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CeRHeS Handicap et sexualité | Crips Ile-de-France CRIPS Informer • Prévenir • Former Île de France Newsletter Handicaps et sexualité La sexualité des personnes en situation de handicap est un sujet encore tabou, qui soulève de nombreuses questions voire des réticences dans la société en général, mais aussi dans l'entourage des personnes concernées ou chez les professionnels. Handicaps et sexualité Sommaire Ce dossier a pour objectif : de fournir des éléments de connaissance pour mieux aborder la question,de fournir des outils et ressources aux professionnels qui veulent mettre en place des actions d'éducation affective et sexuelle auprès de ce public. Documents de référence : Un article synthétique Sexualité et handicap : un défi social / VAGINAY D, in Journal des Psychologues (Le), n° 304 (février 2013). - pp 38-43 Un ouvrage Des Sexualités et des Handicaps. Un site Internet Dossier complémentaire Vie affective et sexuelle Handicap et sexualité : aspects législatifs Voir le dossier Partager © 2018 - Crips Ile-de-France Nous suivre

ARTICLES EN LIGNE >>> Sexualité des personnes handicapées mentales et risques liés aux M.S.T. I. Introduction II. De la difficile question de l'éducation sexuelle III. I. Comment les professionnels travaillant dans des structures pour personnes handicapées mentales se situent-ils face à l’émergence de désirs amoureux chez les personnes dont ils ont la charge ? Dans un tel contexte, les professionnels ont parfois bien du mal à déterminer une ligne de conduite cohérente et encore plus à exprimer ouvertement leurs craintes ou la confusion qui en résulte, surtout si la logique institutionnelle pèse sur les pratiques et que des impératifs économiques ou des résistances personnelles prennent le pas sur la réalité des faits. II. Malgré la vulnérabilité des personnes handicapées mentales à l’abus sexuel(2) et malgré l’incitation officielle à la mise en oeuvre d’actions de prévention du VIH (3) , l’évolution des mentalités et des pratiques demeure modeste pour cette population en dépit de la gravité d’une éventuelle contamination par le VIH ou de l’hépatite. III. IV.

Accompagnement sexuel : que dit le droit ? Depuis hier et jusqu’à dimanche 15 mars, se déroule la première formation d’accompagnants sexuels pour personnes en situation de handicap . Une initiative de l’Association pour la promotion de l’accompagnement sexuel (Appas ), basée à Erstein, près de Strasbourg. Cette formation accueille quinze stagiaires, neuf hommes et six femmes. Qu’en est-il du droit français sur le sujet ? Former des personnes à devenir des accompagnants sexuels est-il légal ? OUI – Au vu du programme fourni par les organisateurs expliquant comment il est possible d’exercer comme accompagnant sexuel (cadre légal, connaissances du handicap, mises en situation…), le Tribunal de grande instance de Strasbourg (TGI) a estimé, vendredi 6 mars, que la formation pouvait avoir lieu. L’activité enseignée est-elle autorisée ? OUI et NON – Cette activité n’existe officiellement pas en France car elle est assimilée à de la prostitution. Sur quels critères l’accompagnement sexuel est-il considéré comme de la prostitution ?

sexualité affectivité et handicap La stérilisation à visée contraceptive des majeurs protégés : éthique et règlementation | Espace ressources Protection juridique des majeurs Le respect de la vie affective et sexuelle des personnes sous mesure de protection a pour corollaire la réflexion autour de la contraception. Le sujet, intime et complexe, nécessite une bonne compréhension des enjeux et mécanismes de la procréation pour une mise en pratique efficace correspondant aux souhaits des personnes. L'altération des facultés mentales ou l'impossibilité d'exprimer sa volonté, conditions nécessaires à la mise en place d'une mesure de protection, peuvent rendre une contraception difficile et poser de nombreuses questions quant au respect de la liberté individuelle et à la protection des personnes vulnérables. Si des réponses médicales existent, elles nécessitent d'être mises en œuvre de façon prudente et concertée. Or la stérilisation à visée contraceptive ne peut être pratiquée que chez un majeur qui a exprimé une volonté libre, motivée et délibérée en considération d’une information claire et complète sur ses conséquences (article L2123-1 du CSP).

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