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Mythologie celtique

Mythologie celtique
Peuple Indo-européen, les Celtes ont émigré depuis l'est de l'Europe au cours du second millénaire avant notre ère. Lors de leur expansion maximale, ils occupaient toute l'Europe depuis l'Espagne jusqu'à la Turquie actuelle. Puis ils se sont retirés, autour de 200 avant notre ère, dans les territoires les plus à l'ouest: la Bretagne en France, l'Angleterre, le Pays de Galles, l'Irlande et l'ouest de l'Écosse. Dans les fiches qui suivent un dessin signalera l'appartenance à l'une ou à l'autre mythologie. Nous connaissons les Celtes continentaux à travers les historiens romains qui ont "interprété" à l'aune de leurs connaissances les dieux celtiques en termes de leurs équivalents romains approximatifs, leur faisant perdre leur saveur celtique en cours de route. On peut obtenir des informations plus sûres sur les Celtes de l'ouest parce que l'Irlande n'a jamais été romanisée et elle n'a été convertie au Christianisme qu'au Ve siècle de notre ère. Related:  mythologie

Taranis Taranis est un dieu du Ciel et de l'Orage[1] de la mythologie celtique gauloise. Sources[modifier | modifier le code] Taranis est principalement connu par une citation du poète latin Lucain. Celui-ci le présente comme formant avec Ésus et Teutatès la triade des dieux les plus importants du panthéon gaulois. Étymologie et onomastique[modifier | modifier le code] Jean Haudry a proposé comme origine étymologique de son nom l'indo-européen *Ten-H-ros dont la signification serait le « maître du tonnerre ». Dans les langues celtiques, on retrouve taran (« le tonnant » en breton et en gallois) et toirneach (en irlandais moderne). Fonction[modifier | modifier le code] Taranis serait principalement le dieu du ciel, de la foudre et du tonnerre[1]. Selon Raphaël Nicolle, la thématique de la fécondité de Taranis est centrale dans la conception qu'ont de lui les Celtes. Dans la mesure où il porte très souvent une roue, si celle-ci est interprétée comme roue solaire, il pourrait être un dieu du Soleil[5].

Mythologie nordique Moins connue que la mythologie gréco-romaine, la mythologie nordique (et germanique) recèle pourtant de nombreux trésors et apparait comme l'une des plus riches d'Europe. Elle nous présente le monde au travers d'une vision souvent contradictoire, de contes et de légendes des peuples nordiques. Ces peuples parlaient des langues saxonnes, et non celtes, slaves ou latines. BalderFenrirFreyja HelOdinRagnarokThor Les conditions de vie plus rudes ont largement contribué à créer de grandes différences avec la mythologie gréco-romaine dont la plus remarquable est sans doute le fait que les dieux sont mortels. Thor et le serpent de Midgard d'après Fuseli © Royal Academy of Arts Les rares témoignages écrits dont nous disposons nous viennent d'observateurs extérieurs tel l'historien romain Tacite, puisque les Saxons ne connaissaient pas l'écriture au sens où nous l'entendons. Il y a plusieurs façons d'orthographier les noms de la mythologie nordique. Panthéon

Mythologie nordique : Freyja Freyja d'après Bloomer National Museum, Stockholm Sœur jumelle de Freyr , elle était la déesse de la Terre et de la Fertilité. Freyja , la mystique aux yeux bleus et à la chevelure dorée, était la déesse de l’Amour et de la Beauté. Elle avait un beau collier magique qui s’appelait Brisingamen et portait une peau d’épervier. Freyja était la plus populaire de toutes les déesses, et celle que l’on vénéra le plus longtemps dans les pays nordiques. Quand son mari, Odr, était absent, Freyja pleurait des larmes en or, qui se transformaient en ambre quand elles tombaient à la mer.

TARANIS Dans l'épigraphie gallo-romaine, le nom du Jupiter gaulois apparaît sous la forme de Taranis ou Taranus, complétée par des anthroponymes théophores : Taranutius et Taranucnos (« né de Taranis »). La forme la plus ancienne est le datif gaulois taranoou dans une inscription d'Orgon (Bouches-du-Rhône). Ce nom correspond à celui du « tonnerre » dans les langues néo-celtiques (irlandais torann, gallois et breton tarann). On ne connaît aucun mythe à ce sujet et il ne serait pas impossible que le nom gaulois soit la traduction ou l'adaptation de celui du Jupiter tonans des Romains. Mais la correspondance celtique insulaire et continentale est assez nette pour qu'on fasse de Taranis l'équivalent gaulois du Dagda irlandais dans sa fonction de maître des éléments et de toute la manifestation. L'iconographie gallo-romaine représente constamment Jupiter muni d'une roue ou de spirales associées au foudre. Christian-Joseph GUYONVARC'H

Tadukli.free.fr - Eléments de mythologie Kabyle Eléments de mythologie kabyle Ces traces persistent davantage dans la culture des habitants des zones rurales et plus particulièrement dans celles des femmes dont la scolarisation peut encore, dans bien des régions, faire problème. De leur bouche, on peut encore entendre quelques-uns de ces contes aux aspects parfois mythiques ; elles connaissent encore les lieux consacrés, les personnages redoutés ou secourables ; elles célèbrent encore, à l'occasion, des rites éloignés de l'orthodoxie musulmane. Olivier sacré. Algérie. C'est un peu une gageure que de tenter de reconstituer une mythologie dont seules peuvent être saisies aujourd'hui après huit siècles d'islamisme quelques bribes éparses çà et là, au cœur même d'une culture populaire, dans des croyances mises ou non en pratique dans des rites encore réalisés, ou décelables à travers une riche littérature orale malheureusement en voie de disparition rapide actuellement. I. 1. «Jema » de Sidi Xaled, sanctuaire au bord de la mer. 2. 3. 4.

