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Les primes - Rémunération, RH

Les primes - Rémunération, RH
> Les primes relatives au rattrapage du coût de la vie Elles sont prévues par des textes comme votre convention collective, un accord d’entreprise ou votre contrat de travail. La prime de vie chère ou la prime de productivité en font parti.Versées en même temps que votre salaire elles sont soumises : Aux retenues pour cotisations sociales.A la CSG.A la CRDS.A l’impôt sur le revenu.Aux majorations pour heures supplémentaires. > Les primes relatives aux conditions de travail Activité dangereuse, en hauteur, conditions insalubres, responsabilité d’une caisse ? > Les primes relatives aux qualités personnelles Vous bénéficiez d’un bonus si vous êtes à l’heure à votre travail ? > Les primes annuelles Ce sont par exemple : Le 13ème moisLa prime de fin d’année.La prime de vacances.La prime de bilan… > Les primes hors salaire Intéressantes car elles ne sont ni soumises aux retenues sociales ni à l’impôt sur le revenu ! De déplacement.De transport.De panier.De salissure.De représentation…

La rémunération peut-elle encore être un outil de motivation du salarié ? Pour adapter les rémunérations des salariés à leur activité, l'employeur doit s'appuyer sur des critères de différenciation objectifs. De récentes décisions de justice le rappellent. Dans quelle mesure l'employeur a-t-il la possibilité d'adapter les rémunérations à l'activité des salariés, à la qualité de leur travail et encourager ainsi la motivation qu'ils déploient lors de la réalisation de leur prestation ? Au niveau collectif, la participation des salariés aux bénéfices de l'entreprise vise à permettre aux salariés de bénéficier de l'expansion économique de l'entreprise, et donc à accroître leur implication dans la bonne marche de leur entreprise. Toutefois, elle doit demeurer une redistribution fondée sur un principe égalitaire : si elle a un lien avec l'activité de tous, elle ne récompense pas l'effort particulier de certains. L'octroi d'un avantage en nature ne permet pas d'échapper à l'application du principe.

Motiver les salariés par la rémunération : outils individuels La compétitivité et la performance de l’entreprise reposent en grande partie sur la motivation de ses salariés. Même si la composante salariale n’en est pas le seul outil, elle y contribue fortement et ceci au travers des nombreux modes de rémunération qui peuvent avoir une action sur cette motivation. Les outils qui seront décrits ici seront successivement : la prime variable ou bonus, le commissionnement et pour mémoire, les stocks options et les actions gratuites. Il faut souligner que des outils liés à la rémunération de façon indirecte peuvent également avoir un impact non négligeable sur la motivation des salariés : ce sont par exemple les couvertures prévoyance et santé, les avantages en nature, la protection sociale, … La prime variable Aujourd’hui, les augmentations générales et les primes à l’ancienneté ont laissé la place aux primes de performance individuelle et aux augmentations managériales individualisées, différenciées selon les salaires. Le commissionnement

La rémunération des salariés A- Le salaire de base : une partie fixe rassurante B- Les accessoires : une partie variable motivante A- Les critères « traditionnels » B- Les critères de « la logique compétence » C- D’autres critères A- Une source de conflit B- Une source de stabilité Introduction : Se reconnaître dans un niveau social, se grouper et se différencier d’autres individus constituent des besoins fondamentaux pour l’Homme. L’importance attachée par le salarié à la rémunération qu’il perçoit, les comparaisons qu’il opère, et ses attentes donnent à la politique des rémunérations des entreprises une grande influence sur sa productivité et le climat social dans l’entreprise. Par rémunération, il faut entendre le salaire ou le traitement ordinaire de base ou minimum et tous autres avantages et accessoires payés, directement ou indirectement, en espèces ou en nature, par l’employeur au travailleur en raison de l’emploi de ce dernier. A- Le salaire de base : une partie fixe rassurante 1. 2. 3. 4. C- D’autres critères

