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NOAA El Niño: Research, Forecasts and Observations

NOAA El Niño: Research, Forecasts and Observations

Les réfugiés environnementaux 1Pour paraphraser une formule célèbre, on peut parier que “le xxie siècle sera environnemental ou ne sera pas”. Même si l’échec retentissant de la conférence de Copenhague de décembre 2009, échec prolongé par le peu de résultats obtenus à Cancun en 2010 et la timide avancée apportée par la conférence de Durban de décembre 2011, en a, pour l’heure, ajourné la naissance. Les controverses autour des expertises du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) ont jeté le trouble sur la crédibilité des thèses du réchauffement climatique. 1 Voir Christel Cournil, Catherine Colard-Fabregoule (dir.), Changements climatiques et défis du droi (...) 2Les indices se multiplient pourtant et rendent chaque jour un peu plus défendables les thèses du dérèglement climatique. 4La première conférence des Nations unies sur l’environnement se tient à Stockholm en 1972. 5 François Gemenne, interview réalisée par Samuel Ledoux, le 5 janvier 2009, pour Réflexions, le site (...) 20 M.

PMEL/TAO: The El Niño story Among these consequences are increased rainfall across the southern tier of the US and in Peru, which has caused destructive flooding, and drought in the West Pacific, sometimes associated with devastating brush fires in Australia. Observations of conditions in the tropical Pacific are considered essential for the prediction of short term (a few months to 1 year) climate variations. To provide necessary data, NOAA operates a network of buoys which measure temperature, currents and winds in the equatorial band. These buoys daily transmit data which are available to researchers and forecasters around the world in real time. In normal, non-El Niño conditions (top panel of schematic diagram), the trade winds blow towards the west across the tropical Pac:ific. The sea surface temperature is about 8 degrees C higher in the west, with cool temperatures off South America, due to an upwelling of cold water from deeper levels. December 1998 was a strong La Niña (cold) event. Hayes, S.P., L.J.

Pour un prix du carbone équitable et progressif LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Thomas Porcher (Economiste de l’énergie et auteur du livre "20 idées reçues sur l’énergie" (éd. De Boeck, juin 2015)), Thomas Stocker (Professeur de physique climatique à l’université de Berne (Suisse) et co-président du groupe « Sciences » du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)) et Raphaël-Homayoun Boroumand (Economiste de l’énergie et auteur du livre "20 idées reçues sur l’énergie" (éd. De Boeck, juin 2015)) La fixation d’une tarification du carbone à l’issue de la COP21, la conférence des Nations unies sur les changements climatiques qui se tient à Paris du 30 novembre au 11 décembre, est inéluctable pour atteindre l’objectif de limitation du réchauffement climatique à 2 °C. A ce titre, plusieurs mécanismes ont fait l’objet de réflexions, comme un marché international du carbone ou encore une taxe carbone. Lire aussi : Climat : le débat entre économistes s’échauffe Vision binaire et obsolète Investir

Humboldt Current The Humboldt Current is a cold, low-salinity ocean current that flows north along the west coast of South America from the southern tip of Chile to northern Peru. Also called the Peru Current, it is an eastern boundary current flowing in the direction of the equator, and can extend 1,000 kilometers offshore. The Humboldt Current Large Marine Ecosystem (LME), named after the Prussian naturalist Alexander von Humboldt, is one of the major upwelling systems of the world, supporting an extraordinary abundance of marine life. The Humboldt Current LME is considered a Class I, highly productive (>300 gC/m2-yr), ecosystem. The presence of the Humboldt Current and its associated wind shear[1] prevents the formation of tropical cyclones in the area (The same effect occurs in the South Atlantic with the Benguela Current). Periodically, the upwelling that drives the system’s productivity is disrupted by the El Niño-Southern Oscillation (ENSO) event. See also[edit] References[edit]

Les réfugiés climatiques trois fois plus nombreux que les réfugiés de guerre INFOGRAPHIE - Un rapport publié mercredi indique que 22 millions de personnes ont dû fuir leurs foyers pour des raisons climatiques en 2013. Le problème des réfugiés climatiques pourrait bien être le défi majeur du XXIème siècle. D'après le rapport annuel Global Estimates du Conseil norvégien pour les réfugiés publié mercredi, 22 millions de personnes ont dû abandonner leur domicile en 2013 à la suite d'une catastrophe naturelle, soit trois fois plus que de personnes déplacées à cause d'un conflit. Sur ces 22 millions, 31% ont été déplacées à cause de désastres hydrologiques (inondations) et 69% à cause de catastrophes météorologiques (tempêtes, ouragans, typhons). L'Asie, région du monde de loin la plus touchée Si aucune région du monde n'est épargnée, l'Asie reste de loin la plus touchée avec 19 millions de déplacés à cause d'inondations, de tempêtes ou de séismes. «Une tendance indubitablement liée au réchauffement climatique» Quelles solutions?

