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La vraie démocratie - Cornelius Castoriadis

Cornélius Castoriadis : « Démocratie et relativisme. Entretiens avec le MAUSS  Repenser la démocratie Démocratie et relativisme. Entretiens avec le MAUSS Cornélius Castoriadis Éditeur : Mille et une nuits 160 pages / 11,40 € sur Amazon Résumé : Occasion de se plonger ou se re-plonger dans la pensée de Castoriadis, cet ouvrage pose les jalons d'une réflexion critique et actuelle sur la démocratie. Baptiste BROSSARD sur nonfiction.fr « Je veux secouer les gens, et je veux faire comprendre que l'homme n'est pas, de droit divin, un être démocratique. La pensée de Cornélius Castoriadis témoigne de cette indépendance d'esprit, de cette volonté de penser le monde autrement que par les sens communs, qu'ils soit libéraux, marxistes, ou même démocrates. - Premièrement, refuser le capitalisme en tant que système naturel ; - Deuxièmement, fonder une pensée marxiste non-dogmatique ; - Troisièmement, définir ce que serait, dans ce cadre conceptuel, une démocratie. Ainsi, sont regroupés dans Démocratie et relativisme un ensemble de réflexions qui intéresserons un public varié.

Entretien (à la maison) : le pouvoir antisocial de l'argent Entretien (à la maison) avec "avantgardeeconomique.fr" : le pouvoir antisocial de l'argent J'ai reçu à la maison, il y a quelque temps, un jeune homme venu de Paris pour la circonstance, et voici la trace de notre conversation (ça se sent un peu, que je commence à être crevé), après un gros travail de montage de sa part, je le remercie : Voici LE PLAN détaillé de ce film, tel que le présente ce jeune journaliste : « Étienne Chouard nous montre comment le mécanisme de l'élection politique est intimement lié au pouvoir de l'argent. I/ Introduction •Le tirage au sort •L'accusation de "complotisme". II/ Le pouvoir économique •Comment fonctionne la création monétaire •Les plus riches auto-proclamés indispensables aux processus de création de richesse •La nécessité de limiter les plus hauts revenus •Les jeunes générations qui se tournent vers la finance •Les retraites •La question de la propriété privée •La fin du capitalisme ?

Cornelius Castoriadis Agora International Website La démocratie participative, c'est ça ! - Meriem Andalounès Je suis sur la côte est du pays. Avant hier un moment inoubliable : j'ai assisté à une réunion du conseil communal de la région. Les conseils communaux qui foisonnent partout au Vénézuela sont l'illustration et l'application de la démocratie participative mise en place par le président Hugo Chavez qui n'a de cesse d'appeler son peuple à l'"aider à gouverner". Comme vous pouvez le voir sur les photos qui vont suivre, les Vénézuéliens ont entendu l'appel, et dans une énergie contagieuse se prennent en charge et défendent leurs intérêts pour obtenir, jour après jour des droits, plus de confort et une vie de plus en plus belle. Là, nous sommes à Unare, petit village paumé au fin fond du pays, à 2h30 de route de Rio Caribe dans la région de l'Oriente dans l'État de Sucre. Des représentants de toutes les communes ont fait le déplacement. Le maire qui ouvre et ferme la réunion n'est qu'un relais entre le peuple et les différents ministères sollicités. bisou, besos.

Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]

Vers une démocratie Open Source Internet et le monde de l’Open Source deviennent des sources d’inspiration pour de nombreux domaines autres que l’informatique : l’automobile, le bâtiment, le cinéma et même pour concevoir les outils permettant de créer une civilisation à partir de zéro… Pourquoi ne pourrait-on pas utiliser ce genre d’outils et de philosophie pour créer une démocratie réellement participative, en se passant de la langue de bois et des manipulations inhérentes au système actuel pour un système résolument moderne et novateur ? Voici une présentation TED qui nous présente une idée : et si les gouvernements s’inspiraient des modes de fonctionnement du monde de l’Open Source ? Une idée qui déplaira probablement aux hommes et femmes politiques qui nous gouvernent, puisque un tel système laisserait bien moins de place aux manipulations d’opinions et autres magouilles dont nous sommes malheureusement habitués… Via et Image

Association Castoriadis Référendum consultatif pour une nouvelle Constitution: les Islandais disent massivement «oui» - Islande Publié le : 21/10/2012 - 23:32 Les deux tiers des Islandais soutiennent le projet de nouvelle Constitution, selon les premiers résultats du référendum consultatif organisé samedi. Un exercice de démocratie directe sans précédent, qui conforte le gouvernement de Johanna Sigurdardottir. Johanna Sigurdardottir peut être satisfaite. Le projet de nouvelle Constitution encouragé par son gouvernement est en bonne voie. Le « oui » est massif, même si les électeurs étaient moins nombreux à se rendre aux urnes qu'au cours du précédent référendum. Cette future Constitution a été rédigée par de simples citoyens : un groupe de 25 personnes de différentes origines sociales a travaillé sur le projet avant de le poster sur internet, pour permettre aux Islandais de réagir et d'enrichir le texte (ce qu'ils n'ont pas manqué de faire). Le texte final a ensuite été soumis fin juillet 2011 aux députés, qui ont alors décidé de solliciter l'avis des Islandais par le biais d'un référendum.

