LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX!
La diversité des personnalités et des comportements humains est le produit de la singularité du cerveau de chaque individu. Celle-ci se constitue d’abord à travers les premières étapes de la construction des circuits cérébraux, où des mécanismes intrinsèques mettent en place les circuits nerveux à l’origine d’une vaste palette de comportements instinctifs, que ce soit pour trouver de la nourriture, pour se défendre ou pour s’accoupler. Mais la construction du système nerveux des animaux, et donc aussi de l’être humain, est également influencée par l’expérience. Les interactions avec l’environnement produisent certains patterns d’activité nerveuse qui vont façonner les circuits cérébraux. Les périodes critiques sont un phénomène général que l’on retrouve dans plusieurs systèmes sensoriels. Au cours des premiers mois de leur vie, les nourrissons n’ont pas de prédispositions innées pour les phonèmes caractéristiques de telle ou telle langue.
Conscience (biologie)
En biologie, la conscience regroupe le sens de l'éveil, la connaissance de soi et la perception de l'environnement[1]. L'étude de ce phénomène a été longtemps négligée sur le plan scientifique, faute d'outils conceptuels et expérimentaux[2], tandis qu'il faisait l'objet d'intenses débats dans les domaines de la philosophie, de la métaphysique, de la religion et de la psychologie. En ce début du XXIe siècle, s'il n’existe pas encore d’explication complète de la conscience, les neurosciences commencent à décrypter le support biologique du phénomène de l'esprit, en particulier avec Antonio Damasio, qui montre dans son livre L'erreur de Descartes, que l'esprit et le corps fonctionnent de manière indissociable[3]. Dans les années 1980, les études du phénomène de la conscience concernaient surtout l'attention. Parmi les états de conscience, on peut distinguer des états normaux, des états altérés (par des maladies, des traumatismes...) et des états modifiés (par des psychotropes...).
La chaîne alimentaire : qui mange qui
29 août 2012 à 12:59 | par La rédac´ 32 32 commentaires Articles du dossier Articles de la même rubrique Version imprimable de l'article Partager Partager sur les réseaux sociaux Le web documentaire de la rentrée Pour vivre, les être vivants ont besoin de se nourrir. En t'identifiant sur le site, tu pourras accéder aux éléments suivants : Ajout des commentaires Si tu es abonné au magazine, tu pourras accéder aux éléments suivants : Texte du dossier
La conscience vue par les neurosciences
28 octobre 2008 par Jean-Paul Baquiast et Christophe Jacquemin [Dossier] La conscience vue par les neurosciences Sommaire Avant propos et Introduction Section 1. Avant-propos Depuis la création de cette revue, en 2000, nous avons présenté et largement commenté certains ouvrages scientifiques consacrés au fonctionnement du cerveau et aux fonctions dites cognitives [on trouvera en annexe de ce dossier la liste des articles correspondants]. Introduction Même si le sujet de la conscience est comme rappelé ci-dessus obscurci d'ambiguïtés philosophiques et religieuses, nous n'allons pas ici affirmer d'emblée que la conscience n'existe pas, ou bien qu'elle peut être réduite à des mécanismes neurologiques simples. Ceci admis, il serait tout aussi aberrant d'affirmer que le relief et les couleurs n'existent pas vraiment dans le monde extérieur qu'affirmer à l'inverse que les reliefs et les couleurs sont des propriétés ontologiques de ce monde, qu'il ne convient pas d'analyser. Section 1.
ôde au fromage, la plus belle invention depuis le soleil. | Alamain.info
Let’s talk about cheese, baby Let’s talk about you and me Let’s talk about all the good things And the bad things that may be Let’s talk about cheese Let’s talk about cheese Let’s talk about cheese Let’s talk about cheese Je ne vois pas de meilleure introduction. Donc c’est parti ! On partage la connaissance ? Like this: Like Loading...
La psychanalyse, Lacan et le sujet de l'inconscient, le parlêtre
La découverte freudienne de l'inconscient est tenue pour l'une des plus décisives avancées du XXème siècle. Sur quoi porte-t-elle qui soit radicalement novateur, quels sont ses développements contemporains, en quoi ses implications seront-elles déterminantes dans le siècle à venir pour le sujet moderne ? À côté de la raison du cogito et de la science positiviste, l'expérience subjective devient, selon une autre logique, articulable précisément. Qu'est-ce qui rend ces approches irrévocablement disjointes ? Qu'y a-t-il, au cœur de la réalité du sujet qui doive être exclu des préoccupations de la construction de la réalité objective pour qu'elle soit scientifique ? Il y a l'expérience subjective du désir, de l'angoisse, de la jouissance, indicateurs d'un réel non objectivable. Freud interroge : Comment l'être parlant traite-t-il la jouissance hétérogène au langage, " l'excédent de satisfaction sexuelle qui reste intraduit en représentations verbales "1 ? L'inconscient freudien 4 Cf.
Heuristiquement
L'inconscient, de la psychanalyse au cognitivisme - Jean-François Marmion, article Psychologie
L’inconscient constitue un objet d’étude à part entière. Dépeint autrefois comme une source de pulsions inquiétantes, on le considère aujourd’hui comme une sorte de pilote automatique. Si Sigmund Freud n’a pas inventé la notion d’inconscient, il est le premier à lui accorder la place centrale dans un édifice théorique. Le fondateur de la psychanalyse conçoit deux modèles successifs (ou « topiques ») de l’appareil psychique.