Humboldt Current large marine ecosystem Introduction Location of the Humbolt Current Large Marine Ecosystem. (Source: NOAA) The Humboldt Current Large Marine Ecosystem (LME) extends along the West Coast of South America from Northern Peru to the southern tip of Chile. It is one of the major upwelling systems of the world, responsible for extremely high levels of organic production. Productivity The Humboldt Current LME is considered a Class I, highly productive (>300 gC/m2-yr), ecosystem. Fish and Fisheries Catch by species in the Humboldt Current Large Marine Ecosystem. Approximately 18-20% of the world’s fish catch comes from the Humboldt Current Large Marine Ecosystem. Pollution and Ecosystem Health ENSO events occur regularly. Socio-economic Conditions Both Chile and Peru rely on their fisheries resources. Governance Peru and Chile, the countries bordering this LME, have established regional cooperation for management of this LME. References Alheit, J. 1985. Citation (2008).

Pourquoi le niveau de la mer monte ? Les scientifiques annoncent que le niveau des océans devrait s’élever de 18 à 59 cm d’ici 2100 du fait du réchauffement climatique. Il y a deux raisons à cela : la fonte des glaciers continentaux et la dilatation thermique des océans. Le premier phénomène est le plus intuitif. Si l’élévation des températures provoque la fonte de la glace située sur les continents (calotte polaire antarctique, glaciers alpins, andins, etc.), l’eau piégée dans cette glace va se retrouver dans les océans. L’augmentation du volume d’eau entraînera mécaniquement une hausse du niveau de la mer. Plusieurs causes peuvent expliquer la hausse du niveau des mers. A titre d’exemple, si toute la glace de l’Antarctique et du Groenland fondait, le niveau des océans augmenterait de 70 mètres ! Pourtant, la fonte des glaces n’est pas le principal facteur de la montée des eaux. C’est ce qui arrive aux océans dont la température augmente avec le réchauffement climatique. À voir aussi sur Internet Sur le même sujet

Les Etats-Unis, eux aussi, ont leurs premiers réfugiés climatiques - Île de Jean Charles (États-Unis), reportage Encerclé par les marais, harassé par la chaleur suintante du mois d’août, il se remémore ses balades au cœur d’une forêt luxuriante et la floraison des figuiers et pommiers qui bordaient sa maison. Il déplore le spectacle tout en contraste qu’offre aujourd’hui sa terre natale : la brousse et la mousse espagnole, plante grise en forme de cheveux ruisselants jusqu’au sol, côtoient les arbres morts aux branches noires pointues, à l’allure calcinée. Albert Naquin, dit « White Buffalo », est le chef de la tribu indienne Biloxi-Chitimacha-Choctaw, arrivée sur l’île de Jean Charles, à l’extrême sud de la Louisiane, dans les années 1830. Albert Naquin Cet homme fougueux de 68 ans, à la peau ambrée marquée par l’âge, se bat depuis plusieurs décennies pour la survivance de sa communauté et du lieu de son enfance, et ce, sans jamais perdre son sourire communicatif. « On se désagrège peu à peu » « On a pratiquement tout perdu : notre île, notre unité.

Quatre idées reçues sur les réfugiés climatiques Ils habitent loin, ils traversent les frontières, ils vont envahir les pays du Nord... A l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, vendredi 5 juin, francetv info se penche sur la question des réfugiés climatiques et met à mal quatre idées reçues. 1Ils vivent dans les pays du Sud Non, pas seulement. L’Afrique et l’Asie sont effectivement particulièrement touchées. Les îles du Pacifique également. Il y a aussi des déplacés environnementaux dans des zones tempérées. De façon plus générale, nous avons l’habitude de penser les réfugiés environnementaux comme des personnes qui vivent loin de nos frontières ou qui sont étrangères. 2Ils vont envahir les pays occidentaux La plupart du temps, les personnes qui sont contraintes de déménager à cause de contraintes environnementales préfèrent rester près de chez elle. 3Ils sont les premiers réfugiés climatiques de l'histoire Ces personnes sont-elles pour autant les premières menacées par le climat ?

Ioane Teitiota n’a pas obtenu le statut de premier réfugié climatique de la planète Un père de famille originaire d’un archipel du Pacifique menacé par la montée des eaux devrait être expulsé vers son pays après avoir été débouté par la justice néo-zélandaise de sa demande d’asile climatique. Ioane Teitiota, 38 ans, réclamait le statut de réfugié au motif que lui, sa femme et leurs trois enfants, tous nés en Nouvelle-Zélande, couraient un péril mortel aux Kiribati. Des zones entières de l’archipel, une trentaine d’atolls coralliens dont la plupart dépassent à peine le niveau de l’eau, sont de fait régulièrement envahies par l’océan. L’érosion grignote les rivages, et les récoltes s’appauvrissent en raison de l’infiltration d’eau salée dans les réserves d’eau douce. Des « défis », pas de « grave danger » Confirmant les rejets prononcés en première instance et en appel, la Cour suprême néo-zélandaise a statué que le requérant ne répondait pas aux critères d’octroi du statut de réfugié, lequel doit être menacé de persécution dans son pays natal, selon l’ONU.

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