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Commerce

Commerce
Le commerce moderne, s'inspirant de méthodes industrielles, après avoir engendré les supermarchés et hypermarchés, et les centres commerciaux a produit un véritable « urbanisme commercial » dédié. Un petit commerce d'alimentation générale. Le commerce désigne l'activité économique d'achat et de revente de biens et de services[1], en particulier l'achat dans le but de revendre avec un profit ou un bénéfice[2]. Le commerce a ses lois propres qui sont recueillies dans les Code de commerce et ses propres juridictions nationales ou internationales. Ayant d'autres finalités que de faire un profit, beaucoup d'activités économiques ou professionnelles comme l'éducation, la police, la culture, la médecine, la justice, l'architecture, la religion, etc. ne relèvent pas du domaine du commerce, mais des lois et des tribunaux civils ou administratif. Il résulte du mouvement de spécialisation croissante qui affecte les sociétés humaines : Histoire du commerce[modifier | modifier le code] Centre commercial

Géométrie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis la fin du XVIIIe siècle, la géométrie étudie également les figures appartenant à d'autres types d'espaces (géométrie projective, géométrie non euclidienne, par exemple). Enfin, depuis le début du XXe siècle, certaines méthodes d'étude de figures de ces espaces se sont transformées en branches autonomes des mathématiques : topologie, géométrie différentielle, et géométrie algébrique, par exemple. Si on veut englober toutes ces acceptions, il est difficile de définir ce qu'est, aujourd'hui, la géométrie. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme géométrie dérive du grec de γεωμέτρης (geômetrês) qui signifie « géomètre, arpenteur » et vient de γῆ (gê) (« terre ») et μέτρον (métron) « mesure »). Grandes divisions de la géométrie[modifier | modifier le code] Géométrie classique[modifier | modifier le code] Par ailleurs, la géométrie classique peut être axiomatisée ou étudiée de différentes façons. Histoire[modifier | modifier le code] de

Monothéisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue de la cour de la Grande Mosquée de Kairouan. Datant, dans sa forme actuelle du IXe siècle, c'est l'un des édifices religieux les plus anciens et les mieux préservés de l'islam, troisième religion monothéiste. Un monothéisme (du grec μονός [monos], « seul, unique » et θεός [theos], « dieu ») est une religion qui affirme l'existence d'un Dieu unique et la transcendance de Dieu, créateur du monde. Quand une religion conçoit une divinité nationale[1] comme simplement supérieure à d'autres, on parle plutôt de « monolâtrie » ou d'« hénothéisme », termes de création récente, types de polythéisme. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme de « monothéisme » est de création relativement récente même s'il peut aujourd'hui sembler aller de soi, pour un concept qui demeure « difficile à penser »[2]. Cet antagonisme inclusif/exclusif de la notion de monothéisme se trouve déjà dans les textes bibliques[4]. Monolâtrisme[modifier | modifier le code]

Pédagogie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie (du grec παιδαγωγία, direction ou éducation des enfants[1]) désigne l'art de l'éducation. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement et d'éducation ainsi que toutes les qualités requises pour transmettre une connaissance, un savoir ou un savoir-faire. Plus généralement, l'expression « Faire preuve de pédagogie » signifie l'aptitude à enseigner et à transmettre à un individu ou un groupe d'individus — de tous âges et de toutes conditions — un savoir ou une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée. Définitions[modifier | modifier le code] Le mot « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία, de παιδός (/'paɪdɔr/), « l'enfant », et ἄγω (/'a.gɔ/), « conduire, mener, accompagner, élever ». Émile Durkheim : la pédagogie est une "réflexion appliquée aussi méthodiquement que possible aux choses de l'éducation" (L'évolution pédagogique en France, Paris, PUF, 1938, p. 10).