La participation et l'intéressement - Rémunération > La participation Si vous travaillez pour une grande entreprise, vous recevez une participation aux bénéfices. Vous ne le saviez pas ? Vous vous demandez si vous êtes concernée : Votre société compte au moins 50 personnes, 3 ans d’existence et réalise un bénéfice supérieur à 5% des fonds propres ? Comment la chiffre-t-on ? Des capitaux propres.Du bénéfice net.De la masse salariale.De la valeur ajoutée de l’entreprise. Quelle est la répartition ? Bon à savoir : - Le salaire ouvrant droit à participation est plafonné. - La part attribuée à chaque salarié ne peut dépasser les ¾ du plafond annuel de la sécurité sociale (pour 2013 par exemple : 37 032 euros) > Comment est-elle versée ? La somme qui vous revient est généralement attribuée sous forme d’actions, d’un droit de créance ou placée sur le marché financier (fonds communs de placement, SICAV...)Vous souhaitez récupérer votre participation ? Les bénéfices de la participation ? > L'intéressement Comment le chiffre-t-on ?

Les food trucks: nouvel eldorado des entrepreneurs ? - 18 février 2015 On ne les présente plus. Les food trucks font désormais partie de notre paysage urbain. A l’heure du déjeuner, ils sont littéralement pris d’assaut par une clientèle pressée, en quête de produits frais et de "fait maison". Cette activité a connu un essor rapide après l'importation du concept il y a cinq ans par la californienne Kristin Frederick et son désormais célèbre "Camion qui Fume". On en dénombre actuellement plus de 300 dans les villes de France, avec une nouvelle création chaque jour. De nombreux entrepreneurs sont séduits par l’originalité du concept mais aussi par la relative simplicité de sa mise en place. Car il n'est pas aisé d'ouvrir un restaurant en dur en France. Alors forcément, le food truck peut apparaître comme un nouvel eldorado. Le casse-tête des emplacements Ce service de restauration souffre encore d’un manque de légitimité vis-à-vis des institutions. L'enjeu est ensuite d'avoir un emplacement intéressant en termes de flux. Communiquer: un impératif

Epargne salariale : guide pratique sur l'épargne salariale La reconnaissance au travail La reconnaissance est devenue une demande quasi unanime chez les salariés. L’analyse montre qu’elle comprend quatre dimensions spécifiques. La demande de reconnaissance est devenue une composante essentielle de la vie au travail. Que se cache-t-il donc derrière cette notion de reconnaissance ? Objet insaisissable car multidimensionnel, elle est à la fois individuelle et collective, quotidienne et ritualisée ; elle concerne autant la personne que le travail ; elle peut être financière ou « symbolique ». Pour s’intégrer dans une organisation, toucher concrètement la vie des employés, des gestionnaires et des dirigeants, elle doit donc s’inscrire au sein d’une culture organisationnelle et se fondre dans les pratiques courantes de gestion des ressources humaines et d’organisation du travail. L’analyse scientifique de la reconnaissance fait apparaître quatre dimensions principales. • Reconnaître la personne : une conception existentielle. • Reconnaître l’effort : la perspective subjective.

La démotivation s'accroit de façon inquiétante | Le blog de manager-positif.com Seuls 31% des salariés déclarent être « souvent heureux au travail », le plus bas niveau depuis 2007. Les salariés sont également de plus en plus nombreux à indiquer que leur motivation au travail baisse : 40% contre 35% en 2007. À noter le principal facteur de démotivation : « Le manque de reconnaissance » à 26%, en progression de 7 points depuis 2010 ! (voir illustration) Encore plus inquiétant : le malaise chez les cadres supérieurs qui, pour près de 30% estiment être sur-impliqués dans leur travail… Selon le baromètre Ipsos, on fait un triple constat : 1) Satisfaction professionnelle et motivation atteignent des scores historiquement bas. 2) Les blocages structurels du marché du travail sur le long terme empêchent la majorité des salariés de se projeter dans un avenir professionnel. 3) On reçoit deux signaux d’alerte : – Le premier concerne l’encadrement supérieur. – Le deuxième : les salariés Français se disent de moins en moins souvent « heureux » au travail. Yves de Montbron

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