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Modèle OSI

Modèle OSI
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Le Modèle OSI a été conçu dans les années 1970, sur fond de rivalités entre trois architectures de conceptions différentes : la DSA lancée par CII-Honeywell-Bull innove dans l'informatique distribuée en mettant en avant les mini-ordinateurs Mitra 15 puis Mini 6, tandis que Decnet, de DEC, et SNA d'IBM donnent une plus grande place au site central, contrôlant l’ensemble des ressources matérielles et logicielles, les utilisateurs y accédant pour une "session" via des terminaux passifs. Hubert Zimmermann, recruté en 1971 à l'IRIA par Louis Pouzin pour développer le Datagramme, technologie qui suscite un enthousiasme international [1], appuyée par la CII[2]. Aperçu[modifier | modifier le code] Le modèle de baseArchitecture de sécuritéDénomination et adressageCadre général de gestion Le texte de la norme proprement dite est très abstrait car il se veut applicable à de nombreux types de réseaux. Contrôle de flux

Internet Protocol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IP. Internet Protocol (abrégé en IP) est une famille de protocoles de communication de réseau informatique conçus pour être utilisés par Internet. Les protocoles IP sont au niveau 3 dans le modèle OSI. Fonctionnement[modifier | modifier le code] Lorsque deux terminaux communiquent entre eux via ce protocole, aucun chemin pour le transfert des données n'est établi à l'avance : il est dit que le protocole est « non orienté connexion ». Services délivrés[modifier | modifier le code] Les protocoles IP assurent l'acheminement au mieux (best-effort delivery) des paquets. Fiabilité[modifier | modifier le code] corruption de données ;ordre d'arrivée des paquets (un paquet A peut être envoyé avant un paquet B, mais le paquet B peut arriver avant le paquet A) ;perte ou destruction de paquet ;duplication des paquets. Les garanties qu'un protocole IP n'offre pas sont déléguées aux protocoles de niveau supérieur.

Réseau informatique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carte partielle d'Internet. Chaque ligne lie 2 nœuds, représentant 2 Adresses IP Historique[modifier | modifier le code] Dans les années 1960, les premiers réseaux informatiques étaient de portée limitée (quelques dizaines de mètres avec par exemple l'HP-IB, l'HP-IL, etc.) et servaient à la communication entre micro-ordinateurs et des instruments de mesure ou des périphériques (imprimantes, table traçante, etc.). Voici une liste non-exhaustive des protocoles réseaux qui existent à ce jour (par type de réseau): Infrastructures[modifier | modifier le code] Les infrastructures ou supports peuvent être sur des câbles dans lesquels circulent des signaux électriques, l'atmosphère (ou le vide spatial) où circulent des ondes radio, ou des fibres optiques qui propagent des ondes lumineuses. Plusieurs normes définissent les modalités de fonctionnement des réseaux hertziens, par exemple la norme Wi-Fi (IEEE 802.11). Sous réseau[modifier | modifier le code]

IPv6 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. IPv6 (Internet Protocol version 6) est un protocole réseau sans connexion de la couche 3 du modèle OSI (Open Systems Interconnection). IPv6 est l'aboutissement des travaux menés au sein de l'IETF au cours des années 1990 pour succéder à IPv4 et ses spécifications ont été finalisées dans la RFC 2460[1] en décembre 1998. Grâce à des adresses de 128 bits au lieu de 32 bits, IPv6 dispose d'un espace d'adressage bien plus important qu'IPv4. Cette quantité d'adresses considérable permet une plus grande flexibilité dans l'attribution des adresses et une meilleure agrégation des routes dans la table de routage d'Internet. IPv6 dispose également de mécanismes d'attribution automatique des adresses et facilite la renumérotation. En 2011, seules quelques sociétés ont entrepris de déployer la technologie IPv6 sur leur réseau interne, Google[3] notamment. Raisons du développement d'un nouveau protocole IP[modifier | modifier le code] On distingue :

