoncer précisément quels critères permettent de définir un paradigme, ce qui ne détruit toutefois pas la pertinence de ce concept. les lois et concepts fondamentaux de la théorie scientifique en vigueur,l’ensemble des procédures instrumentales, qui permet de relier la théorie à la pratique expérimentale,une certaine « vision du monde » (éventuellement métaphysique) sous-tendue par la théorie. Le troisième point mérite quelques éclaircissements. Science normale Pages : 1 2 3 » Related:  Projects

3 : Les paradigmes de Kuhn 28 432 Visites | Version imprimable Sommaire de l'article Crise et révolution Cependant, il est possible qu’une énigme résiste aux tentatives de résolution. Dans ce cas, un ou plusieurs scientifiques peuvent commencer à se poser des questions sur la validité de leur paradigme. Il s’instaure un état de doute qui va éventuellement rassembler de plus en plus de scientifiques autour de l’énigme (devenue « anomalie »). Si l’anomalie perdure, elle peut finir par provoquer un état de crise : la majorité des scientifiques perdent confiance en leur paradigme. Il se constitue alors un nouveau paradigme concurrent. Exemple : Les exemples classiques cités par Kuhn sont le passage, en astronomie, de la vision géocentrique de Ptolémée à la vision héliocentrique de Copernic, ou encore le passage de la mécanique de Newton à la mécanique relativiste d’Einstein. Incommensurabilité Il n’y a donc aucune méthodologie possible. Pages : « 1 2 3 »

I Origins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce film est récompensé du prix Alfred P. Sloan au Festival du film de Sundance 2014[1]. Synopsis[modifier | modifier le code] Ian Gray, un jeune étudiant doctorant en biologie moléculaire, porte ses recherches sur l'évolution de l'œil et pour cela photographie les yeux des humains depuis des années. Il rencontre Sofi, une jeune fille énigmatique, et ont tous deux un coup de foudre et ce malgré leurs notions différentes de la vie, il est scientifique et elle, spiritualiste. Scène post-crédits[modifier | modifier le code] Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Accueil[modifier | modifier le code] Sorties internationales[modifier | modifier le code] I Origins se voit projeté en avant-première hors compétition au grand écran du Festival du film de Sundance en d'où le réalisateur est récompensé du prix Alfred P. En France, il a pour date de sortie le . Accueil critique[modifier | modifier le code]

2 : Les paradigmes de Kuhn 26 690 Visites | Version imprimable Sommaire de l'article Critique du relativisme scientifique Malgré que Kuhn nie être relativiste, sa pensée a néanmoins jeté les bases de ce qui est devenu le relativisme scientifique. Dans cette section, je présente une série de critiques envers le relativisme en général, et les interprétations radicales que l’on peut faire de la pensée de Kuhn en particulier. Critique 1. Exemple : On a du mal à imaginer que si l’on donnait une roche lunaire à Aristote, ce dernier ne verrait pas en elle des caractéristiques identiques à une roche terrestre (au sens où la roche lunaire tombe comme n’importe quel caillou terrestre). Il est vrai qu’une expérience s’inscrit toujours dans le cadre d’une théorie existante, mais cette dernière ne détermine pas entièrement l’issue de l’expérience. Critique 2. Scientifique → Nature Historien → Science Références : CHALMERS, Alan F., Qu’est-ce que la science ? Pages : « 1 2 3

untitled Le Cadre de référence untitled École de Copenhague (physique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’école de Copenhague ou interprétation de Copenhague est un courant de pensée qui donne une interprétation cohérente de la mécanique quantique. Elle considère que le caractère probabiliste de la mécanique quantique et que les relations d’incertitude de Heisenberg proviennent de l’interaction entre l’appareil de mesure et ce qui est mesuré, c’est-à-dire du fait que, au niveau atomique, l’effet de l’appareil de mesure sur son objet ne peut pas être négligé. D’autre part, elle considère que parler d’objets indépendamment de toute mesure n’a pas de sens ; en particulier, on ne peut pas connaître l’évolution d’un système entre deux mesures. Cette interprétation proposée par Niels Bohr, Werner Heisenberg, Pascual Jordan, Max Born porte le nom de Copenhague car l’institut de physique que dirigeait Bohr et où Heisenberg et Pauli étaient de fréquents visiteurs était situé à Copenhague. Werner Heisenberg répond

Nomi

Related: