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Cyberpunk

Cyberpunk
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Centre Sony à Berlin, décrit comme un exemple réel de lieu cyberpunk par David Suzuki[1]. Le cyberpunk (association des mots cybernétique et punk) est un genre de la science-fiction très apparenté à la dystopie et à la hard science-fiction. Il met souvent en scène un futur proche, avec une société technologiquement avancée (notamment pour les technologies de l'information et la cybernétique). « Le courant cyberpunk provient d'un univers où le dingue d'informatique et le rocker se rejoignent, d'un bouillon de culture où les tortillements des chaînes génétiques s'imbriquent. » — Bruce Sterling Les mondes cyberpunks sont empreints de violence et de pessimisme ; ils sont souvent lugubres, parfois ironiquement grinçants; les personnages sont des antihéros désabusés, cyniques et cupides. Thématiques[modifier | modifier le code] Neuromancien de William Gibson est le roman canonique du genre [2]. Futur proche[modifier | modifier le code] Related:  `test 1014

Uchronie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la fiction, l’uchronie est un genre qui repose sur le principe de la réécriture de l’Histoire à partir de la modification d’un événement du passé. « Uchronie » est un néologisme du XIXe siècle fondé sur le modèle d’utopie, avec un « u » négatif et « chronos » (temps) : étymologiquement, le mot désigne donc un « non-temps », un temps qui n’existe pas. On utilise également l’anglicisme « histoire alternative »[1] (alternate history). L'histoire contrefactuelle et l'uchronie se distinguent par la prééminence donnée soit à l'événement déclencheur (histoire contrefactuelle), soit à ses suites fictives (uchronie). Lorsqu’elle est associée à des moyens techniques qui permettent de remonter dans le temps et donc de modifier le passé, l’uchronie est directement associée au genre de la science-fiction. Étymologie[modifier | modifier le code] Définition[modifier | modifier le code] Le mot « uchronie » est absent de la plupart des dictionnaires.

amazon Hard science-fiction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Science-fiction.In Selenocentric Orbit d'Alexey Leonov et Andrey Sokolov (1931–2007). Détrempe, papier. 1966–1967[1].Le timbre de l'Union soviétique, 4 kopecks, 20 octobre 1967, catalogue CPA n° 3545, Michel n° 3403, Scott n° 3382, Yvert n° 3282. Papier couché. Caractéristiques[modifier | modifier le code] L'adjectif hard (dur en anglais) fait références aux sciences « dures » (en opposition aux sciences humaines et sociales, désignées comme « molles »). La hard SF est caractérisée par son exigence forte de cohérence interne[1] ainsi que, souvent, par un intérêt pour les détails scientifiques et techniques. Les héros de la Hard Science sont souvent mis de côté, le plus important étant les sciences. L’histoire se déroule dans une époque plus avancée scientifiquement que celle de la création de l'œuvre, donc souvent dans le futur. Auteurs et œuvres de hard SF[modifier | modifier le code] Orientations[modifier | modifier le code]

Cypherpunk Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les cypherpunks (mot-valise composé à partir des mots anglais cipher (chiffrement) et punk sur le modèle de cyberpunk) forment un groupe informel de personnes intéressées par la cryptographie. Leur objectif est d'assurer le respect de la vie privée par l'utilisation proactive de la cryptographie. Le terme cypherpunk a été inventé par Jude Milhon, se voulant un jeu de mot pour décrire des cyberpunks qui avaient recours à la cryptographie. Cypherpunk, cypherpunks ou cpunks sont aussi le couple login/mot de passe de comptes créés sur des sites web requérant un enregistrement. Parmi les cypherpunks figurent certaines figures de l'industrie informatique : Quelques cypherpunks célèbres[modifier | modifier le code] Source[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Serveurs Cypherpunk Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

William Gibson Pour l’article homonyme, voir Gibson. Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Sa mère a beaucoup de mal à l'élever seule. En 1966, sa mère meurt à son tour. En 1968, il s'enfuit au Canada pour éviter d'être envoyé au Viêt Nam et s'installe en 1972 à Vancouver. Désillusion, défiance du capitalisme, constat d'échec patent de la Contre-Culture, tout cela va l'entrainer vers une fiction sombre, en accord avec sa vision du monde. William Gibson le 27 septembre 2004. Constatant une certaine cohérence dans les thématiques, ce mouvement informel va prendre, sous la plume des critiques de l'époque, et notamment de Gardner R. C'est Gibson, avec Neuromancien, qui décroche le premier un immense succès littéraire. No Maps for These Territories, un documentaire de Mark Neale, centré sur la vision du monde de William Gibson, a inauguré le XXIe siècle, au Festival international du film de Vancouver, en octobre 2000. Citations de l'auteur[modifier | modifier le code]

Voyage dans le temps Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le voyage dans le temps est un des grands thèmes de la science-fiction, au point d’être considéré comme un genre à part entière. L’idée d’aller revivre le passé ou de découvrir à l’avance le futur est un rêve humain causé par le fait que l’être humain avance dans le temps de manière permanente, mais irréversible (et, à l’état de veille, apparemment de façon linéaire). La première mention d’un voyage dans le temps serait le personnage de Merlin l’Enchanteur dans le cycle arthurien des Chevaliers de la Table ronde, qui visitait les temps passés. Les physiciens et les philosophes, tout autant que les auteurs de science-fiction, s’intéressent au voyage dans le temps, aux effets théoriques des voyages à la vitesse de la lumière et aux paradoxes logiques qui naîtraient d’un voyage dans le temps. Voyage dans le sens direct[modifier | modifier le code] Cependant, cet effet permet le « voyage dans le temps » seulement vers le futur.

