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Condamné pour usurpation d'identité sur Facebook

Condamné pour usurpation d'identité sur Facebook
Condamné pour usurpation d’identité sur Facebook Un homme de 54 ans a été condamné jeudi par le tribunal d’Auxerre pour avoir crée un faux profil Facebook de son ex compagne. Sur sur ce faux-profil, l’ancienne maîtresse, habitant Appoigny (Yonne), apparaissait en soutien-gorge, avec de nombreux commentaires dégradants à son encontre… Délit d’usurpation d’identité en ligne On ne badine pas avec Facebook ! Frustré par sa récente rupture, il avait imaginé une vengeance aussi terrible que subtile : usurper l’identité de son ancienne maîtresse sur le réseau social, publier une photo d’elle en soutien-gorge et ajouter des commentaires dégradants. 5 mois avec sursis, 410 euros d’amende « J’ai fait ça pour la provoquer, pour qu’elle me réponde », a déclaré le prévenu pendant l’audience, selon L’Yonne Républicaine. Mais jeudi 21 juillet, la justice est venue lui rappeler que l’usurpation d’identité sur Internet (et ailleurs) est punie par la loi.

Près de 50.000 personnes s'invitent à un anniversaire via Facebook - High Tech Un père de famille a porté plainte contre X après une invitation lancée par son fils sur Facebook © Radio France Près de 50.000 personnes se sont invitées à un anniversaire, le père porte plainte : reportage Christophe Vincent De 29 ils sont passés à 50.000. Un adolescent voulait organiser une petite boum chez sa grand-mère et inviter une trentaine d'amis à Chamalières dans le Puy-de-Dôme. Le jeune homme a, comme c'est possible, créé un " évènement secret " pour recenser les participants. Une surprise, plutôt mauvaise, qui a inquiété le père de famille.

Condamnée pour usurpation d'identité sur Meetic 01net. le 23/06/06 à 18h15 L'usurpation d'identité coûte cher aussi sur Internet. Une femme vient d'être condamné à plus de 10 000 euros d'amende pour s'être fait passer pour sa collègue sur le site Meetic et l'espace de rencontre du portail Wanadoo. Le 16 juin, le tribunal de grande instance de Carcassonne l'a jugé pour ' violences volontaires avec préméditation '. Affublée des pseudonymes ' coquin ', ' coquinette ' ou ' tocli ', l'indélicate collègue présentait sa voisine de bureau comme ' une femme facile désireuse d'avoir des relations sexuelles '. Suite à la divulgation de son numéro de téléphone, la victime a quant à elle reçu une pléthore d'appels d'hommes très empressés de faire sa connaissance. Le verdict de la justice est sans appel. La caisse d'assurance maladie se porte partie civile La justice a condamné la prolixe salariée à verser à sa collègue 2 500 euros au titre de préjudice corporel et 1 500 euros au titre de préjudice moral.

40 000 invités sur Facebook, une plainte pour usurpation d'identité Plus d’un an après la polémique sur les « apéros géants » organisés via Facebook, La Montagne nous apprend que plusieurs milliers de personnes ont réussi à s’inviter à l’anniversaire d’un jeune du Puy-de-Dôme grâce au réseau social, et ce contre le gré de l’intéressé. Au-delà de l’aspect burlesque de ce fait divers, se cachent en réalité des atteintes à ce jeune homme, qui pourraient d’ailleurs constituer une « usurpation d’identité numérique », punie depuis peu par la loi LOPPSI 2. Benjamin, 13 ans, voulait fêter sa quatorzième année avec plusieurs de ses camarades. Sur proposition d’une de ses amies, il crée alors un événement sur Facebook à destination de ses invités. Pourtant, il explique : « vers 22 heures, j’ai vu sur mon iPad qu’il y avait déjà plus de soixante personnes qui commençaient à répondre à cet événement et qu’avait été mise l’adresse de mes parents ! J’ai réussi à supprimer l’événement ». Application de LOPPSI 2 Xavier Berne

Deux condamnations pour usurpation d'identité sur Internet Une femme de 38 ans et un jeune militant UMP ont été condamnés vendredi à Nancy dans deux affaires distinctes d'usurpations d'identité sur l'internet. La première s'était fait passer à plusieurs reprises pour l'ex-amie de son compagnon sur un site de rencontres et avait, sous le pseudonyme «La belle Christelle», livré les téléphones fixe et portable de sa victime. Cette dernière s'était retrouvée assaillie d'appels lui proposant des relations sexuelles et même de l'argent, entre juin 2005 et juin 2006. La prévenue a expliqué avoir agi à cause de ce qui se racontait sur le compte de sa victime, et avoir commencé à «prendre les choses à coeur» quand l'ex-amie de son compagnon s'était mise à lui réclamer la restitution de meubles. Démasquée par l'adresse IP laissée par son ordinateur, elle a été condamnée par le tribunal correctionnel de Nancy à deux mois de prison avec sursis et à verser 600 euros de dommages et intérêts à sa victime. avec Agence

"Le Grand Journal" : Doria Tillier dénonce avec humour une usurpation d'identité sur Facebook Un internaute s'est fait passer pour la nouvelle Miss Météo du "Grand Journal de Canal+", Doria Tillier. La jeune femme a répliqué avec humour cet après-midi. "Le Grand Journal de Canal+" a multiplié les nouveautés pour sa rentrée. Parmi elles, une nouvelle Miss Météo. La production a fait appel à Doria Tillier pour remplacer Solweig Rediger-Lizlow, fortement critiquée sur les réseaux sociaux. "En plus d'usurper mon identité, l'auteur de ce compte fait d'atroces fautes d'orthographe" Au final, dès sa première prestation en Monica Bellucci, Doria Tillier a répondu aux attentes et su séduire les téléspectateurs. "Je m'aperçois qu'en plus d'usurper mon identité, l'auteur de ce compte fait d'atroces fautes d'orthographe. "Tu retireras la perruque brune et les talons aiguilles, et tu iras crier dans la rue (nu) : Je ne suis pas Doria Tillier !" "Oui !!

L’usurpation d’identité numérique | Pérégrinations juridiques "Article 8 de la CEDH.1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance." A l’heure des réseaux sociaux, et avec le développement de la communication en ligne, les cas d’usurpation d’identité ont changé de forme et s’opèrent désormais également sur internet. L’exemple le plus emblématique de cette usurpation d’identité numérique dans la jurisprudence demeure pour le moment l’affaire « Omar Sy » jugée par le Tribunal de Grande Instance de Paris, 17ème Chambre civile, le 24 novembre 2010. Faits.Une personne avait créé une page de profil facebook avec le nom, prénom, date de naissance et 6 photographies de l’acteur Omar Sy.De nombreuses personnes pensaient alors être en présence du vrai Omar Sy, l’ont ajouté comme « ami » et ont posté plusieurs commentaires à titre personnel. Le TGI de Paris (17e Chambre civile) a alors condamné l’usurpateur pour atteinte à la vie privée de l’acteur ainsi qu’à son droit à l’image. Like this:

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