File Transfer Protocol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FTP. File Transfer Protocol (protocole de transfert de fichiers), ou FTP, est un protocole de communication destiné à l'échange informatique de fichiers sur un réseau TCP/IP. Il permet, depuis un ordinateur, de copier des fichiers vers un autre ordinateur du réseau, ou encore de supprimer ou de modifier des fichiers sur cet ordinateur. La variante de FTP protégée par les protocoles SSL ou TLS (SSL étant le prédécesseur de TLS) s'appelle FTPS. FTP obéit à un modèle client-serveur, c'est-à-dire qu'une des deux parties, le client, envoie des requêtes auxquelles réagit l'autre, appelé serveur. FTP, qui appartient à la couche application du modèle OSI et du modèle ARPA, utilise une connexion TCP. Ce protocole peut fonctionner avec IPv4 et IPv6. Histoire[modifier | modifier le code] FTP est issu de la RFC 114[2] créée le 16 avril 1971. Interopérabilité[modifier | modifier le code] Titan FTP Server Mode actif :

Suite des protocoles Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La suite TCP/IP est l'ensemble des protocoles utilisés pour le transfert des données sur Internet. Elle est souvent appelée TCP/IP, d'après le nom de ses deux premiers protocoles : TCP (Transmission Control Protocol) et IP (Internet Protocol). Ils sont inventés par Vinton G. Cerf et Bob Kahn. Le document de référence est RFC 1122 [archive]. Le réseau Arpanet adopte le la suite de protocoles TCP/IP qui sera la base d'Internet[1]. Le modèle OSI, qui décompose les différents protocoles en sept couches, peut être utilisé pour décrire la suite de protocoles Internet, bien que les couches du modèle OSI ne correspondent pas toujours avec les habitudes d'Internet (Internet étant basé sur TCP/IP qui ne comporte que quatre couches[2]). Le modèle Internet a été créé afin de répondre à un problème pratique, alors que le modèle OSI correspond à une approche plus théorique, et a été développé plus tôt dans l'histoire des réseaux.

LAMP Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. LAMP est un acronyme désignant un ensemble de logiciels libres permettant de construire des serveurs de sites web. L'acronyme original se réfère aux logiciels suivants : Même si les auteurs de chacun de ces programmes ne se sont pas coordonnés pour construire des plates-formes LAMP, cette combinaison de logiciels s'est popularisée du fait du faible coût de l'ensemble et de la présence de tous ces composants dans la plupart des distributions GNU/Linux. Cet acronyme a été inventé par Michael Kunze qui l'a utilisé pour la première fois en 1998 dans le magazine allemand c't. L'article en question voulait démontrer qu'un ensemble de logiciels libres pouvait concurrencer les offres commerciales disponibles[2]. Architecture[modifier | modifier le code] Les rôles de ces quatre composants sont les suivants : Tous les composants peuvent être situés : Variantes[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Réseau privé virtuel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir VPN et RPV. Principe d'un VPN simple Le VPN permet donc d'obtenir une liaison sécurisée à moindre coût, si ce n'est la mise en œuvre des équipements terminaux. En contrepartie, il ne permet pas d'assurer une qualité de service comparable à une ligne spécialisée dans la mesure où le réseau physique est public, donc non garanti. Le VPN vise à apporter certains éléments essentiels dans la transmission de données : l'authentification (et donc l'identification) des interlocuteurs, la confidentialité des données (le chiffrement vise à les rendre inutilisables par quelqu'un d'autre que le destinataire). L'utilisation d'un VPN en France est totalement légale. Fonctionnement[modifier | modifier le code] Exemple de réseau privé virtuel entre un siège et des agences régionales Protocoles de tunnelisation[modifier | modifier le code] Les principaux protocoles de tunnelisation sont : Voir aussi[modifier | modifier le code]

Moodle Moodle est une plateforme d'apprentissage en ligne (en anglais : Learning Management System ou LMS) libre distribuée sous la Licence publique générale GNU écrite en PHP. Développée à partir de principes pédagogiques, elle permet de créer des communautés s'instruisant autour de contenus et d'activités. Le mot « Moodle » est l'abréviation de Modular Object-Oriented Dynamic Learning Environment : « Environnement orienté objet d'apprentissage dynamique modulaire ». Outre la création de cours à l'aide d'outils à l'usage des formateurs, Moodle permet l'organisation de cours sous forme de filières (catégories et sous-catégories, cohortes…) qui lui confère un potentiel de mise en place de dispositifs complets d'enseignement. À un système de gestion de contenu, Moodle ajoute divers outils d'interactions pédagogiques et communicatives créant un environnement d'apprentissage en ligne, avec, via le réseau, des interactions entre pédagogues, apprenants et ressources pédagogiques.

