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A propos

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A pro­pos du site Ce site veut être à la fois un jour­nal de bord de mes ten­ta­tives per­ma­cul­tu­relles et dé­crois­santes, un car­re­four de res­sources pour la per­ma­cul­ture fran­co­phone, une tri­bune pour mes élu­cu­bra­tions di­va­gantes, et une carte de visite. Je vous ren­voie à la lec­ture de deux ar­ticles fondateurs : A pro­pos du contenu Sauf men­tion contraire (en par­ti­cu­lier sur cer­taines pho­tos), l’intégralité du contenu du site est pu­blié sous li­cence Crea­tive Com­mons at­tri­bu­tion — par­tage à l’identique. A pro­pos de l’auteur Je m’appelle Kris­ten La­ga­dec, je suis in­gé­nieur spa­tial, jar­di­nier ex­pé­ri­men­tal, flû­tiste non-pratiquant, web­mestre à mes heures, au­to­cons­truc­teur pa­tient, me­nui­sier ama­teur, an­glo­phone let­tré, va­gue­ment pé­dant, rouer­gat néo­ru­ral, cy­cliste uti­li­taire, as­pi­rant pho­to­graphe, pa­ri­sien d’origine, gra­phiste contra­rié, usa­ger du TER, et pas­sa­ble­ment décroissant.

L’agriculture en ville : Et si c’était possible Avec près de quatre vingt cinq mille résultats sur le moteur de recherche Google, les serres hydroponiques, malgré un qualificatif relativement barbare (et qui ne figure d’ailleurs pas dans les dictionnaires des logiciels de traitement de texte), sont loin d’être complètement inconnues au bataillon. Elles pourraient surtout constituer une alternative efficace à l’agriculture intensive aujourd’hui critiquée de toutes parts. « Démantèlement d’une serre hydroponique », « une serre hydroponique a été découverte ». Les autorités les ont dans le viseur, et pour cause : il en existe qui sont toutes entières dédiées à la production… de cannabis. Mais les serres hydroponiques ne sont pas utilisées à ces seules fins, loin s’en faut. Dickson Despommier – ça ne s’invente pas – , microbiologiste de l’université new-yorkaise de Columbia, a consacré de nombreux travaux à ces serres déjà omniprésentes dans les campagnes. Des avantages multiples Quelles perspectives ? Mais aux dires de M.

Actualité - WANTED - Appel à témoin ! Crédit photo : Pierre Gros. (A gauche, vue de dessous, à droite, vue de dessus). Un Plathelminthe (ver plat) terrestre, prédateur de lombrics (ver de terre), vient d’être détecté cet hiver dans trois localités françaises (Finistère, Alpes-Maritimes, Corse). Ce genre de ver n’existe pas naturellement en Europe. Dans les quelques pays où des espèces proches ont été récemment détectés, comme en Angleterre, on observe une quasi disparition de sa proie (les lombrics), causant des pertes agronomiques et des déséquilibres majeurs sur les milieux naturels. Dans son aire de répartition naturelle, les lombrics ont développé des stratégies d’évitement qui leur permettent de se maintenir malgré ce prédateur. Le ver plat invasif est assez facile à reconnaître. Nous lançons donc un appel à témoin afin de réaliser une cartographie de son implantation. Si vous avez observé un tel animal, contactez le Professeur Jean-Lou JUSTINE.Téléphone : 01 71 21 46 47.Adresse courriel : jean-lou.justine@mnhn.fr

Jardinons Sol Vivant ! Comment gérer les allées du potager ? C’est une question qui m’est posé et qui revient régulièrement dans les discussions de jardiniers. Tout d’abord quel est vraiment le problème : si on ne fait rien, l’herbe envahi les allées et de là le potager, posant des problèmes de désherbage, surtout dans un potager au sol non travaillé comme je le préconise et comme le pratique la plupart d’entre vous. Alors que faire ? Il y a deux types de réponses : soit couvrir, soit enherber. La couverture du sol Cette couverture du sol dans les allées peut être de deux sortes : soit de type mulch qui tout en limitant l’enherbement participe à nourrir et enrichir le sol, soit de type écran opaque et non biodégradable qui empêche durablement l’herbe de pousser sans agir directement sur le sol. Le mulch peut être constitué de toutes sortes de MO à C/N élevé (cf. article précédent) qui ont pour effet de se dégrader lentement et concurrencer l’enherbement si l’épaisseur est suffisante. L’enherbement Google+