Mozart en verres miroirs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mozart en verres miroirs (titre original : Mirrorshades: A Cyberpunk Anthology[1]) est une anthologie de nouvelles de style cyberpunk proposée par Bruce Sterling. Elle est parue en 1986 aux États-Unis et en France en 1987 aux éditions Denoël, collection Présence du futur[2]. Anthologie de nouvelles[modifier | modifier le code] Mozart en verres miroirs regroupe douze nouvelles : Le Continuum Gernsback ; William Gibson ;Des yeux de serpent ; Tom Maddox ;Rock toujours — Pat Cadigan ;Les Mésaventures de Houdini — Rudy Rucker ;Les 400 — Marc Laidlaw ;Solstice — James Patrick Kelly ;Petra — Greg Bear ;Le Jour où des voix humaines nous éveilleront — Lewis Shiner ;Freezone — John Shirley ;Pierre vit — Paul Di Filippo ;Étoile rouge, orbite gelée — Bruce Sterling et William Gibson ;Mozart en verres miroirs — Bruce Sterling et Lewis Shiner. Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de la science-fiction

Guerre et Paix Neuvième brouillon du début de Guerre et Paix en 1864. Publié en feuilleton entre 1865 et 1869 dans Le Messager russe, ce livre narre l’histoire de la Russie à l’époque de Napoléon Ier, notamment la campagne de Russie en 1812. Léon Tolstoï y développe une théorie fataliste de l’histoire, où le libre arbitre n’a qu’une importance mineure et où tous les événements n’obéissent qu’à un déterminisme historique inéluctable. Dès sa publication, Guerre et Paix fut un immense succès. Guerre et Paix a engendré un nouveau genre de fiction, et a cassé de si nombreux codes du roman de son époque, que de nombreux critiques contemporains ne le considérèrent pas comme tel. Titre[modifier | modifier le code] Cependant, certains éditeurs donnent la traduction de Guerre et Paix. Trame[modifier | modifier le code] Ce livre est devenu un classique incontesté ; ainsi, durant le siège de Léningrad, Staline en fit envoyer sur place 100 000 exemplaires pour inciter la population à résister. Léon Tolstoï (trad.

A Cypherpunk's Manifesto by Eric Hughes Privacy is necessary for an open society in the electronic age. Privacy is not secrecy. A private matter is something one doesn't want the whole world to know, but a secret matter is something one doesn't want anybody to know. Privacy is the power to selectively reveal oneself to the world. If two parties have some sort of dealings, then each has a memory of their interaction. Since we desire privacy, we must ensure that each party to a transaction have knowledge only of that which is directly necessary for that transaction. Therefore, privacy in an open society requires anonymous transaction systems. Privacy in an open society also requires cryptography. We cannot expect governments, corporations, or other large, faceless organizations to grant us privacy out of their beneficence. We must defend our own privacy if we expect to have any. We the Cypherpunks are dedicated to building anonymous systems. Cypherpunks write code. Onward. Eric Hughes <hughes@soda.berkeley.edu>

Real Humans revu par les chercheurs (1) Qu'est ce qui est réel dans la série Real Humans ? Quand nos robots seront-ils aussi doués ? CNRS le journal fait le point dans une série d'articles. Aujourd'hui : le langage. Surdoués, les hubots (human robots) de la série télévisée Real Humans ? Mais depuis ces classiques, notre technologie galopante a fait du chemin. Il est en effet devenu banal de communiquer avec son ordinateur ou son smartphone grâce aux assistants personnels intelligents, comme le fameux Siri d’Apple et d’autres applications parlantes. Dans Real Humans, les hubots s’expriment pratiquement comme vous et moi. Cela semble plutôt bien marcher… Qu’est-ce que les hubots ont de plus ? Les ambiguïtés de langage ne posent pas de problème à un humain doté de sens commun. Dans quel domaine de la linguistique nos systèmes sont-ils encore trop peu performants ? Mais il existe des bases de données qui peuvent offrir aux robots cette indispensable connaissance du monde, non ? Existe-t-il des approches plus fiables ?

Hard science-fiction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'adjectif hard (dur en anglais) fait références au terme « sciences dures » (qui s'opposeraient aux sciences humaines et sociales, qui seraient plus « molles »). En effet, le souci de plausibilité scientifique a d'abord reposé sur la spéculation scientifique et technologique dans les domaines tels que la physique, les mathématiques ou la chimie, en réaction à une forme de science-fiction plus populaire où la rigueur scientifique était souvent négligée (un des exemples les plus courants de telles contradictions techno-scientifiques pouvant être le fameux sabre laser). Par la suite, certains auteurs se sont inspirés de la biologie et de l'exobiologie (par exemple l'Échelle de Darwin de Greg Bear). La hard SF est caractérisée par son exigence forte de cohérence interne[1] ainsi que, souvent, par un intérêt pour les détails scientifiques et techniques. Exemples[modifier | modifier le code] Orientations[modifier | modifier le code]

Gravé sur chrome Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gravé sur chrome (titre original : Burning chrome) est un recueil de nouvelles cyberpunk écrit par William Gibson et publié en 1986. Il a été publié en France chez J'ai lu en 1987 (ISBN 2-277-22940-7). Contenu du recueil[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] (fr) Critique de "Gravé sur chrome" sur Psychovision.net

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