Insignifiance et capitalisme Ce qui caractérise le monde contemporain ce sont, bien sûr, les crises, les contradictions, les oppositions, les fractures, mais ce qui me frappe surtout, c’est l’insignifiance. Prenons la querelle entre la droite et la gauche. Elle a perdu son sens. Les uns et les autres disent la même chose. Les responsables politiques sont impuissants. Il y a un lien intrinsèque entre cette espèce de nullité de la politique, ce devenir nul de la politique et cette insignifiance dans les autres domaines, dans les arts, dans la philosophie ou dans la littérature. La politique est un métier bizarre. Rien ne garantit que quelqu’un qui sache gouverner sache pour autant accéder au pouvoir. Je dis « pseudo-démocratie » parce que j’ai toujours pensé que la démocratie dite représentative n’est pas une vraie démocratie. Il y a la merveilleuse phrase d’Aristote : « Qui est citoyen ? On observe un recul de l’activité des gens. Et que font beaucoup d’intellectuels ? La crise n’est pas une fatalité

François Hollande, européiste aveugle A la veille du Conseil Européen, François Hollande a répondu aux questions de six journaux. Ses réponses sont convenues, de la part de quelqu’un qui ne se démarque pas du reste de la classe politique française : il est « européiste ». C’est à dire que par dogme, il minimise les problèmes engendrés par l’Union Européenne et l’Euro, et affiche un optimisme forcené quant à la suite des événements, ignorant tous les voyants rouges qui ne cessent de clignoter. Ainsi, la première question est intéressante : « Comment allez-vous sauver l’Europe ? Un peu plus loin, à la question « Pour une Europe plus intégrée avec l’union politique, ne faut-il pas un nouveau traité constitutionnel, soumis à référendum ? En clair, que vous votiez oui ou non, cela ne change rien. Vient ensuite cette question : « Donc l’union politique, ce n’est pas pour maintenant ? Source : LeMonde.fr

Entretien avec Cornelius Castoriadis Appel à l’aide des mères de Fukushima Posted 17 juin 2011 by realinfos in Appel à l’aide des mères de Fukushima. Quand la vérité sort de la bouche des mamans... Mercredi 15 juin 2011 Chers amis Nous habitons dans la ville de Fukushima, à seulement 60 km de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Aujourd’hui, la santé de nos enfants est en danger. (1) Source : Etienne Chouard - partie 1 - Repenser la démocratie You are a lecturer, journalist, blogger, speaker and you need the source video file? You can buy: Fee: 1800€ Video file command Fee: 1980€ In the first two cases be careful: you can purchase the file for a single use (for archiving, integration of excerpts in a film company, integrating on your blog in a format and / or another player that you selected): you can not then claim as a commercial file: please read terms and conditions prior to purchase that will appear below. NB. Be careful, you're about to acquire the source file that permits generating this video politoscope.tv. This does not in any way correspond to an assignment of copyright or opening any proprietary and / or commercial exploitation of this file. This video is dedicated to use for backup and comfortable viewing in a private setting (under archive, for example if you appear in the film and want to keep track of quality, or to mount a DVD with your response). Thank you for your understanding.

Castoriadis : La montée de l'insignifiance entretien par Daniel Mermet A la mémoire de Cornelius Castoriadis, disparu le 25 décembre 1996, nous avons rediffusé l'entretien qu'il nous avait accordé un an plus tôt. On a parfois envie de retenir les mots, revenir sur les idées, à "oreille reposée". En vous proposant de vous adresser le script de cet entretien, je ne m'attendais pas à un tel intérêt de toute part, tout horizon, tout milieu, pour une des pensées les plus fécondes et les plus lucides de notre temps. A travers la brèche on sent que tout n'est pas perdu ! Corneille dissident essentiel Il manque la voix de Cornelius Castoriadis, il manque cette jubilation dans sa voix en répétant Nous qui désirons ou nous qui délirons ? Ce qu'il disait tombe à pic en ces temps "trotsko-balladuriens", lui qui renvoyait dos-à-dos le "communisme anti révolutionnaire", et le néolibéralisme avec sa pensée unique, sa "non-pensée". Pas question d'abdiquer pour autant. Mais on ne peut réduire Cornelius Castoriadis à un seul registre. D. C. D. C. D.

Rencontre avec Étienne Chouard à Toulouse Je n’ai visiblement pas été assez clair : Techniquement, elle a raison ; pratiquement, c’est du pilpoul. Alors, donnons lui une leçon de pilpoul : page 3, pénultième paragraphe :<< Présentant cet amendement comme une "sage précaution" permettant d’éviter que le Trésor public ne puisse "tourner la législation sur les émissions de monnaie ou de quasi monnaie […] par le biais de la présentation de bons de Trésor au réescompte de l’institut d’émission", la Commission des finances est à l’oritinge de l’ajout de l’article 29 : "Le Trésor public ne peut présenter ses propres effets au réescompte de l’institut d’émission" Clairement, on veut éviter que l’institut d’émission (càd la Banque de France) ne puisse racheter des bons du Trésor, soit souscrire un prêt. L’article de 1936 n’a pas la même teneur, même s’il ressemble au texte de 1972-1973, il n’est pas tout à fait identique. Si cette action concertée implique peu du point de vue technique, elle vient soutenir les thèses d’AS ou d’EC.

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