Les formulaires HTML Janvier 2015 Intérêt d'un formulaire Les formulaires interactifs permettent aux auteurs de pages Web de doter leur page web d'éléments interactifs permettant par exemple un dialogue avec les internaute, à la manière des coupons-réponse présents dans certains magazines. Le lecteur saisit des informations en remplissant des champs ou en cliquant sur des boutons, puis appuie sur un bouton de soumission (submit) pour l'envoyer soit à un URL, c'est-à-dire de façon générale à une adresse e-mail ou à un script de page web dynamique tel que PHP, ASP ou un script CGI. La balise FORM Les formulaires sont délimités par la balise <FORM> ... Voici la syntaxe de la balise FORM : <FORM METHOD="POST" ou "GET" ACTION="url" ENCTYPE="x-www-form-urlencoded">... Voici quelques exemples de balises FORM : A l'intérieur de la balise FORM... La balise INPUT: un ensemble de boutons et de champs de saisieLa balise TEXTAREA: une zone de saisieLa balise SELECT: une liste à choix multiples Envoi des données La balise INPUT

Learning management system En technologies de l'information et de la communication, un learning management system (LMS) ou learning support system (LSS) est un logiciel qui accompagne et gère un processus d'apprentissage ou un parcours pédagogique. En français, on parle de « plateforme d'apprentissage », « système de gestion de l'apprentissage », « centre de formation virtuel », « plate-forme e-learning », « formation ouverte et à distance » (FOAD) ou « formation en ligne », et, particulièrement au Québec, d'« environnement numérique d'apprentissage » (ENA)[1]. Il existe des standards normalisant les contenus pédagogiques : LOM et SCORM. Cet article contient une ou plusieurs listes(novembre 2017). Cet article contient une ou plusieurs listes. Composantes d'un dispositif de formation en ligne[modifier | modifier le code] Fonctions d'une plateforme d'apprentissage[modifier | modifier le code] Le LMS : Autour de ces premières finalités, peuvent s'ajouter d'autres fonctionnalités et d'autres rôles comme : VLE et MLE

Culture numérique 2012-2013 > 11 : Vu, Lu, Su, Le document à la lumière du numérique (1ère partie) - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie Bibliographie : les indispensables Outre les articles ou références qui seront mentionnés sur la page de chaque cours, quelquesouvrages constituent les « indispensables » pour entrer de plein pied dans cette approche de laculture numérique. Leur nombre est volontairement limité, et il s'agit d'ouvrage courts etaccessibles. Vu, lu, su : Les architectes de l'information face à l'oligopole du Web , Jean-Michel Salaün,Ed. La Découverte, 2012 (151 p., 16 €) Dans le labyrinthe : Évaluer l'information sur internet, Alexandre Serres,C&F éditions, 2012 (224 p., 22 €) La Neutralité de l'internet : Un enjeu de communication, Valérie Schafer, Hervé Le Crosnier,Francesca Musiani, CNRS editions, coll. L'édition électronique, Marin Dacos, Pierre Mounier,Ed. Lien de référence du le menu vers « culture numérique » Licence Creative Commons, by,sa

Liste de plateformes pédagogiques sous licence libre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article dresse un tableau des plates-formes sous licence libre compatible LMS. Les normes LMS[modifier | modifier le code] Les caractéristiques des plateformes LMS sont leurs compatibilités SCORM, QTI, IMS, AICC. AICC[1] : norme de formation en ligne (e-learning en anglais) déviée des normes de l'aviation civile américaine (AICC). IMS[2] (Instructional Management Systems) est une spécification du groupe IMS Global Learning Consortium. CP 1.2 : Content Package utilisé pour l'import/export du contenu ;QTI 1.2 : Question & Test Interoperability ;LTI : Learning Tools Interoperability pour la communication entre les outils e-learning tools ;LOM 1.0 : Learning Object Metadata ou Learning Resource Meta-data Specification ;SCORM 1.2 & 2004 : Sharable Content Object Reference Model. La majorité des logiciels compatibles LMS (contenus ou outils auteurs) sont à présent certifiés AICC et/ou SCORM. Les frameworks LMS[modifier | modifier le code]

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