les dieux de la mythologie nordique Hel Publié le 28/12/2010 à 21:28 par darkdreamsTags : Hel déesse Hel est la déesse des morts, elle est la fille de Loki et de Angrboda sœur de Fenrir et de Jörmungand. Dans les croyances nordiques ancestrales pré-chétiennes Hel est l'une des hypostases de Freyja la Grande Déesse mère le nom hel (helja) signifie : accueillir, cacher, car Freyja est aussi la déesse de la mort qui accueille la moitié des guerriers. Elle est également la déesse guerrière. Forseti Publié le 28/12/2010 à 21:13 par darkdreamsTags : forseti dieu Forseti (Fosite, Foseti, Forsete) était un des Ases, le fils de Balder et de Nanna. Il joue un rôle peu important dans la mythologie telle que nous la connaissons. Sa demeure, Glitnir (qui signifie brillant), était dans les cieux. Frigg Publié le 28/12/2010 à 21:07 par darkdreamsTags : frigg déesse Frigg est une Ase, déesse-mère épouse d'Odin, mère de Baldr et de Hödr. Frigg patronne le mariage et la maternité dans la mythologie nordique. Hermod Balder Hoder Heimdall Tyr Njörd Loki

Teutatès Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythologie[modifier | modifier le code] Ce dieu est aussi connu par des inscriptions sous la forme « Totatus » retrouvées au sanctuaire de Beauclair, à Voingt (Puy-de-Dôme), en territoire arverne. Teutatès est une forme archaïque ou une variante de Toutatis, il provient de teutā qui a évolué en toutā et tōtā. Connu notamment à l'époque contemporaine par le biais de la bande-dessinée Astérix, où il est régulièrement évoqué par l'exclamation « Par Toutatis ! Le celtologue Joseph Vendryes a émis l'hypothèse qu'il pourrait s’agir d’un adjectif, utilisé pour éviter de prononcer le nom du dieu, conformément au respect d'un tabou. Bibliographie[modifier | modifier le code] Paul-Marie Duval, Les Dieux de la Gaule, Paris, éditions Payot,‎ février 1993, 169 p. Note[modifier | modifier le code] ↑ Paul-Marie Duval, « Teutates, Esus, Taranis », Travaux sur la Gaule, Rome, 1989, p. 280 Lire en ligne sur Persée [archive]↑ Venceslas Kruta, Les Celtes.

Mythologie Japon: Izanagi Et Izanami | Made In Tokyo Mythologie du Japon et plus precisement, le couple originel Izanagi et Izanami. Extrait de « Mythologies du Monde Entier » de Roy Willis. Au commencement, la terre etait jeune et ses formes incertaines (le Kojiki dit qu’elle ressemblait « a une tache d’huile qui flotte et derive comme une meduse »). Dans ce que les japonais appellent Takamanohara, ou « les hautes plaines celestes », trois dieux invisibles virent le jour. L’aine s’appelait Amanominakanushi-no-kami, ou « seigneur du milieu du ciel », bientot suivi par Takamimusubi et Kamimusubi qui, tous deux, furent de puissants kami a part entiere. Ces trois dieux formaient, avec deux divinites secondaires (Umashiashikabihikoji-no-kami et Amanotokotachi-no-kami), les cinq Divinites Celestes Autonomes. Izanagi demanda a sa soeur comment son corps etait fait. A terme, Izanami accoucha. Izanagi decida de se rendre a Yomi, le monde d’En Bas, ou le royaume des morts, et de tenter de ramener Izanami a la vie.

Gilgamesh Gilgamesh Palais de Sargon Gilgamesh est un roi à demi légendaire de la cité d'Ourouk (Uruk), qui aurait régné vers 2600 avant notre ère. D'origine sumérienne, ce récit s'est transmis d'abord de manière orale, puis il fut écrit vers 2000 avant notre ère à Babylone. Celui qui a tout vu, [Sha nagba imuru]. Monarque semi-légendaire Gilgamesh, "celui qui a tout vu" , est le héros à la fois despotique et humain d'une longue épopée mainte fois remaniée qui est la base de la littérature antique. « La courtisane Shamhat enlève ses vêtements dévoile ses seins, dévoile sa nudité et Enkidu se réjouit des charmes de son corps. Pour mettre un frein à la fougue tyrannique du roi Gilgamesh, les dieux qui reçoivent les doléances de son peuple, demandent à la déesse Aruru de faire naître dans le désert un homme fort et sauvage, Enkidu ou Enkidou (la créature d'Enki), qui saura s'opposer à l'activité fébrile du roi. Enkidu sous la forme semi animale combat Gilgamesh.

Ésus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sources anciennes[modifier | modifier le code] Onomastique[modifier | modifier le code] Étymologiquement, Ésus signifie « bon, maitre, puissant[4]. » On retrouve le terme dans esugenus (« fils d’Ésus » ou « bien né, équivalent à Eugène en grec »). Représentation[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Ésus, sur Wikimedia Commons Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

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