Monnaie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monnaie est définie par Aristote[1] par trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. Depuis la suppression de toute référence à des matières précieuses et la dématérialisation des supports monétaires, et après l’intervention des économistes « nominalistes »[2], les aspects légaux de l'usage de la monnaie (et notamment les droits juridiques qui sont attachés au cours légal et au pouvoir libératoire) sont plus apparents. Ces droits sont fixés par l’État et font de la monnaie une institution constitutionnelle en de multiples pays. La monnaie est l'instrument de paiement en vigueur en un lieu et à une époque donnée : du fait de la loi : on parle de cours légaldu fait des usages : les agents économiques l'acceptent en règlement d’un achat, d’une prestation ou d'une dette. La monnaie est censée remplir trois fonctions principales : Histoire[modifier | modifier le code] Usages[modifier | modifier le code] Notes

Métropole Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Dans la Grèce antique, la métropole est la « cité mère » par rapport à ses colonies, puis dans la Rome antique la capitale administrative d’une province. Dans l’administration religieuse (notamment chrétienne), une métropole est un chef-lieu d’une région[4], celui d'une province ecclésiastique où siège l'archevêque métropolitain pour les catholiques, celui où siège le métropolite pour les orthodoxes. De nos jours, les métropoles orthodoxes sont des juridictions[Note 1]. Lyon est une métropole ecclésiastique[5] et régionale[6]. La métropole comme pôle urbain[modifier | modifier le code] On peut considérer comme métropole une ville : concentrant une population relativement importante donc plus de 3 000 000 d'habitants en ce qui concerne les métropoles de rayonnement international. Échelle mondiale[modifier | modifier le code] Les grandes métropoles de l'Union européenne (LUZ - Eurostat) P.

État Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nicolas Machiavel fut un des premiers à faire usage du mot stato dans le sens d'« unité politique d’un peuple qui le double et peut survivre aux allées et venues non seulement des gouvernements mais aussi des formes de gouvernement ». La nation quant à elle ne se confond pas non plus avec l’État sauf dans le modèle de l’État-nation. Étymologie[modifier | modifier le code] État vient du latin status, dérivé du verbe stare qui signifie au sens premier « se tenir debout », et au sens figuré « la position[4]. » Le mot « État » apparaît dans les langues européennes dans son acception moderne au tournant des XVe et XVIe siècles. Éléments constitutifs entendu au sens de pays[modifier | modifier le code] Pour qu'un État soit reconnu internationalement (selon les termes de la convention de Montevideo) quatre caractéristiques constitutives doivent être constatées de manière évidente : Territoire délimité et déterminé[modifier | modifier le code]

Droit Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Allégorie de la justice. Le droit est « l'ensemble des règles qui régissent la conduite de l'homme en société, les rapports sociaux. »[1], ou de façon plus complète, « l'ensemble des règles imposées aux membres d'une société pour que leurs rapports sociaux échappent à l'arbitraire et à la violence des individus et soient conformes à l'éthique dominante »[2]. Ces règles abstraites et obligatoires indiquent ce qui « doit être fait », les « droits et devoirs » qui incombent aux citoyens d'une société donnée. que la source du droit soit reconnue et acceptée comme légitimeque l'énoncé de la loi soit connu de tous, ce qui implique qu'il fasse l'objet d'une large publication ou d'une accessibilité certaine. Les sources primaires du droit[modifier | modifier le code] L'expression sources du droit renvoie à toutes les forces et données morales, économiques, sociales, politiques à l'origine du droit. Droit et société[modifier | modifier le code]

Ville Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une ville est un milieu physique où se concentre une forte population humaine, et dont l'espace est aménagé pour faciliter et concentrer ses activités : habitat, commerce, industrie, éducation, politique, culture, etc. Les principes qui régissent la structure et l'organisation de la ville sont étudiés par la sociologie urbaine, l'urbanisme ou encore l'économie urbaine. L'ONU estime que 2008 est l'année où pour la première fois, de l'histoire connue, plus de la moitié des humains résident dans une ville[1]. Définition selon les pays[modifier | modifier le code] Selon les pays et le contexte (statistique, géographie, sociologie, etc.), le mot « ville » recouvre différentes acceptions : Histoire[modifier | modifier le code] Apparition des villes[modifier | modifier le code] Les villes apparaissent entre 3500 et 1500 av. La symbolique de la création de la ville[modifier | modifier le code] Définitions[modifier | modifier le code]

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