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L'Art d'avoir toujours raison

L'Art d'avoir toujours raison
Passages choisis 000815 [et de se faire détester de tous] par Schopenhauer Éditions mille et une nuits © 1983 Présentation Base De Toute Dialectique Base de toute dialectique Tout d'abord, l'essentiel de toute controverse est le fait qu'une thèse soit posée par l'adversaire (ou nous-mêmes, peu importe). 1)Les modes : a) ad rem b) ad hominem ou ex concessis c'est-à-dire que nous démontrons soit a) que cette thèse n'est pas en accord avec la nature des choses, la vérité objective absolue b) soit qu'elle contredit d'autres affirmations ou concessions de l'adversaire, c'est-à-dire la vérité subjective relative. 2) Les méthodes : a) réfutation directe b) et indirecte. a) La réfutation directe attaque la thèse dans ses fondements, b) l'indirecte dans ses conséquences. a) La directe démontre que la thèse n'est pas vraie, b) l'indirecte, qu'elle ne peut pas être vraie. Voilà la base de toute controverse. 1. Ex : Les Chinois... Les femmes... , les hommes... Les jeunes... Les homosexuels... 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Sophisme & Sophismes anti-libéraux Un sophisme est un argument, raisonnement qui apparaît comme rigoureux et logique, mais qui en réalité est faux, malgré une apparence de vérité. Exemple : Théorème : un chat a neuf queues. Comme on le voit ci-dessus, il peut prendre la forme d'un syllogisme. Dans l'Antiquité, le sophiste est un argumenteur dont le but n'est pas d'établir une vérité, mais de convaincre et de remporter la victoire au cours d'une discussion. Concepts proches le paralogisme, raisonnement faux malgré une apparence rigoureuse. Un sophisme donne souvent lieu à une illusion du côté de ceux qu'il trompe ; du côté des trompeurs, il est souvent mis en œuvre dans le cadre d'un "stratagème". Sophismes anti-libéraux Les critiques contre le libéralisme - entendons, celles qui sont malhonnêtes intellectuellement - reposent souvent sur une série de sophismes (voir le lien vers Bertrand Lemennicier qui en donne une liste assez complète). Sophismes étatistes Voir aussi biens publics, illusion, statolâtrie. Notes et références

Expérience de Asch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe[1]. Description de l'expérience[modifier | modifier le code] Exemple : la ligne de gauche est la ligne de référence ; les trois lignes de droite sont les lignes de comparaison. Solomon Asch invita un groupe d'étudiants (entre 7 et 9) de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision auquel avaient auparavant été soumis des sujets témoins qui n'eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Tous les participants étaient complices de l'expérimentateur, sauf un. Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d'affiches. Après l'annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Variantes[modifier | modifier le code]

Paralogisme sophisme et arguments fallacieux MAJ : 23 janvier 2004 Dernières entrées : Qui ne dit mot consent >Fausse superficialité > Vol de concept > Preuve d'un négatif> Accentuation Ce sophisme consiste à déplacer le sens d'une affirmation en changeant l'intonation. Citer quelqu'un hors de contexte est un exemple de cet argument fallacieux. Accident Ce sophisme consiste à appliquer une règle générale à un cas particulier dont les qualités "accidentelles" ou les circonstances rendent la règle inapplicable. Affirmation du conséquent Le syllogisme hypothétique "Si A alors B ; A est vrai ; donc B est vrai" est valide. Amphibologie L'amphibologie renvoie à une ambiguïté dans la construction grammaticale des prémisses. Crésus, le roi de Lydie, méditait une guerre contre le royaume de Perse. Baculum, argumentum ad- Invocation de la force. Beignets (argument fallacieux des -) Un forme de fausse dichotomie qui implique que les beignets soient répartis en deux catégories : les gros beignets et les beignets au sucre. Chat-qui-aboie 2. Composition

Documents : Rue89 publie le dossier Bettencourt censuré de Mediapart Patrice de Maistre rejoint son domicile et se protège des photographes avec son cartable, à Paris le 9 juillet 2010 (DR) La cour d’appel de Versailles, on le sait, a jugé illégale la publication, par Mediapart et Le Point, d’enregistrements réalisés au domicile de Liliane Bettencourt, à son insu. Le 15 juillet, l’ex-gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre, a signifié à Mediapart et au Point l’arrêt de la cour d’appel de Versailles, le rendant ainsi exécutoire dans un délai de huit jours. Nos confrères, qui ont décidé de se pourvoir en cassation, doivent ce lundi soir retirer tous les articles portant sur ces enregistrements réalisés par le majordome de la milliardaire. Mediapart ne nous a rien demandé : ils n’auraient de toute façon pas le droit de le faire. Voici donc, ci-dessous, l’intégralité des documents censurés sur décision de la cour d’appel. Patrice de Maistre fait signer des chèques à Liliane Bettencourt Cet extrait est plus édifiant encore.