Biographie de Pierre Rabhi Agriculteur, écrivain et penseur français d'origine algérienne, Pierre Rabhi est un des pionniers de l'agriculture biologique et l’inventeur du concept "Oasis en tous lieux". Il défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles accessibles à tous et notamment aux plus démunis, tout en préservant les patrimoines nourriciers. Depuis 1981, il transmet son savoir-faire dans les pays arides d'Afrique, en France et en Europe, cherchant à redonner leur autonomie alimentaire aux populations. Il est aujourd'hui reconnu expert international pour la sécurité alimentaire et a participé à l’élaboration de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification. Il est l’initiateur du Mouvement pour la Terre et l’Humanisme. Son dernier ouvrage Graines de Possibles est co-signé avec Nicolas Hulot. "De ses propres mains, Pierre Rabhi a transmis la Vie au sable du désert... Yehudi Menuhin

Plathelminthe terrestre invasif - Jean-Lou Justine's Home Page J’ai écrit depuis longtemps sur cette page « si vous trouvez un Plathelminthe terrestre, évitez de la toucher », et aussi « ne laissez pas les enfants jouer avec ». C’était plutôt en appliquant un principe de précaution. On sait que ces animaux ont du mucus et des glandes très variées qui produisent toute une série de produits chimiques dont on est très loin d’avoir fait la liste. On sait aussi que beaucoup d’animaux ne mangent pas ces Plathelminthes, après avoir essayé : ils ont probablement un très mauvais goût (remarque à mes lecteurs : non, on n’essaye pas !). Je viens de trouver une nouvelle information. Avez-vous entendu parler de la tétrodotoxine ? Amber Stokes a présenté en 2013 une thèse aux USA sur la tétrodotoxine chez les vertébrés et invertébrés terrestres. Cela dit, une toxine qui agit sur l’influx nerveux en paralysant les muscles… c’est peut-être bien cela qui permet aux Plathelminthes terrestres de paralyser leurs proies, dont les vers de terre.

L'Ecolieu Au Petit Colibri 6 mai 2019 Pour petits et grands, sur l'écolieu AU PETIT COLIBRI de Marsac Manon vous propose de vous initier à l'art de vous amuser avec la nature ! Et c'est gratuit :-) Belle journée à chacunRichard Wallner 24 avril 2019Un peu de nouvelles ! Un verger diversifié planté cet hiver La ferme AU PETIT COLIBRI (Richard et surtout son salarié Rémy) a planté près de 350 arbres fruitiers de janvier à mars 2019 : pommiers, pêchers, cerisiers, poiriers, plaqueminiers(kaki), pruniers, noyers, noisetiers, figuiers, ... Puis ils ont été paillés avec la méthode déjà en oeuvre depuis des années sur la ferme : fagots de bois (compostage sur place du bois) recouvert de 20 cm de foin, paille ou broussaille (pour permettre le processus de compostage du bois par les champignons, dans l'humidité et à l'abri de la lumière). TRICO : répulsif de chevreuils, produit naturel dégageant une odeur désagréable aux chevreuils), à moyen terme (aller leur parler, hum... leur faire peur quoi !) Résumé Bonne lecture ! Richard

DVD - agroforesterie, produire autrement Quand l’élevage est agroforestier... Durée : 6 minsType : ReportageProducteur : Benoît Bringer, Le monde en face, France 5Date : 03/2018Lieu : PortugalRésumé : A une heure de Lisbonne, l'exemple du pâturage (+ maraichage) en système agroforestier d'Alfredo Cunhal (Ferme Frexo do Meio au Portugal), fondé sur le cycle naturel de la fertilité : une combinaison remarquable de pâturage arboré traditionnel avec les connaissances agronomiques d’aujourd’hui. L’agroforesterie : une arme au service de l’agriculture durable face au changement climatique, qui permet de maintenir l'activité agricole et une économie locale. Extrait de : "Faut il arrêter de manger les animaux ?"

Being Somewhere - Low Impact Living Despetits étangs font toute la différence QuelquesIndications de Base au Sujet de l'Aquaculture LA PISCICULTURE EN ÉTANGS est une pratique très ancienne. On pense qu'elle a été mise au point par les premiers agriculteurs pour devenir l'un des nombreux systèmes de production primaires servant à stabiliser les denrées agricoles. C'est en Chine, il y a 4 000 ans, et en Mésopotamie, il y a 3 500 ans, que datent les premières références connues. De nos jours, l'aquaculture dépasse la notion d'élevage de poissons dans des étangs ou des rizières. L'aquaculture est plus proche de l'exploitation agricole et de l'élevage de bétail que de la pêche; en effet, elle implique la production et la gestion de ressources aquatiques vivantes dans un milieu restreint. L'aquaculture s'est développée pour diverses raisons. la production d'aliments d'une valeur nutritionnelle élevée pour la consommation humaine; la contribution qu'elle apporte aux zones rurales en termes de revenu et d'emplois grâce à l'élevage et à ses activités connexes;

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