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Conférence Isègoria : Bernard Stiegler

Conférence Isègoria : Bernard Stiegler

Regarde le capitalisme tomber à l'ère de la production Open Source « Le logiciel libre, l’innovation partagée et la production collaborative menacent le capitalisme tel que nous le connaissons. » C’est ainsi que Michel Bauwens résume son propos dans les colonnes du site d’Aljazeera. Le menace vient du fait qu’à l’aide d’Internet nous créons beaucoup plus de valeur d’usage (qui répond à nos besoins) que de valeur d’échange (qui se monétise facilement[1] Menace pour les uns, opportunité et espoir pour les autres… La question à 100 milliards de dollars de Facebook : Le capitalisme survivra-t-il à « l’abondance de valeur » ? The $100bn Facebook question: Will capitalism survive ‘value abundance’? Michel Bauwens - 29 février 2012 - Aljazeera (Traduction Framalang/Twitter/Fhimt.com : Lambda, vg, goofy, fcharton, btreguier, HgO, Martin, bu, pvincent, bousty, pvincent, deor, cdddm, C4lin, Lamessen et 2 anonymous) Le logiciel libre, l’innovation partagée et la production collaborative menacent le capitalisme tel que nous le connaissons. Ce débat n’est pas nouveau.

Why we need Open, Hackable Materials now – An Interview with Catarina Mota (Italian translation of the post follows here – La traduzione in italiano è disponibile qui) Catarina a TED Global 2012 I had the opportunity to get in touch with Catarina Mota recently, while I was helping my friends at openpPicus, to connect with the Open Source Hardware Association. She is, no doubt, amongst the most eminent representatives of the Hacking movement. To me, it’s extremely impressive though how one of the leaders of this revolution is coming right from outside the technological world and actually has a communication sciences and film college background. When I asked her to tell me a brief recap of her experience of hacking, she gave a really insightful and detailed story. Catarina’s first contacts with electronics and programming was at ITP-NYU in 1998: “ITP classes taught us how to get started, but most of the actual project development took place after class when students got together with both teachers and fellow students to figure out how to make things.

Mesures de R. Stallman pour une politique publique de promotion du logiciel libre La « timidité » des pouvoirs publics vis-à-vis du logiciel libre est quelque chose qui en 2012 défie le bon sens. Comme d’habitude avec Richard Stallman[1] c’est du sans concession mais je me prends à rêver que tous les candidats aux futures élections approuvent ces mesures et s’engagent en signant en bas de la page… Au delà de ce crucial sujet de fond, ce billet a deux autres intentions. Rappeler l’existence du site Gnu.org qui accueille entre autres les écrits de Richard Stallman et de la Free Software Foundation et qui réalise un gros travail de traduction. Appeler à participer à la campagne de soutien dont il ne manque plus grand chose pour atteindre l’objectif fixé. Mesures à la portée des gouvernements pour promouvoir le logiciel libre URL d’origine du document Richard Stallman - GNU.org - version du 06 janvier 2012Licence Creative Commons By-Nd La mission de l’État est d’organiser la société avec pour objectif la liberté et le bien-être du peuple.

L’avenir de l’industrie est-il dans l’open source Les signaux s’accumulent. L’industrie « traditionnelle » serait de plus en plus tentée par l’open source. C’était déjà le cas dans l’électronique, avec notamment la carte Arduino. Les fabricants n’ont pas accès aux meilleures des techniques pour les sécuriser, avance l’article. L’automobile aussi s’y met. Et c’est sans parler des FabLab, ces ateliers de fabrications open source à partir de fichier numérique, qui séduisent de plus en plus d’entreprises. C’est en tout cas la voie la plus prometteuse pour conquérir les nouveaux secteurs du numérique : énergie, ville, santé, robotique… A suivre.

Dans le berceau du hacking Mothership HackerMoms est un hackerspace d'un genre nouveau : ils accueillent les mamans et enfants, y compris des bébés. De quoi redonner du baume au cœur à celles qui se désespèrent à l'idée de mettre une croix sur leur vie créative les premières années de la vie de leur enfant. Crèche, nom féminin, XXe siècle : lieu d’accueil pour enfants, âgés de deux ou trois mois jusqu’à 3 ou 4 ans dans un cadre spécialement conçu pour les tout-petits. [Source Wikipedia]Mothership HackerMoms, nom masculin, XXIe siècle : hackerspace-crèche accueillant des mamans ET leurs enfants. Elles peuvent s’adonner à la bidouille créative au son des gazouillis des marmots. Créée en 2011 en Californie, Mothership HackerMoms (MSHM) n’a pas déquivalent. J’ai commencé HackerMoms l’année dernière quand mon mari était soigné pour un cancer et que je venais d’accoucher de mon second enfant. Sortir de l’isolement De quoi rassurer la grand-mère de Samantha, une des co-fondatrices : Du code à la restauration de meubles

Do it yourself and save: Open-source revolution is driving down the cost of doing science Public release date: 13-Sep-2012 [ Print | E-mail Share ] [ Close Window ] Contact: Marcia Goodrichmtunews@mtu.edu 906-487-2343Michigan Technological University The DIY movement has vaulted from the home to the research lab, and it's driven by the same motives: saving tons of money and getting precisely what you want. It's spawning a revolution, says Joshua Pearce. Three converging forces, all open source, are behind this sea change, he explains in an article in the Sept. 13 issue of Science: software, 3D printers and microcontrollers. The open-source Arduino microcontroller is key. Here's how it works. 3D printers make stuff by laying down sub-millimeter-thick layers of plastic one after another in a specific pattern. The Arduino controls the process, telling the printer to make anything from toy trains to a lab jack. Lab jacks raise and lower optical equipment and aren't radically different from the jacks that raise and lower your car, except that they are more precise. [ Print | E-mail

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