Paralogisme Aristote distingue treize types de paralogismes dans son traité Réfutations sophistiques. Dans la Critique de la raison pure, Kant identifie les paralogismes comme étant des illusions de la raison. On peut distinguer deux types de paralogismes : les paralogismes formels et les paralogismes informels[2]. Le paralogisme formel est un syllogisme erroné. La traduction en français du terme anglais fallacy[3] pose question car bien que pouvant être traduit par sophisme, le terme englobe aussi le paralogisme, lequel est involontaire[4]. Paralogismes formels[modifier | modifier le code] En mésusant de la structure générale du syllogisme, on peut former les paralogismes formels décrits dans cette section. Un syllogisme peut se résumer de la manière suivante : En logique formelle, il s'agit simplement de la transitivité de la relation d'implication : si C ⇒ A et A ⇒ B, alors C ⇒ B (conclusion). (On a ici inversé l'ordre de la 1re et de la 2e prémisse.) Exemple d'un syllogisme célèbre :

Sophisme - Paralogisme : pétition de principe et classement des sophismes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une pétition de principe (en latin scolastique petitio principii) est, en logique, un raisonnement fallacieux dans lequel on suppose dans les prémisses de la proposition ce qu'on doit prouver. Le locuteur utilise ainsi, comme un élément de son argumentation, la conclusion à laquelle il souhaite aboutir. Dès lors, la conclusion de la pétition de principe se confond avec tout ou partie des prémisses. L'argument circulaire est une pétition de principe particulière. Exemples[modifier | modifier le code] Parmi les arguments sur l'existence de Dieu, celui de la Révélation est une pétition de principe, l'existence de Dieu est prouvée par l'existence de sa parole qui l'implique déjà[1]. Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sophisme - Paralogisme : Non sequitur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Non sequitur signifie, en latin, « qui ne suit pas les prémisses ». En logique formelle, un argument est un non sequitur si la conclusion ne suit pas les prémisses. Le terme de non sequitur a une application spéciale en droit, sous une définition juridique formelle. Sophisme[modifier | modifier le code] Le non sequitur peut désigner un sophisme. Dans ce cas, le non sequitur est issu d'erreurs sur la notion logique d'implication (ou condition suffisante). L'erreur de raisonnement (voulue ou non par son auteur) fait donner à cette implication plus de force qu'elle n'en a réellement, en lui attribuant par erreur la force d'une équivalence ou condition nécessaire et suffisante. Formalisme[modifier | modifier le code] Le non sequitur peut s'exprimer sous les formes suivantes : Si A est vraie, alors B est vraie.B est vraie.Donc, A doit être vraie. Exemple : Si je suis à Tokyo (A), alors je suis au Japon (B).Je suis au Japon.Donc, je dois être à Tokyo.

Sophisme - Paralogisme : affirmation d'une disjonction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le raisonnement fallacieux de l'affirmation de la disjonction peut apparaître lors d'un syllogisme disjonctif quand un argument prend la forme : disjonction : Soit A ou Bterme moyen (affirmation) : Aconclusion : Alors non B Explication[modifier | modifier le code] La faute consiste à conclure que B doit être fausse car A est vraie ; en réalité B peut également être vraie. Le véritable syllogisme disjonctif est basé sur le fait que la prémisse mineure est fausse et entraîne la véracité de la conclusion. Si le ou est exclusif (C'est-à-dire s'il interdit une vérité conjointe des deux propositions »), alors le raisonnement est valide. Exemples[modifier | modifier le code] Exemple d'une affirmation fausse[modifier | modifier le code] disjonction : Demain le soleil brillera ou il y aura de la pluie.terme moyen : La météo indique qu'il va pleuvoir demain.conclusion : Donc, le soleil ne brillera pas demain. En revanche le syllogisme suivant est valide :

Sophisme - Paralogisme : appel à l'ignorance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'appel à l'ignorance (argumentum ad ignorantiam) est un raisonnement fallacieux dans lequel une proposition est déclarée vraie parce qu'elle n'a pas été démontrée fausse[1] (ou vice versa[N 2]). C’est une sorte de faux dilemme[2]. Ce sophisme peut être utilisé comme rationalisation d'idées irréfutables. L'appel à l'ignorance est fortement lié au renversement de la charge de la preuve, avec lequel il est souvent confondu[2],[3]. Exemples[modifier | modifier le code] Variantes[modifier | modifier le code] Lorsqu'on a démontré qu'une chose est impossible : « Vous n'en savez rien ! Lorsqu'on invoque le passé : « Qu'est-ce que vous en savez, vous y étiez peut-être ? Notes et références[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] (en) Irving M. Articles connexes[modifier | modifier le code]

Paralogisme Sophisme : Généralisation hâtive - Sweeping Generalization by Hans Bluedorn "Statistics are no substitute for judgment" ? Henry Clay "He uses statistics as a drunken man uses lamp-posts ? for support rather than illumination." ? "Statistical averages are one part truth and two parts lies ? Sweeping Generalization The proper interpretation of a statistic can be a very elusive task and it is not uncommon, in such a deceptive field, to find a fallacy poking its head from behind the protective percentages. Below, such an instance can be seen "in action." From the "Handgun Control Incorporated" (HCI) website: "Does a gun in the home make you safer? For the sake of brevity I will assume the research that resulted in this statistic was carried out in a scrupulous way. (However, I have heard from various quarters that there were unscrupulous methods used to arrive at this particular "22 times more likely" number. What I am concerned with is the conclusions the people at Handgun Control draw from this number: "Does a gun in the home make you safer? 1. Ex.

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